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Fille Banques En Difficultes ... (PX1)

- 11/11/2007 20:03
0CC Messages postés: 4515 - Membre depuis: 14/7/2007

y a matiere a remplir une file non ?


Réponses
118 Réponses
  3   
41 de 118 - 16/11/2007 18:10
0CC Messages postés: 4515 - Membre depuis: 14/7/2007
PARIS, 16 novembre (Reuters) - Les groupes Banque populaire et Caisse d'épargne se sont légèrement renforcés dans le capital de Natixis, leur filiale commune, qui a touché de nouveaux plus bas vendredi sur fond de nouvelles craintes liées à la crise des marchés du crédit.

Dans une déclaration publiée par l'AMF, les deux groupes indiquent avoir porté leurs participations respectives à 34,47% du capital de Natixis, contre 34,45% auparavant, par des achats de titres sur le marché les 7 et 8 novembre.

Les Banques populaires et l'Ecurueil, qui contrôlent ainsi de concert 68,94% de Natixis, avaient indiqué en août qu'ils envisageaient d'accroître en parallèle leurs participations, alors de 34,44% chacun, pour témoigner de leur confiance dans leur filiale en même temps qu'elle annonçait une forte réduction de son exposition au "subprime".

L'action Natixis a plongé vendredi après-midi jusqu'à un nouveau plus bas de 12,11 euros en réaction aux résultats trimestriels publiés par la banque franco-belge Dexia.

Ceux-ci ont été plombés par des dépréciations chez une filiale américaine, FSA, spécialisée dans le réhaussement de crédit, une activité que Natixis pratique également via CIFG.

"Il y a à l'évidence un amalgame entre FSA et CIFG. Et même si les pertes de FSA sont liées à des dépréciations purement comptables, la thématique de l'augmentation de capital fait peur", note un analyste.

Sous pression depuis le début de la crise des marchés du crédit, l'action Natixis évolue sur des plus bas depuis la publication, début novembre, d'une note de l'agence de notation Fitch Ratings évoquant une recapitalisation jugée probable de plusieurs acteurs du réhaussement de crédit, dont CIFG.

L'action Natixis a cédé vendredi 6,06%, à 12,25 euros. A ce cours, sa baisse depuis le début de l'année dépasse 42%, contre 17% pour celle de l'indice DJ Stoxx des banques européennes ./YLG

42 de 118 - 17/11/2007 09:51
0CC Messages postés: 4515 - Membre depuis: 14/7/2007
MORT DE RIRE

L' avis des banquiers !!!

YAKAFOCON ( des vrais eux)

Il suffirait d apres eux de racheter les credits subprime a taux variables et d y sustituer un credit a taux fixe
Ben oui les gars ont emprunte quand les taux fed etaient a 1% puis ils sont passer a presque 6 !!!!

Ok belle solution !!!

mais pour ce faire les banques devront s assoir sur la valeur des prets deja consentits (con) et refaire un offre en capital superieure a la precedente pour y integrer les interets dus !!!
et toucher bien moins d interets !!!
les bilans vont y passer !!!

deja qu elles sont mourantes ...

ben coluche avait dit les pauvres ne peuvent pas payer beaucoup mais ils peuvent payer longtemps ...

sauf que : qui va financer ça !!!

ok de credit sans valeur ça fera des credits solvables ...
43 de 118 - 17/11/2007 14:52
philippe54 Messages postés: 1086 - Membre depuis: 08/9/2007
PCAA: On attend la Banque Nationale...

17 novembre 2007 - 07h31

La Presse

Martin Vallières

Toronto

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La Banque Nationale est sur la sellette car elle devra préciser bientôt ses pertes liées à la crise des titres de crédit, qui pourraient approcher les 400 M$, de l'avis des analystes.

* Cliquez pour en savoir plus :
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* | Banque de Montréal
* | Banque Nationale

Car après l'annonce de la Banque de Montréal (BMO), vendredi à Toronto, la plus grosse banque au Québec est désormais seule parmi les grandes banques canadiennes à ne pas avoir divulgué l'ampleur des pertes spéciales qui seront inscrites à ses prochains résultats financiers.

À l'instar des autres banques, la Nationale doit divulguer ses résultats de fin d'exercice 2007, d'ici la fin novembre.
44 de 118 - 17/11/2007 16:01
0CC Messages postés: 4515 - Membre depuis: 14/7/2007
Radar 14 novembre 2007 : Carnage à Wall Street
14 novembre 2007Lien Permanent



BBC : Carnage à Wall Street

Le carnage dans les marchés financiers pourrait causer un effondrement du crédit qui mettrait à mal la croissance économique pour les années à venir.

