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Sell In May And Go Away.

- 29/4/2015 18:13
bourseman2011 (Abonné Premium) Messages postés: 1650 - Membre depuis: 28/3/2011

Et oui ca se confirme ---



Réponses
143 Réponses
 ...   5   
81 de 143 - 08/6/2015 20:23
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Ce n'est qu'une correction. pour qu'il y ait un changement de tendance, il faut une longue phase de consolidation.
82 de 143 - 09/6/2015 08:49
bourseman2011 (Abonné Premium) Messages postés: 1650 - Membre depuis: 28/3/2011
Tant que le problème de la Grèce n'est pas résolu et le temps de l'été, c'est Stock Picking obligatoire.
Soyez prudent dans vos investissement.
83 de 143 - 09/6/2015 08:53
waldron Messages postés: 9814 - Membre depuis: 17/9/2002

buy today and sell friday

84 de 143 - 09/6/2015 18:11
bourseman2011 (Abonné Premium) Messages postés: 1650 - Membre depuis: 28/3/2011
On dirait y'a comme eu un rebond !
85 de 143 - 10/6/2015 20:45
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Après quatre séances de correction, le CAC40 s'est offert un puissant rebond de 1,75% ce mercredi.
86 de 143 - 11/6/2015 19:03
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Au lendemain d'un rebond de 1,75%, le CAC40 a encore repris 0,74% ce jeudi, à 4.971 pts en fin de séance. L'indice parisien, qui est repassé au-dessus des 5.000 pts dans l'après-midi, a reperdu une partie de ses gains à l'approche de la clôture, alors que le FMI a quelque peu refroidi les attentes des investisseurs concernant un accord rapide autour du dossier grec.
87 de 143 - 12/6/2015 18:02
bourseman2011 (Abonné Premium) Messages postés: 1650 - Membre depuis: 28/3/2011
Alors cette Grèce c'est quand le final de l'histoire Greque ?
88 de 143 - 15/6/2015 08:45
bourseman2011 (Abonné Premium) Messages postés: 1650 - Membre depuis: 28/3/2011
En plein dans le caca avec la Grèce ce matin à l'ouverture ! :(
89 de 143 - 15/6/2015 09:11
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
Une zone de congestion qui pourrait être longue.
90 de 143 - 15/6/2015 17:57
bourseman2011 (Abonné Premium) Messages postés: 1650 - Membre depuis: 28/3/2011
La tragédie Grec recommence, ca fait longtemps que ca dure ce théâtre !
91 de 143 - 15/6/2015 18:00
kevin85 Messages postés: 286 - Membre depuis: 20/4/2015

la scène est bientôt finie je pense..

