Vinci - Pullback Sur Ancienne Résistance (DG)
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Modifié le 10/12/2014 11:37
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zebulon1
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L'action Vinci vient d'effectuer un pullback en 15 min sur ses anciens plus hauts et le cours devrait reprendre son mouvement de hausse en direction de 44.20 (dernier plus haut) puis 44.33..
Zébulon, fan du site CentralCharts
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04/12/2014 15:17
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Grupo GuitarLumber
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svp met symbol
et un thread per societe
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08/12/2014 12:50
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waldron
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(CercleFinance.com) - En forte hausse vendredi, Vinci ricoche sous 45,4E, un niveau qui ne correspond à rien graphiquement alors que le franchissement des 44E après 10 tentatives infructueuses semblait préfigurer un test des 46E: Est-ce un cas d'école de 'bull trap' ?
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08/12/2014 18:25
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waldron
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PARIS, 8 décembre (Reuters) - Les actions Vinci et Eiffage s'inscrivent en net repli lundi à la Bourse de Paris, pénalisés par un vote vendredi dernier à l'Assemblée nationale visant à supprimer un avantage fiscal accordé aux sociétés d'autoroutes.
A 15h18, le titre Eiffage recule de 4,52% à 39,40 euros et celui de Vinci abandonne 1,63% à 44,59 euros. L'indice SBF 120 se replie de 0,6% au même instant.
"L'Assemblée nationale a voté un texte défavorable aux sociétés d'autoroutes avec la fin d'un avantage fiscal", commente un vendeur actions en poste à Paris.
Les amendements 403, 257 et 435 visant à mettre un terme à une exemption fiscale dont bénéficiaient les sociétés d'autoroutes ont été adoptés vendredi par les députés dans le cadre de l'examen du projet de loi de finances rectificative pour 2014.
"En 2013, en effet, toutes les entreprises de France ont connu un coup de rabot, qui ne leur permet plus une déductibilité illimitée des intérêts d'emprunt", a déclaré vendredi à l'Assemblée Olivier Faure, député socialiste de Seine-et-Marne pour soutenir l'amendement 403.
"Or les sociétés d'autoroutes ont échappé à ce coup de rabot, et elles bénéficient aujourd'hui du régime qui s'applique aux délégataires de service public. Cet avantage représente, depuis 2006, la somme de 3,6 milliards d'euros", a-t-il ajouté.
Le gouvernement et les concessionnaires autoroutiers sont engagés dans un bras de fer depuis plusieurs semaines, avec au coeur de leurs discussions les tarifs des péages.
Le président de la Fédération nationale des travaux publics (FNTP), pénalisée par le blocage du plan de relance autoroutier, doit d'ailleurs rencontrer le ministre de l'Economie Emmanuel Macron le 18 décembre pour l'interpeller sur les difficultés du secteur. (Alexandre Boksenbaum-Granier, édité par Dominique Rodriguez)
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10/12/2014 17:25
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waldron
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Eiffage et Vinci s'illustraient mercredi après-midi en tête des plus fortes hausses du SBF 120 (+6,4% à 40,1 euros et +4,2% à 45,05 euros respectivement vers 15h20). La demande faite par 152 députés socialistes dans une lettre envoyée au Premier ministre de racheter par anticipation les concessions autoroutières, ne semble visiblement pas très crédible aux yeux du marché.
Le rachat par anticipation "ne peut se faire qu’au 1er janvier de chaque année, moyennant un préavis d’un an, notifié au concessionnaire, rappelle la lettre", publiée par Les Echos, précisant qu' "un rachat acté avant le 31 décembre 2014 permettrait de travailler tout au long de l’année 2015 à la mise en œuvre d’une autre gestion du réseau autoroutier".
Mais si la résiliation par anticipation des concessions autoroutières pour motif d’intérêt général est contractuellement possible, "les délais sont très serrés", font remarquer aujourd'hui les analystes Natixis.
Le courtier souligne surtout que "les concessionnaires auraient droit à une indemnité correspondant au préjudice subi par elle du fait de la résiliation, et dont le montant sera estimé selon la méthode d'actualisation des flux de trésorerie disponibles après impôts".