La crise des supbrimes aux USA provoque une vague de saisies qui a un effet dévastateur sur l’immobilier américain, et qui devrait diminuer de moitié la croissance économique dans les 6 prochains mois.

L’impact le plus important sera vraisembablement sur le secteur financier.

Jusqu’à présent les plus grandes banques ont annoncé des 50 milliards de dollars de pertes . Mais les experts estiment qu’elles pourraient atteindre de 150 à 450 milliards, et que la plupart des banques dissimulent toujours d’autres pertes hors bilan dans les SIV.

Les grandes établissements pourraient voir leurs profits réduits à rien et perdre une bonne partie de leurs capitaux.

Pour restaurer les profits et rester solvables, elles vont devoir vendre de nombreux actifs, procéder à des licenciements, et limiter leurs prêts.

Il y a 2 800 milliards de titres immobiliers en circulation, y compris 1 300 milliards de titres adossés à des subprimes.

Le marché des obligations est également atteint. Depuis le 9 août ce sont 2 800 milliards de titres immobiliers qui ne trouvent plus preneur. Le cours des obligations adossées à des avoirs immobiliers (ABCP) s’est effondré depuis le début de l’année.

Le resserrement du crédit aura aussi un impact sur l’économie réelle car les consommateurs américains empruntaient massivement pour financer leurs dépenses.

Les derniers chiffres indiquent que l’indice de confiance des consommateurs et des entreprises baisse aux USA et en Europe, au fur et à mesure que se les effets de la crise du crédit s’amplifient.

Les marchés du crédit sont au point mort à cause des incertitudes et du manque d’information.

Personne ne sait ce que valent aujourd’hui les titres immobiliers et personne ne veut vendre pour le découvrir. Personne ne sait non plus où les pertes sont dissimulées dans les banques et les entreprises du secteur.

L’énormité des pertes potentielles paralyse les investisseurs dans les titres et les actions des banques, qui ont perdu 30%.

Selon Mark Zandy, de l’agence Moody’s, 1 300 milliards d’emprunts subprime ont été accordés depuis 2005. Il estime que la moitié, soit 625 milliards, se termineront par une procédure judiciaire, entrainant des pertes de l’ordre de 220 milliards.

Mais si le prix des logements baisse de 20% et non de 12%, comme M. Zandi l’a estimé, les pertes atteindraient 450 milliards.

Si les USA entrent en récession ou si la Fed décide d’augmenter les taux pour combattre l’inflation, les pertes augmenteraient considérablement. (...)

Risque de « choc systèmique »

Morgan Stanley a mis en garde contre un risque « élevé alarmant » de choc systèmique sur le secteur financier.

« Notre estimation négative sur le court terme est d’abord motivée par le potentiel élevé de façon alarmante d’un choc systèmique, et par notre inquiètude pour l’économie et le système financier à cause de la débâcle du processus de titrisation. »

45 de 118 - 17/11/2007 16:30
0CC Messages postés: 4515 - Membre depuis: 14/7/2007
BRÈVES /

Les Banques Centrales n’ont aucune idée de ce qu’il faut faire
4 octobre 2007 - 14:18



3 octobre 2007 (LPAC) - Le plus dangereux dans cette crise est de croire que les banques centrales savent ce qu’elles font, a prévenu aujourd’hui une source haut placée des milieux financiers européens.

Les gens sur les marchés pensent qu’il y aurait comme une coordination des politiques entre la Banque Centrale Européenne (BCE), la Banque d’Angleterre et la Réserve Fédérale américaine (Fed), et que tout serait sous contrôle. Il n’y a pas de coordination, a-t-il affirmé, et c’est très dangereux de le croire.

Le mois dernier, la Banque d’Angleterre a retourné sa veste du jour au lendemain, pour renflouer Northern Rock. Ils n’ont aucune idée de ce qu’il faut faire et ils subissent une pression terrible des banques qui veulent faire baisser les taux.

Croire que quelqu’un, quelque part sait ce qu’il fait, est la seule manière de s’expliquer pourquoi les marchés montent. La réalité c’est que les marchés devraient s’effondrer, et il a insisté, ils vont s’effondrer.

La seule chose qui pourrait être pire que de croire que les banques centrales coopèrent, serait qu’elles coopèrent réellement. Cette source a précisé que s’il y a une politique coordonnée des banques centrales pour baisser les taux, alors on aura une hyperinflation à la Weimar (référence à l’Allemagne de 1923, ndlr).