92 de 143 - 16/6/2015 18:05
bourseman2011 (Abonné Premium) Messages postés: 1650 - Membre depuis: 28/3/2011
Ils voulaient tous sauver la Grèce et voilà que maintenant tout le Monde la lâche, y'a un truc qui se trame, ils n'ont pas fait tous ces efforts pour tout laisser tomber à présent !
93 de 143 - 17/6/2015 11:32
bourseman2011 (Abonné Premium) Messages postés: 1650 - Membre depuis: 28/3/2011
Le légendaire milliardaire et financier américain Kirk Kerkorian est mort (MGM Resorts)
Dow Jones le 16/06/15 17:50
NEW YORK (AFP)--Le légendaire milliardaire et financier américain Kirk Kerkorian, 98 ans, est mort, a annoncé mardi à l'AFP Clark Dumont, porte-parole du groupe MGM Resorts International dont il était le premier actionnaire.
M. Kerkorian, connu pour ses raids financiers dont un ayant avorté en 2006 sur le constructeur automobile General Motors, et surnommé roi de Las Vegas, est mort lundi vers 23H00 (06H00 GMT mardi) à Los Angeles, a indiqué M. Dumont sans préciser la cause du décès.
Classé en 393e position dans le classement des milliardaires établi par le magazine américain Fortune avec une fortune personnelle évaluée à 4 milliards de dollars.
Il est marié et père de deux enfants, selon sa biographie officielle.
Ancien magnat d'Hollywood, Kirk Kerkorian sera resté toute sa vie l'homme des raids financiers et des coups de poker.
Fils d'immigrés arméniens, pilote de la Royal Air Force pendant la Seconde guerre mondiale, cet amoureux du risque a monté une compagnie d'avions privés avant de faire fortune dans la ville du jeu, Las Vegas.
En 2005, il étend encore son empire du jeu en rachetant pour près de 8 milliards de dollars le groupe d'hôtels-casinos de prestige Mandalay Resort.
Kerkorian a aussi deux autres passions: le cinéma et les voitures, qui auront chacune été très tumultueuses. C'est ainsi qu'il a acquis dès 1969 les mythiques studios hollywoodiens Metro-Goldwyn-Mayer (MGM), qu'il revendra et rachètera deux fois.
Parallèlement, en 1990 il se lance dans l'automobile en montant au capital du constructeur américain Chrysler, dont il devient l'actionnaire principal. Il lance en 1995 sur le groupe une OPA hostile, qui provoque une levée de boucliers et échoue.
Kerkorian doit se retirer de Chrysler lors de sa fusion avec l'allemand DaimlerBenz en 1998, non sans toutefois une belle plus-value.
En 2005, il acquiert 10% de General Motors et demande sans succès des changements au sein du géant de Detroit. Il finit par jeter l'éponge en 2006.

94 de 143 - 18/6/2015 18:18
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005
Les marchés actions des pays développés évoluent clairement dans une zone d'excès... mais cela ne devrait pas les empêcher de poursuivre leur ascension ! Pour Christophe Donay, responsable de l'allocation d'actifs et de la recherche macroéconomique chez Pictet, "nous sommes ainsi dans une zone d'excès et nous allons y rester".
95 de 143 - 19/6/2015 18:35
bourseman2011 (Abonné Premium) Messages postés: 1650 - Membre depuis: 28/3/2011
Ca va mal tourner avec la Grèce !
96 de 143 - 22/6/2015 18:52
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Après 4 semaines consécutives de consolidation, sur fond de négociations compliquées autour de la dette grecque, le CAC40 s'est offert un puissant rebond de 3,81% ce lundi, à 4.999 pts en clôture, après avoir touché les 5.010 pts en fin de séance ! Portées par les espoirs de voir apparaître un accord rapide entre la Grèce et ses créanciers, les bourses européennes ont toutes clôturé en nette progression aujourd'hui, à commencer par Athènes qui a repris 9% ! Le Premier ministre grec Alexis Tsipras a fait de nouvelles propositions ce week end, qualifiées de "bonnes bases de progrès" par un porte-parole de la Commission européenne... Le CAC40 a également été soutenu aujourd'hui par la flambée du secteur télécom, en réaction à une offre généreuse de Numericable SFR sur Bouygues Telecom !
97 de 143 - 23/6/2015 09:07
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Le CAC40 démarre la séance en hausse de 0,95% à 5.045 points.
98 de 143 - 23/6/2015 18:05
bourseman2011 (Abonné Premium) Messages postés: 1650 - Membre depuis: 28/3/2011
Ca spécule sur la Grèce, mais bon, on est vraiment au bord du gouffre au vu du poids colossale de cette dette Grecque qui ne sera jamais remboursée !
Le FMI chippotte sur l'échéance du 30 juin avec une petite dette de 1,6 Milliard alors que la dette principale atteint 135 Milliards !
99 de 143 - 23/6/2015 20:10
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Les taux d'intérêts sont scandaleux ! Cette dette n'est que le produit de personnes qui veulent s'enrichir sur le dos de la Grèce. Il faudra bien que ces personnes reviennent à la raison.
100 de 143 - 24/6/2015 20:48
Pauline75 Messages postés: 2620 - Membre depuis: 10/9/2013
Une nouvelle fois la tendance haussière observée depuis 2012 a marqué le pas, impactée depuis avril par une correction largement imputable à l'évolution de la situation en Grèce et à la dégradation de certains indicateurs de confiance en zone euro, à l'évolution des taux, et de façon plus lointaine aux incertitudes liées à l'évolution de la politique monétaire américaine.