Après calcul, il ressort que l'addition totale pour l'Etat s'élèverait à 53 milliards d'euros. Or, pour le broker, un financement via une émission d’obligation, portée par une structure ad -hoc qui ne serait pas consolidée dans la dette publique française, a peu de chance d'être validée par Bruxelles.
D'autre part, alors que l’idée des auteurs de la lettre serait ensuite de "revendre les concessions dans de meilleures conditions", Natixis fait remarquer que "les candidats éventuels seront pour le moins méfiants" étant donné l’acharnement politique dont font l'objet ces autoroutes (et leurs bénéfices) depuis des mois.
Retrouvez cet article sur Tradingsat.com
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10/12/2014 17:35
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waldron
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Les groupes de construction et concessions Vinci (DG.FR) et Eiffage (FGR.FR) gagnent du terrain mercredi, alors que le gouvernement semble disposé à respecter les contrats actuels de concessions autoroutières, indique une analyste parisienne. "Les investisseurs sont soulagés par les déclarations de Manuel Valls, selon qui l'Etat respectera ses contrats. Cela laisse entendre que les exploitants d'autoroutes pourront adapter leurs tarifs pour refléter toute hausse éventuelle de la fiscalité", souligne l'analyste. Dans l'après-midi devant l'Assemblée nationale, le Premier ministre a toutefois prôné une "remise à plat totale" visant à rééquilibrer les relations entre l'Etat et les exploitants autoroutiers. Manuel Valls a également espéré que les négociations engagées puissent se conclure avant la fin de l'année. Toujours en hausse mais s'écartant de leurs plus hauts en séance, Vinci gagne 3,5% à 44,76 euros, tandis qu'Eiffage avance de 5,1% à 39,62 euros, plaçant les deux titres en tête du SBF 120. (thomas.varela@wsj.com)
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10/12/2014 17:39
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waldron
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merci pour modification
updates si possible SVP
BON CONTINUATION
merci d'avance
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10/12/2014 18:08
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waldron
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PARIS (Reuters) - Aucune solution n'est écartée dans le dossier des autoroutes, a déclaré mercredi Manuel Valls, laissant la porte ouverte à une dénonciation des contrats actuels, qu'une majorité de députés PS appellent de leurs voeux.
Le chef du gouvernement a reçu de la part de 152 députés PS et apparentés, soit plus de la moitié du groupe à l'Assemblée nationale, un courrier l'invitant à racheter les concessions signées en 2006 avec Vinci, Eiffage ou Abertis.
Ces dernières, qui gèrent des autoroutes directement ou via des filiales, sont pointées du doigt par de nombreux élus, par la Cour des comptes et l'Autorité de la concurrence qui dénoncent une situation de "rente".
Le débat a redoublé de vigueur après l'abandon de l'écotaxe, censée financer les infrastructures de transport, d'autant qu'un nouveau plan de relance autoroutier de 3,2 milliards d'euros, validé par la Commission européenne, est en marche et allongerait de une à quatre années la durée des concessions.
L'Etat cherche les moyens de faire contribuer ces sociétés au financement de grands travaux et de réguler les prix des péages, dont la hausse est prévue par contrat.
Des négociations ont été lancées, mais les contrats actuels n'octroient aux pouvoirs publics quasiment aucune marge de négociation, tout prélèvement nouveau devant être compensé.
Interrogé lors de la séance des questions au gouvernement à l'Assemblée, Manuel Valls a dit n'exclure aucune solution.
"Toutes les propositions d'amélioration de la situation seront mises sur table", a déclaré le Premier ministre.
"L'Etat, la nation, l'intérêt général doivent être pleinement pris en compte", a-t-il ajouté en réponse à Jean-Paul Chanteguet, rapporteur de la mission d'information sur les autoroutes dont les conclusions seront rendues le 17 décembre.
"En attendant votre rapport, en attendant le résultat des discussions, en espérant que chacun soit à la hauteur de ses responsabilités, je vous dis aujourd'hui qu'aucune solution ne doit être exclue, aucune (...) Il faut une remise à plat totale parce qu'il en va précisément de l'intérêt de l'Etat."