On a jamais vu une situation pareille, a-t-il dit. On est dans une « crise du triple A » : une petite banque indienne par exemple, peut émettre des billet de trésorerie et les vendre, mais Citigroup et toutes les autres banques américaines et européennes notées AAA, ne peuvent rien vendre. « C’est sans précédent ».

L’effondrement du dollar est une catastrophe pour l’Europe, car les exportations sont faites en dollars. Avec une politique monétaristes, la BCE achèterait des dollars, mais ils ne le peuvent pas car pour chaque dollar vendu, la Fed en injecte d’autant plus dans le système.

Après lui avoir expliqué l’approche « Pare-feu » de LaRouche avec le Homeowners and Bank Protection Act, la source a dit que c’était désormais la seule manière de faire.

46 de 118 - 18/11/2007 09:47
0CC Messages postés: 4515 - Membre depuis: 14/7/2007
Japon
Sumitomo Mitsui touchée elle aussi par la crise du subprime
Le troisième groupe bancaire japonais a perdu 32 milliards de yens (195 millions d'euros) en raison...
47 de 118 - 18/11/2007 09:49
0CC Messages postés: 4515 - Membre depuis: 14/7/2007
Economie / International
La Tribune.fr - 16/11/07 à 18:06 - 284 mots

Subprime
La crise du crédit pourrait coûter 2.000 milliards de dollars à l'économie
Selon Jan Hatzius, chef économiste de Goldman Sachs, l'impact indirect des pertes des banques sur le reste de l'économie pourrait être nettement amplifié.

En déclarant hier que le marché de l'immobilier américain était dans un état que le pays n'avait pas connu depuis la Grande dépression de 1929, John Stumpf, directeur général de la banque américaine Wells Fargo a exprimé ce que les chiffres révèlent depuis quelques semaines. Selon les économistes de Goldman Sachs, la facture totale de la crise du subprime pourrait atteindre 2.000 milliards de dollars.

Alors que les banques, américaines en tête, annoncent régulièrement des dépréciations d'actifs de plusieurs milliards, et après une série de faillites d'établissements bancaires spécialisés dans le crédit immobilier, les premières estimations, qui anticipent généralement de nouvelles dépréciations d'actifs dans les comptes du quatrième trimestre des banques, tablent sur un coût total pour l'industrie financière de 400 milliards de dollars (selon Deutsche Bank) à 500 millions de dollars (selon Royal Bank of Scotland).

Or, souligne Jan Hatzius, chef économiste de Goldman Sachs, l'impact indirect de ces pertes sur le reste de l'économie pourrait être nettement amplifié. Selon ses calculs, une perte d'un dollars sur les crédits hypothécaires dans les comptes des établissements financiers se traduit par un diminution de plus 10 dollars de production de nouveaux crédits. Selon Jan Hatzius, en se plaçant dans une attitude "conservatrice", et si on estime que les banques ont d'ores et déjà enregistré pour 200 milliards de dollars de perte, l'impact en terme de baisse des crédits futurs serait donc de 2000 milliards.



latribune.fr

48 de 118 - 18/11/2007 10:53
0CC Messages postés: 4515 - Membre depuis: 14/7/2007
Entreprises & secteurs / Banque
La Tribune.fr - 05/11/07 à 15:28 - 349 mots

banque
Crise du "subprime": le patron d'UBS sur la sellette
La banque suisse a dû réfuter ce lundi des informations sur le départ de son président, Marcel Ospel, si de nouvelles pertes liées à la crise du "subprime" devaient intervenir. Or, selon la presse suisse, relayée par les analystes financiers, UBS devrait effectivement connaître des pertes supplémentaires au quatrième trimestre.
49 de 118 - 18/11/2007 13:09
0CC Messages postés: 4515 - Membre depuis: 14/7/2007
Crise financière, "subprime" et CDO
15 novembre 2007, possible jour de vérité pour les banques américaines
La mise en oeuvre de la norme comptable FASB 157 va forcer les établissements financiers américains à déprécier la valeur de certains actifs sur leur bilan. Les montants en jeu seraient considérables.
Depuis le début de la crise financière américaine, les grandes banques ont passé pour un peu plus de 20 milliards de dollars de dépréciation d'actifs. Elles ne l'ont pas fait de gaîté de coeur, leur encadrement espérant que la situation sur le marché des titres de créances hypothécaires et assimilés (CDO, "Collaterized Debt Obligation") pouvait s'améliorer. Il n'en est rien. Au contraire, les indications que l'on peut recueillir à l'aide de l'évolution de certains indices prouvent que les prix de ces titres n'ont pas cessé de se dégrader.