10% de baisse, c'est l'amplitude de la correction sur le CAC 40 depuis son sommet d'avril, correction qui fait suite au puissant rallye déclenché par les anticipations puis la mise en place du QE de la Banque Centrale Européenne, et qui avait vu l'indice passer de 4100 points à près de 5300 points en moins de 4 mois. En pleines turbulences liées aux difficiles négociations visant à maintenir la Grèce en zone euro se pose inévitablement la question de la tendance à venir dans les mois qui viennent. Poursuite de la baisse ou reprise de la tendance haussière ?

Plusieurs facteurs macroéconomiques et techniques plaident en faveur du second scénario, non seulement pour un retour sur les plus hauts annuels mais pour une extension de la tendance sur les niveaux de 2007 (CAC 40 hors dividendes), juste avant l'éclatement de la crise des subprimes aux Etats-Unis.

Concernant le risque le plus immédiat, à savoir le risque grec, il semble peu probable, même en cas de scénario extrême (Grexit), qu'il y ait une contagion au reste de la zone euro. Au-delà du symbole que cela peut représenter pour la construction européenne, le risque financier s'avère limité. La dette grecque est aujourd'hui majoritairement détenue par les états européens (via prêts du FESF et prêts bilatéraux), la BCE et le FMI. Le secteur privé européen a réduit son exposition lors de la crise précédente, le risque de contagion par ce canal est donc faible. Par ailleurs, le PIB de la Grèce ne représente que 2% du PIB de la zone euro.

L'évolution des taux souverains en zone euro depuis l'annonce des élections anticipées en Grèce, qui ont vu l'arrivée au pouvoir de la gauche radicale, ne traduisent pas de sentiment d'inquiétude particulier. Non pas que les marchés ne croient pas à un Grexit (les sondages montrent que les anticipations sont très partagées sur le sujet) mais plutôt qu'ils estiment le risque de contagion limité avec l'évolution des mécanismes en zone euro depuis la première crise grecque, il y a quelques années. En 2012, au plus fort de la crise et avant le début des interventions marquantes de Mario Draghi, les taux d'emprunt de l'Espagne et de l'Italie sur 10 ans excédaient 7%. Pour le Portugal, le taux à 10 ans a dépassé les 15%...la contagion était effective et a nécessité l'intervention musclée de la BCE et de son président qui, mi 2012, a annoncé que l'euro était " irréversible " et que la BCE était prête à faire tout ce qui était nécessaire pour le sauver, en ajoutant " Et croyez-moi, ce sera suffisant ".

Aujourd'hui les taux à 10 ans de l'Espagne sont légèrement supérieurs à 2%, celui du Portugal inférieur à 3%, alors que l'incertitude sur l'avenir de la Grèce en zone euro est très élevée et que des échéances se profilent le 30 juin (remboursement au FMI et fin du programme d'aide). Pourquoi une telle résilience face au risque grec ? En grande partie grâce au lancement du Quantitative Easing (QE) de la BCE qui rachète massivement des titres souverains sur les marchés. Et ce n'est que le début. Mario Draghi a, à plusieurs reprises lors de conférences de presse, indiqué qu'il souhaitait ramener le bilan de la BCE sur les niveaux de 2012, soit près de 3 100 milliards d'euros. A ce jour, le bilan pèse 2 440 milliards soit près de 700 milliards de marge de manoeuvre dans les mois qui viennent. Et c'est là un des arguments principaux pour étayer le raisonnement d'une hausse du CAC 40 au-delà des plus hauts annuels, vers les niveaux de 2007. On pourrait estimer que le rallye du premier trimestre 2015 était déjà la manifestation d'une spéculation autour du lancement du QE, ce qui est vrai, mais ce dernier devrait s'étendre jusqu'en septembre 2016, voir au-delà si la situation le nécessite a indiqué Mario Draghi. Ce QE constitue un formidable apport de liquidité au marché et devrait continuer à le soutenir dans les mois qui viennent.