"POSITION DE FORCE"
Le Premier ministre a en outre envoyé un signal positif aux députés en souhaitant que les négociations soient conclues avant la fin de l'année. "Le dire a son importance", a-t-il lui-même relevé, dans une allusion à un calendrier de plus en plus serré.
La dénonciation des contrats d'autoroutes ne peut en effet avoir lieu qu'au 1er janvier de l'année et avec un préavis d'un an, ce qui impose à l'Etat, s'il choisissait cette option, de la notifier aux sociétés concernées avant le 31 décembre.
C'est ce qu'ont réclamé les 152 députés signataires du courrier adressé à Manuel Valls et daté du 4 décembre.
"L'actuelle discipline budgétaire nous oblige à trouver de nouvelles sources de financement" de la politique de transport, écrivent les députés socialistes. "Il est temps d'agir en procédant au rachat des contrats de concessions autoroutières."
La hausse des taxes sur le gazole garantit un budget de 1,9 milliard d'euros à l'Agence de financement des infrastructures de transport, loin des 2,5 milliards annuels nécessaires a minima d'ici 2030.
Les députés, qui veulent aussi "sortir du piège du plan de relance," soulignent que la dénonciation des contrats ne viserait pas à nationaliser les autoroutes mais à poser les bases d'une nouvelle discussion, au bénéfice de l'Etat.
"Vous placeriez l'Etat en position de force, vous lui donneriez de réels moyens de négocier, dans de meilleures conditions, de nouveaux contrats de délégation à des sociétés privées qui pourraient d'ailleurs fort bien être les actuels gestionnaires", disent-ils, évoquant un "acte de gauche".
L'indemnité de dénonciation des contrats, prévus par leur article 38, est estimée à 40 milliards d'euros, desquels il faudrait déduire une dette de l'ordre de 17 à 20 milliards. Comme l'avait suggéré Jean-Paul Chanteguet, les députés proposent que les autoroutes soient placées dans le giron d'un Etablissement public à caractère industriel et commercial.
(Gregory Blachier, avec Gilles Guillaume, édité par Yves Clarisse)
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10/12/2014 20:57
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waldron
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Bourse-Eiffage,Vinci accélèrent,Valls rassure sur les autoroutes
mercredi 10 décembre 2014 15h55
Imprimer cet article[-] Texte [+] PARIS, 10 décembre (Reuters) - Les actions Eiffage et Vinci accélèrent leur hausse mercredi après-midi à la Bourse de Paris, le Premier ministre Manuel Valls ayant rassuré sur le sujet sensible des autoroutes, enjeu d'un bras de fer depuis des semaines entre le gouvernement et les concessionnaires.
A 15h50, le titre Eiffage gagne 5,94% à 39,935 euros et Vinci 3,94% à 44,965 euros, plus fortes hausses de l'indice SBF 120, en baisse de 0,09% au même instant.
"Les deux titres réagissent aux propos du Premier ministre Valls qui a dit dans ses propositions de réformes économiques que les contrats actuels sur les péages autoroutiers seraient honorés et qu'un nouveau régulateur des péages autoroutiers serait créé", a déclaré à Reuters un trader en poste à Paris.
Le projet de loi pour la croissance et l'activité présenté ce mercredi étend les compétences de l'Autorité de régulation des activités ferroviaires (ARAF) au secteur autoroutier, la dotant ainsi de compétences concernant les tarifs des péages.
Le gouvernement, a indiqué Bercy, "ne pourra pas soumettre un contrat déjà signé à une autorité nouvellement créée". Mais, a ajouté le ministère, "ce sont des contrats à renouvellement rapide, comme il y a régulièrement des extensions, des travaux".
Manuel Valls a par ailleurs déclaré devant les députés à l'Assemblée nationale s'agissant des autoroutes qu'aucune solution ne devait être exclue et qu'il fallait une remise à plat totale.
Eiffage et Vinci ont été pénalisés ces derniers jours par un vote vendredi à l'Assemblée nationale visant à supprimer un avantage fiscal accordé aux sociétés d'autoroutes.
"Malgré les incertitudes politiques à court terme, la faiblesse actuelle de l'action constitue une opportunité d'achat", estimait dans une note, dans la matinée, Société générale au sujet de Vinci.