A tel point que les tranches de CDO qui étaient notées AAA ou AA par les agences de rating (Fitch, Moody's et Standard and Poor's) valent entre 50% et 80% de leur valeur nominale. A condition, bien sûr, de trouver un acheteur. Or, les acheteurs ont déserté le marché. Alors que faire ?

Jusqu'à présent, les banques ont parqué certains de ces titres dans leur bilan sous la rubrique "Level 3", déterminé par le Federal Accounting Standard Board (FASB). Il existe trois niveaux pour évaluer les titres. Le premier, "Level 1", concerne les titres activement traités sur les marchés, pour lesquels il est facile de constater un prix chaque jour. Le deuxième niveau, "Level 2", rassemble des titres un peu moins liquides, certainement négociés moins activement, mais qu'il est possible d'évaluer par similitude avec des titres plus actifs. Le troisième niveau, "Level 3", est destiné aux actifs qu'on ne peut pas évaluer avec discernement même en utilisant un modèle mathématique sophistiqué.

Le "Level 1" utilise le "Mark to Market", l'évaluation à la valeur de marché, tandis que le "Level 3" est le domaine du "Mark to Model", autrement dit de l'évaluation selon des suppositions prédéterminées, ou, pour les mauvaises langues, de l'évaluation au gré du vent. Forte de son rating AAA ou AA, une tranche de CDO parquée en "Level 3" peut être valorisée 95%, 98% ou 99% de sa valeur nominale par une banque quand bien même sa valeur théorique de marché est un fraction de ce niveau. La banque peut fonder sa décision sur le rating de la tranche.

Mais peut-on faire encore confiance à des notations que les agences de rating ne cessent de rajuster à la baisse ?
A partir du 15 novembre 2007, la mise en oeuvre de la règle FASB 157 devrait couper court aux évaluations fantasques des banques. La date a été fixée il y a un an. Les directeurs financiers devront sans doute procéder à une opération vérité. Au vrai, les bilans des grandes banques d'affaires américaines mentionnent déjà le montant des actifs parqués en "Level 3".

Toutefois, il manque une information clef : le pourcentage de dépréciation par rapport à la valeur faciale des actifs. Si la dépréciation n'a pas encore été effectuée, ou si elle n'est que minime, on peut s'attendre à de nouvelles provisions considérables. Rappelons qu'après avoir annoncé une provision de 5,9 milliards de dollars lors de ses résultats du troisième trimestre fiscal, Citigroup a annoncé devoir passer une provision supplémentaire comprise entre 8 et 11 milliards de dollars. Or, on découvre à la lecture de son dossier 10-Q remis à la Securities and Exchange Commission (SEC) que Citigroup porte 136 milliards de dollars d'actifs dans la catégorie "Level 3" au 30 septembre 2007. Ceci à comparer à des fonds propres de 126,9 milliards de dollars. Bien sûr, la totalité des actifs du "Level 3" ne sont pas constitués par des subprimes ou des CDO sans liquidité. Par ailleurs, Citigroup a réduit son exposition au risque mais on peut se demander si les 8 à 11 milliards de dépréciation prévue seront suffisants.

La lecture des autres dossiers 10-Q est édifiante. Merrill Lynch semble pas trop mal loti avec 27 milliards de dollars de "Level 3" pour des fonds propres de 38,6 milliards. Lehman Brothers est dans une situation plus délicate avec 36,8 milliards de "Level 3" pour des fonds propres de 21,7 milliards de dollars. Bear Stearns ? 18,3 milliards de "Level 3" pour des fonds propres de 13 milliards de dollars. Goldman Sachs ? 72 milliards de "Level 3" pour des fonds propres de 39 milliards. Morgan Stanley ? 68 milliards de "Level 3" pour des fonds propres de 35,25 milliards de dollars. JP Morgan Chase ? 15,2 milliards de dollars de "Level 3" pour des fonds propres de 120 milliards de dollars. Bank of America ? C'est visiblement la banque la plus solide avec 27,8 milliards de dollars de "Level 3" pour des fonds propres de 138,5 milliards de dollars. N'oublions pas que Bank of America a secouru Countrywide.