D'autant que si la question des liquidités est une question centrale pour les marchés, celle des pare-feu l'est tout autant.

Et plusieurs pare-feu ont vu le jour depuis la crise précédente. On peut commencer par citer la mise en place du Mécanisme Européen de Stabilité (MES) qui concerne les États membres de la zone euro, qui a la capacité de se financer sur les marchés et de prêter, sous conditions, aux États en difficultés qui en feraient la demande.

Le second et puissant pare-feu, arme de dissuasion longtemps et habilement maniée par la BCE au plus fort de la crise de la dette, est le programme OMT. Le programme OMT est le successeur du programme SMP qui avait permis à la BCE d'intervenir sur le marché secondaire de la dette pour y acheter des obligations souveraines de la Grèce, de l'Irlande, du Portugal ou encore de l'Espagne et l'Italie alors que les taux d'emprunt à 10 ans de ces deux pays se tendaient dangereusement.

La Cour de Justice de l'Union Européenne a récemment confirmé la légalité de ce programme, renforçant ainsi l'arsenal défensif de la BCE.

Autre évolution née des crises précédentes : la mise en place progressive de l'union bancaire incluant notamment la supervision bancaire européenne, visant à placer en supervision directe de la BCE les 130 plus grandes banques de la zone euro qui pour certaines, par leur taille systémique, peuvent mettre en risque de stabilité le système financier européen.

Au-delà des pare feu européens, l'environnement macroéconomique devrait également soutenir la reprise européenne et donc la hausse des cours. L'euro devrait continuer à évoluer en zone basse face au dollar en raison du différentiel de politique monétaire FED/BCE, et malgré le rebond depuis quelques semaines en direction des 1,1500$, la devise européenne navigue toujours très loin de son sommet de 2014 à 1,4000$...

La faiblesse persistante des prix de l'énergie constitue également un facteur de soutien à l'économie européenne et même si les cours du pétrole ont rebondi par rapport aux plus bas de mars, ils restent là encore très en deçà des niveaux moyens observés depuis 2011, permettant à l'inflation de progresser un peu en zone euro mais toujours très loin des objectifs de la BCE, et constituent un argument de plus pour la poursuite du QE de la BCE sur un rythme soutenu.

La nervosité des investisseurs sur les obligations souveraines (redressement des taux) a partiellement alimenté l'aversion au risque et le repli des actions européennes. Mais le QE de la BCE devrait continuer à limiter à moyen-terme les mouvements haussiers sur les taux et favoriser la reprise en zone euro, laissant une latitude aux Etats européens pour poursuivre les réformes et améliorer leur compétitivité, facteur de soutien aux marchés actions.

Les rendements toujours limités sur l'obligataire souverain devraient également continuer à drainer les flux sur les actions.

Enfin, le plan Juncker devrait permettre d'apporter un soutien à l'investissement européen ce qui ne peut se traduire que positivement dans un environnement de reprise progressive.

Au niveau des risques potentiels, la hausse des taux de la FED ne devrait pas avoir d'impact majeur et/ou durable sur les marchés européens, toujours soutenus par l'action de la BCE. Enfin, la situation géopolitique entre l'Europe et la Russie reste stable depuis plusieurs mois et semble intégrée par le marché. L'annonce récente d'une extension des sanctions jusqu'en 2016 n'a pas provoqué de mouvement majeur sur les marchés européens.

Il semble donc qu'il y ait peu d'obstacles à une reprise progressive de la hausse du CAC 40 en direction de ses plus hauts annuels, au-delà desquels il n'y a plus de résistance majeure avant la zone des 6 000 points. Le CAC 40 flirtait avec les 6 200 points à l'été 2007 avant de décrocher brutalement à 5 200 points puis de rebondir pendant quelques semaines au-dessus de 5 800 points avant une nouvelle accélération baissière. Cette zone de rebond constitue donc un objectif potentiel pour l'indice dans les mois qui viennent...

Alexandre Baradez
Responsable Analyses Marchés
IG France
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