Le broker soulignait notamment le rendement du dividende de 4,25% attendu pour 2015 de l'action Vinci ou encore la stratégie de développement du groupe dans les concessions aéroportuaires. (Alexandre Boksenbaum-Granier, avec Blaise Robinson, Francesco Canepa à Londres, édité par Dominique Rodriguez)
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11/12/2014 00:53
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waldron
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VINCI : Eiffage et Vinci peuvent dire merci à Valls
10/12/14 à 15:07 - Investir.fr 0 Commentaire(s)
Les deux actions sont en tête du SRD après les propos rassurants de Manuel Valls sur les concessions autoroutières.
Eiffage et Vinci peuvent dire merci à Valls | Crédits photo : Shutterstock Eiffage et Vinci sont rassurés ! Le Premier ministre Manuel Valls a annoncé ce midi que les contrats des péages autoroutiers seraient honorés, en réponse aux 152 députés qui, selon une information du quotidien Les Echos, avaient écrit la semaine passée à Matignon pour réclamer le rachat anticipé des concessions, avant la fin de l’année, invoquant l’intérêt général. C’est une possibilité prévue par les contrats signés en 2006.
Manuel Valls a par ailleurs annoncé la création d’un nouveau régulateur.
Les concessions autoroutières sont de véritables machines à cash pour les deux groupes.
Eiffage rebondit de plus de 6%, Vinci de plus de 4%. Les deux actions, en tête du SRD, ont été fortement attaquées ces deux derniers jours, l’Assemblée nationale ayant adopté vendredi des amendements visant à supprimer une exemption fiscale dont bénéficiaient les sociétés autoroutières.
Vinci a perdu 4,6% en deux jours et Eiffage près de 9%.
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12/12/2014 10:26
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waldron
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La tendance est haussière tant que 42.71 est support avec 47 puis 49.99 en ligne de mire.
Call adapté : strike : 45.54782 - maturité : 05.06.2015 - bid/ask : 0.247 / 0.257 - delta : 41 - Kilovar : 449 - Mnemo : 1999T
Pivot : 42.71
Scénario alternatif : Une chute sous 42.71 invaliderait notre scénario. Une poursuite de la baisse vers 39 serait alors probable.
Put adapté : strike : 43.56748 - maturité : 05.06.2015 - bid/ask : 0.354 / 0.364 - delta : -50 - Kilovar : 300 - Mnemo : 3258T
Commentaire : Le titre a testé par deux fois avec succès, le 17 novembre et le 4 décembre dernier, la zone de support des 42,7 euros. Une figure de renversement haussière en double-creux est ainsi en cours de formation. Désormais, au-dessus du seuil des 42,71 euros, une poursuite de la hausse est attendue vers 47 et 49,99 euros.
Par la rédaction de L'Obsa, Le spécialiste des produits dérivés en bourse depuis 1989 (www.lobsa.com)
Copyright 1999 - 2013 TRADING CENTRAL
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12/12/2014 20:26
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waldron
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Les valeurs CYCLIQUES ont figuré en haut du palmarès des baisses avec SOLVAY (-4,38% à 107,1 euros), SCHNEIDER ELECTRIC (-4,11% à 59,06 euros) et VINCI (-3,94% à 42,495 euros.
Le gouvernement devrait rencontrer à nouveau la semaine prochaine les sociétés d'autoroutes, filiales notamment de VINCI ou d'EIFFAGE (-0,48% à 38,755 euros), pour discuter des propositions qu'elles ont faites pour tenter de dénouer la crise sur le régime des concessions en France, a-t-on appris vendredi de trois sources proches du dossier.
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13/12/2014 11:03
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waldron
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DOW JONES NEWS
Autoroutes: le Sénat revient sur la suppression d'un avantage fiscal
Les sénateurs sont revenus vendredi sur la suppression d'un avantage fiscal dont bénéficient les sociétés d'autoroute, l'absence de plafond pour déduire les charges financières, qu'avaient votée les députés pour appuyer malgré lui le gouvernement engagé dans un bras de fer avec ces sociétés.