Cependant, de tels niveaux prouvent que les grandes banques américaines vont devoir renforcer leurs fonds propres. La distribution de dividendes sera sous pression tout comme les programmes de rachat de titres. Il ne serait pas étonnant que des fusions permettent d'amoindrir l'impact de la crise. D'où des changements possibles de logo : Morgan Sachs ? Merrill Stearns? Citi of America ? Lehman JP Morgan Chase ?... A vous de juger.

Pascal Boulard

50 de 118 - 18/11/2007 17:43
batcha Messages postés: 2418 - Membre depuis: 20/8/2007
Excellente analyse de Roque sur Pro-AT datant du 11/11:
http://www.pro-at.com/analyse-bourse/technique-RIEN-NADA-NIENTE-NOTHING-NIETS-NICHTS-...-3-7719.html
51 de 118 - 18/11/2007 18:00
0CC Messages postés: 4515 - Membre depuis: 14/7/2007
ben oui ça devient du permanent !
http://www.ny.frb.org/markets/omo/dmm/historical/tomo/search.cfm

a conserver !
52 de 118 - 18/11/2007 18:05
0CC Messages postés: 4515 - Membre depuis: 14/7/2007
LONDRES, 18 novembre (Reuters) - La banque britannique en difficulté Northern Rock pourrait voir le prêt de 25 milliards de livres sterling (35 milliards d'euros) que lui a accordé la Banque d'Angleterre prolongé indéfiniment, rapporte dimanche le Sunday Telegraph.

53 de 118 - 18/11/2007 20:13
batcha Messages postés: 2418 - Membre depuis: 20/8/2007
Autopsie d’un superfonds
Finances | 16 novembre 2007 | Nicolas Véron ( 1 commentaires )



Autant en emporte la crise. Tour à tour présenté comme une brillante innovation financière, comme un scandaleux sauvetage public de Citigroup – le géant bancaire pris dans la tourmente, dont le président a démissionné la semaine dernière – ou comme un inutile coup d’épée dans l’eau, le « superfonds » dont le Trésor américain et quelques grandes banques discutaient depuis au moins la fin septembre semble aujourd’hui définitivement mort. Officiellement connu sous l’acronyme M-LEC (Master liquidity enhancement conduit), il était pourtant apparu comme la principale réponse de l’exécutif à la tourmente qui agite les marchés financiers depuis déjà trois mois, et dont l’ampleur devient chaque semaine plus évidente. Le superfonds était conçu comme une coopérative privée, portée par les trois premières banques américaines (Citi, JPMorgan Chase et Bank of America) et d’autres grandes institutions. Son rôle aurait été de racheter des actifs financiers aux « véhicules d’investissement structuré » (structured investment vehicles, ou SIVs) créés par les banques et fragilisés par la crise des marchés. Les SIVs, entités hors bilan généralement domiciliées dans des paradis fiscaux, sont contractuellement tenus de se mettre en faillite dès lors qu’ils passent en-dessous de certains ratios de solvabilité liés à la valeur attribuée à leurs actifs. Le risque actuel est celui d’une spirale d’effondrement des prix de ces actifs en partie issus de titrisations de créances immobilières : un SIV en difficulté doit vendre dans l’urgence et à prix cassés, ce qui fait chuter les références de valeur d’actifs comparables et risque de déclencher la clause de liquidation pour d’autres SIVs, et ainsi de suite. L’espoir était que le superfonds, en rachetant des actifs aux SIVs avant que ceux-ci se retrouvent en détresse, établisse des références de prix relativement élevées, et qu’en même temps il sauve lesdits SIVs de la faillite, mettant ainsi fin à l’engrenage baissier par un ingénieux mécanisme de mutualisation.

Mais cela supposait résolu le problème principal de la situation de marché actuelle, l’absence de liquidité et donc de prix de marché pour les titres complexes. Si le prix choisi pour les rachats par M-LEC était trop bas, les SIVs ne pouvaient pas être sauvés, et s’il était trop élevé, c’est le superfonds lui-même qui aurait risqué le défaut. Lorsque le marché s’arrête, il est périlleux de prétendre le remplacer par la création de toutes pièces d’un « acheteur en dernier recours ».

L’alternative est de laisser les prix chuter suffisamment pour que des investisseurs retrouvent l’envie de les acheter, même si certains acteurs doivent y laisser leur peau. Comme dit l’ancien président de la banque centrale américaine Alan Greenspan, « les vautours sont parfois très utiles ». En maintenant les SIVs en survie, M-LEC visait à diminuer le risque systémique mais il aurait peut-être aussi retardé l’assainissement du marché. Il n’est d’ailleurs pas sûr qu’il aurait été possible de le créer assez vite pour éviter l’inévitable.