Cet avantage fiscal est ouvert à tous les délégataires de service public ou concessionnaires, a souligné le rapporteur de la commission des finances, Albéric de Montgolfier (UMP).
"C'est pour des raisons juridiques que nous proposons la suppression de cet article, qui porte atteinte au principe d'égalité devant l'impôt", a-t-il ajouté, relevant "un risque constitutionnel".
Il a aussi fait valoir que les contrats de concession autorisent les concessionnaires à reporter sur les usagers toute modification de la fiscalité qui leur est applicable. "Il y a donc un risque que cette hausse de fiscalité ne se traduise par une hausse des tarifs", a poursuivi le sénateur d'Eure-et-Loir.
Pour sa part, la secrétaire d'Etat au numérique Axelle Lemaire a déclaré que "le gouvernement entend les préoccupations exprimées par les députés. En tout état de cause, il est prématuré de trancher le débat aujourd'hui", a-t-elle conclu.
La veille, le secrétaire d'Etat au budget Christian Eckert avait reconnu devant les sénateurs que la disposition votée par les députés "a peu de chances de passer le contrôle du Conseil constitutionnnel" et qu'"elle n'atteint pas son objectif". Il avait assuré que le gouvernement "étudie toutes les solutions, y compris la dénonciation de certains contrats qui ont prévu que toute modification de la fiscalité serait répercutée sur les péages".
Les sociétés concessionnaires d'autoroute sont très critiquées, notamment depuis qu'un rapport de l'Autorité de la concurrence a relevé il y a deux mois une rentabilité de 20% ou plus, sur fond de prix des péages augmentant plus vite que l'inflation depuis la privatisation.
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15/12/2014 09:59
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waldron
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TEC
VINCI : Sous les résistances, une consolidation est probableSYNTHESE
Le MACD est négatif et inférieur à sa ligne de signal. Cette configuration dégrade les perspectives sur le titre. Le RSI n'indique pas encore une survente donc la poursuite de la baisse est techniquement possible. Les indicateurs stochastiques ne donnent pas de signaux clairs pour les jours à venir. Les volumes échangés sont inférieurs à la moyenne des volumes sur les 10 derniers jours.
MOUVEMENTS ET NIVEAUX
Le mouvement haussier semble être arrêté. Le titre est sous sa moyenne mobile à 50 jours située à 43.57 EUR. Le premier support est à 41.5 EUR, puis à 39.78 EUR et la résistance est à 47.25 EUR, puis à 48.98 EUR.
Dernier cours : 42.49
Support : 41.5 / 39.78
Resistance : 47.25 / 48.98
Opinion court terme : negative
Opinion moyen terme : neutre
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15/12/2014 10:13
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waldron
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DOW JONES NEWS
Le président de Vinci Autoroutes, Pierre Coppey, a assuré lundi qu'il n'y avait "pas de magot des sociétés d'autoroutes", alors que ces dernières doivent être reçues dans la semaine par le Premier ministre, qui souhaite une "remise à plat totale" de leurs concessions.
"La concession permet d'investir massivement les sommes colossales qu'il faut pour construire un réseau (...) à la fin vous rendez l'actif, vous remboursez vos obligataires, vos actionnaires et il ne reste rien", a déclaré M. Coppey sur Europe 1.
L'Autorité de la concurrence a pointé dans un récent rapport les taux de rentabilité supérieurs à 20% des sociétés concessionnaires d'autoroutes, ainsi qu'une augmentation des prix des péages plus rapide que l'inflation.
"Il est temps d'arrêter les fantasmes et d'arrêter de faire dire n'importe quoi aux chiffres", a répliqué M. Coppey, ajoutant que "l'Autorité de la concurrence confond le résultat net comptable annuel avec le taux de retour sur investissement", qui est actuellement "négatif compte tenu des investissements que nous avons consentis".
Selon le patron de Vinci Autoroutes, "les tarifs augmentent moins qu'avant la privatisation" du réseau autoroutier en 2006 et les entreprises du secteur y ont investi 31 milliards d'euros depuis cette date.
"Les automobilistes savent que les concessions d'autoroutes ont doté la France du meilleur réseau européen et ils savent que ça a un prix (...) A la fin il faut toujours que quelqu'un paie", a-t-il poursuivi, alors que les sociétés concessionnaires prévoient une hausse de 0,57% des tarifs des péages au 1er février 2015.
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waldron
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Une réunion avec les sociétés françaises d'autoroutes doit se tenir à l'Elysée d'ici mercredi, d'après une source proche du dossier citée par Reuters. L'objectif est de dénouer la crise actuelle sur le régime des concessions autoroutières en France.
L'agence de presse n'a pas précisé la date précise de cette rencontre, mais sa source a précisé qu'elle se tiendrait avant la présentation du rapport d'information de la Commission du développement durable de l'Assemblée nationale sur la place des autoroutes dans les infrastructures de transport, prévue mercredi matin à 9h30. Aucun commentaire n'a pu être obtenu dans l'immédiat auprès des sociétés d'autoroutes, détenues en France par Vinci (Paris: FR0000125486 - actualité) , Eiffage (Other OTC: EFGSY - actualité) , l'australien Macquarie et l'espagnol Abertis, écrit Reuters.
Aucune solution écartée
Le Premier (NasdaqGS: PINC - actualité) ministre Manuel Valls a déclaré la semaine dernière qu'aucune solution n'était écartée dans le dossier des autoroutes, laissant la porte ouverte à une dénonciation des contrats actuels, qu'une majorité de députés PS appellent de leurs voeux. Le chef du gouvernement a reçu de la part de 152 députés PS et apparentés, soit plus de la moitié du groupe à l'Assemblée, un courrier l'invitant à racheter les concessions signées en 2006 avec Vinci, Eiffage ou Abertis.
Ces dernières, qui gèrent des autoroutes directement ou via des filiales, sont pointées du doigt par de nombreux élus, par la Cour des comptes et l'Autorité de la concurrence qui dénoncent une situation de "rente". Le débat a redoublé de vigueur après l'abandon de l'écotaxe, censée financer les infrastructures de transport, d'autant qu'un nouveau plan de relance autoroutier de 3,2 milliards d'euros,validé par la Commission européenne, est en marche et allongerait de une à quatre années la durée des concessions....
Retrouvez cet article sur Boursier.com
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16/12/2014 09:25
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waldron
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PARIS, 16 décembre (Reuters) - La ministre de l'Ecologie
Ségolène Royal a déclaré mardi souhaiter un gel des tarifs des
autoroutes en 2015 et indiqué attendre un effort d'un milliard
d'euros des sociétés concessionnaires qui pourrait prendre la
forme d'une taxe sur leurs bénéfices.
"C'est un des points en discussion avec les sociétés
d'autoroutes", a-t-elle déclaré sur BFMTV à propos d'un gel
éventuel des tarifs des péages en 2015.
"Je le souhaite, parce les tarifs ont trop augmenté par
rapport au coût de la vie donc il faut rendre aux automobilistes
un peu de justice et d'équité tarifaire", a-t-elle ajouté.
Alors que le gouvernement mène des pourparlers avec les
sociétés concessionnaires, dont la Cour des Comptes a dénoncé
les "rentes" dans un rapport récent, la ministre n'a pas écarté
non plus la possibilité d'une résiliation de leurs contrats.
"C'est une hypothèse parmi d'autres que le gouvernement
n'écarte pas.", a-t-elle dit, ajoutant : "Il y en trois, soit la
résiliation totale, soit une résiliation partielle soit la
rediscussion des concessions dans le cadre actuel".
"Il faut que les sociétés d'autoroutes fassent rapidement
des propositions comme cela leur a été demandé pour savoir
comment elles appliquent les recommandations de la Cour des
comptes", a-t-elle encore dit.
Ségolène Royal a chiffré à un milliard d'euros l'effort qui
leur serait demandé, peut-être sous la forme d'une taxe, "ce qui
est finalement moins de 10% du montant global qu'elles ont versé
à leurs actionnaires qui s'élève à 17 milliards d'euros",
a-t-elle indiqué.
Dans les premiers échanges, l'action Vinci SGEF.PA perd
3,5%, tandis que le titre Eiffage cède 0,5%.
Voir aussi :
les sociétés d'autoroutes d'ici mercredi à l'Elysée
ID:nL6N0TZ3AH
(Yann Le Guernigou, édité par Gilles Guillaume)
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16/12/2014 12:08
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waldron
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Les titres Vinci (DG.FR) et Eiffage (FGR.FR) évoluent en nette baisse mardi dans la matinée alors que la ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, a souhaité "un gel des tarifs des autoroutes en 2015". Initialement, une hausse de 0,57% était prévue au 1er février dans le cadre des augmentations annuelles programmées dans les contrats de concession. Le gouvernement "n'écarte pas l'hypothèse d'une résiliation des contrats de concession" des sociétés d'autoroute, a également ajouté Ségolène Royale. Ces déclarations interviennent la veille de la remise du rapport d'information sur la place des autoroutes dans les infrastructures de transport. Depuis plusieurs mois, les conditions de la privatisation du réseau autoroutier en 2006 auprès des concessionnaires autoroutiers Vinci, Eiffage et Abertis (ABE.MC) sont remises en cause au motif qu'elles feraient la part trop belle aux exploitants. L'action Vinci recule de 1,4% à 40,67 euros et le titre Eiffage cède 0,9% à 37,39 euros. (blandine.henault@wsj.com)
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16/12/2014 13:08
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waldron
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DOW JONES NEWS
Les concessionnaires d'autoroutes ont affirmé mardi n'avoir "aucune marge de manoeuvre" pour l'application des lois tarifaires fixant les augmentations annuelles des péages, en réponse au souhait de Ségolène Royal de voir ces tarifs gelés en 2015.
"Si l'Etat souhaite modifier l'un ou l'autre des paramètres fondamentaux des contrats de concession, ceci ne peut résulter que d'une négociation avec les sociétés concessionnaires dans le respect de l'équilibre économique de ces contrats", prévient en outre l'Association des sociétés françaises d'autoroute (Asfa) dans un communiqué.
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16/12/2014 15:37
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waldron
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DOW JONES NEWS
UPDATE2
Re-Actualisé: Autoroutes: Royal veut un gel des tarifs en 2015, mise au point des concessionnaires
Vinci (EU:DG)
Intraday Stock Chart
Today : Mardi 16 Décembre 2014
Ségolène Royal a dit mardi souhaiter un gel des péages autoroutiers en 2015, suscitant une "mise au point" des concessionnaires, qui ont rappelé n'avoir "aucune marge de manoeuvre" dans l'application des lois tarifaires, à la veille de rendez-vous parlementaires sur ce dossier brûlant.
La ministre de l'Ecologie, également chargée des Transports, a indiqué qu'elle souhaitait "un gel des tarifs des autoroutes en 2015", alors qu'une hausse de 0,57% est prévue au 1er février dans le cadre des augmentations annuelles programmées dans les contrats de concession.
Les concessionnaires ont répondu n'avoir "aucune marge de manoeuvre" pour l'application des lois tarifaires fixant les augmentations annuelles des péages.
Dans un communiqué, l'Association des sociétés françaises d'autoroute (Asfa) a rappelé que "les augmentations de tarifs annuelles [étaient] fixées dans les contrats entre l'État et les sociétés concessionnaires d'autoroutes, par ce qu'on appelle des 'lois tarifaires'".
Or, "les sociétés concessionnaires n'ont aucune marge de manoeuvre pour l'application de ces lois tarifaires; l'État fixe en février de chaque année, en fonction de l'inflation constatée d'octobre à octobre, les tarifs, par arrêté conjoint du ministre des Finances et du ministre de l'Écologie", a souligné l'Afsa, dans ce texte intitulé "mise au point".
"Si l'Etat souhaite modifier l'un ou l'autre des paramètres fondamentaux des contrats de concession, ceci ne peut résulter que d'une négociation avec les sociétés concessionnaires dans le respect de l'équilibre économique de ces contrats", ont encore indiqué les concessionnaires, en remarquant que "l'application stricte des contrats de concession n'a jamais subi aucune entorse depuis l'origine des concessions autoroutières dans les années 60".
Les sociétés ont aussi souligné qu'elles avaient "formulé des propositions au gouvernement" au sujet des contrats de concession, et "attendent le retour" des pouvoirs publics.
- Résiliation pas écartée -
Egalement mardi, Mme Royal, qui s'exprimait sur BFMTV, a indiqué qu'elle "n'écart[ait] pas l'hypothèse d'une résiliation des contrats de concession", dans la continuité des déclarations du Premier ministre, Manuel Valls, la semaine dernière.
A l'Assemblée, M. Valls avait dit souhaiter une "remise à plat totale" pour obtenir un "rééquilibrage" des relations entre sociétés autoroutières et l'Etat, et affirmé "qu'aucune solution ne [devait] être exclue" après que 152 députés socialistes eurent exigé un rachat des concessions, octroyées en 2006.
Interrogée sur le coût d'une résiliation, chiffrée au minimum à 20 milliards d'euros selon un rapport d'étape de la mission parlementaire sur la place des autoroutes dans les infrastructures de transport, Mme Royal a enjoint à "se méfier des chiffres qui sont lancés pour faire peur".
Le gouvernement négocie en ce moment avec les sociétés concessionnaires un plan qui prévoit une prolongation de la durée de leurs contrats, en échange de trois milliards d'euros d'investissement.
Ces sociétés sont très critiquées, notamment depuis qu'un rapport de l'Autorité de la concurrence a relevé il y a deux mois une rentabilité de 20% ou plus, sur fond de prix des péages augmentant plus vite que l'inflation depuis la privatisation.
Les concessionnaires font valoir de leur côté que leur rentabilité réelle est bien inférieure, car elle doit se calculer sur l'ensemble de la durée des concessions, soit environ 30 ans, et non d'année en année.
Encore lundi, le président de Vinci Autoroutes, Pierre Coppey, a assuré qu'il n'y avait "pas de magot des sociétés d'autoroutes", et demandé sur Europe 1 "d'arrêter les fantasmes et d'arrêter de faire dire n'importe quoi aux chiffres".
Les déclarations de Mme Royal et la réplique des concessionnaires surviennent la veille de deux rendez-vous parlementaires liés aux autoroutes mercredi : la remise du rapport de la mission parlementaire est attendue dans la matinée à l'Assemblée nationale, et au Sénat, le groupe de travail sur les sociétés autoroutières doit présenter ses conclusions dans l'après-midi.
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16/12/2014 16:40
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waldron
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Alors que la ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, a prôné ce matin un gel des péages, l'ASFA a tenu à faire une mise au point. "Les augmentations de tarifs annuelles sont fixées dans les contrats entre l'État et les sociétés concessionnaires d'autoroutes, par ce qu'on appelle des 'lois tarifaires', indique-t-elle dans un communiqué.
L'Etat fixe les tarifs en février
L'Association précise que ces lois "comportent une base de 70% de l'inflation compensant les charges de la concession", à laquelle peut s'ajouter "la compensation des investissements complémentaires demandés par l'État dans les contrats de plan". En outre, il revient à l'Etat de fixer en février de chaque année les tarifs, par arrêté conjoint du ministre des Finances et du Ministre de l'Écologie. Fin novembre, les concessionnaires auraient proposé une hausse d'environ 0,6% en moyenne des tarifs au 1er février 2015, après 2% en 2013 et 1,29% en 2014.
Renégociations en vue
Sur RMC et BFM Télé, Ségolène Royal a cependant dit souhaiter un gel des tarifs "parce qu'(ils) ont trop augmenté par rapport au coût de la vie donc il faut rendre aux automobilistes un peu de justice et d'équité tarifaire". Selon l'agence de presse Reuters, une réunion avec les sociétés françaises d'autoroutes doit se tenir à l'Elysée d'ici mercredi pour envisager une renégociation des contrats avec les concessions. Cela devra se faire "dans le respect de l'équilibre économique de ces contrats", prévient 'l'Afsa, ajoutant que les sociétés concessionnaires ont formulé des propositions au gouvernement dans cet esprit". Récemment, le Premier (NasdaqGS: PINC - actualité) ministre, Manuel Valls a reçu de la part de 152 députés PS et apparentés, soit plus de la moitié du groupe à l'Assemblée, un courrier l'invitant même à racheter les concessions signées en 2006....
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