Plusieurs SIVs ont déjà été liquidés, et d’autres suivront sans doute dans les semaines à venir, alors que la mise en place du superfonds aurait sans doute pris plusieurs mois. Du reste, il ne se serait agi sans doute que d’un répit, car le fonds n’aurait pu racheter que les actifs les mieux notés, donc en principe les moins risqués. Les SIVs auraient gardé des titres de qualité douteuse pour poursuivre leur misérable existence, sans garantie de s’en sortir à moyen terme en l’absence de rebond du marché. Donc, beaucoup de bruit pour rien ? Hélas non, car l’épisode a des conséquences pour une administration Bush déjà bien discréditée. Certes, le plan ne nécessitait aucun apport d’argent public, ni changement de réglementation. Mais, en associant son nom à l’initiative et en n’hésitant pas à décrocher son téléphone pour persuader certaines banques de participer, le secrétaire au Trésor Hank Paulson a engagé le crédit de l’Etat. Or la crise actuelle est avant tout une crise de confiance. En donnant au marché l’occasion de mettre en doute son jugement, le Trésor aura pris le risque d’aggraver un sentiment d’incertitude qui n’est actuellement pas bien loin de la panique. Ancien banquier d’affaires lui-même, Paulson a peut-être succombé au désir d’apporter une contribution constructive à une situation de marché difficile. La banque centrale américaine, plus prudente, est restée très en retrait pendant tout l’épisode M-LEC. La position de l’Etat dans les crises financières est celle du dernier recours : intervenir trop tôt, c’est risquer de perdre des leviers pour agir plus tard, si la situation tourne encore plus mal.

Article publié dans La Tribune du 12 novembre 2007 et reproduit avec l’aimable autorisation de son auteur. Nicolas Véron est économiste au sein du centre de réflexion européen Bruegel, associé de la société de conseil ECIF

http://www.betapolitique.fr/Autopsie-d-un-superfonds-02004.html
54 de 118 - 18/11/2007 21:05
0CC Messages postés: 4515 - Membre depuis: 14/7/2007
aaaaaaaaaaaaaaa
j suis tres riche :)
55 de 118 - 19/11/2007 07:44
0CC Messages postés: 4515 - Membre depuis: 14/7/2007
55

ZURICH (Reuters) - Swiss Re annonce s'attendre à subir une perte de 1,2 milliard de francs suisses (732 millions d'euros) liée à son exposition à des swaps de défaut de crédit.

Le passif après impôts est prévu à 981 millions de francs, précise dans un communiqué le numéro un mondial de la réassurance.

Le groupe fait état d'une exposition dans le subprime et plus particulièrement dans les collateralised debt obligations (CDO) qui ont été amortis à zéro alors que les autres titres adossés à ces actifs ont été amortis à 62% de leur valeur originale.

La valeur de marché du portefeuille est actuellement estimée à 3,6 milliards de francs suisses.

Swiss Re se dit malgré tout toujours confiant pour atteindre ses objectifs d'une croissance de 10% du bénéfice par action au-delà du cycle et d'un rendement des fonds propres (RoE) de 13%.

Le programme de rachat de titres n'est en outre pas remis en question.




56 de 118 - 19/11/2007 08:41
0CC Messages postés: 4515 - Membre depuis: 14/7/2007
De C8167978 (Bob) Boursomarquer C8167978 Ignorer C8167978 Recommander ce message 1
Il n'y a pas que les banques !! 08:35 19/11/07
Mais les plus grandes pertes liées aux subprimes seront dans vos assurances vies et ça vous ne le saurez jamais.

ZURICH (Dow Jones)--Swiss Reinsurance Co. (RUKN.VX) a annoncé lundi que ses pertes après impôts s'élevaient à 981 millions de francs suisses, soit 599 millions d'euros, à la fin octobre, en raison de son exposition au marché des prêts immobiliers à surprime.

Le réassureur suisse a indiqué que ces pertes ont été générées par plusieurs déclassements de ses notes de crédit en octobre et par "le manque de liquidité du marché pour ces créances". Il a précisé que les pertes de son portefeuille se montaient à 1,2 milliard de francs suisses, soit 733 millions d'euros.

Jacques Aigrain, le directeur général du groupe, a déclaré que son "excellente performance depuis le début de l'année permet à Swiss Re d'absorber l'évolution inhabituelle du marché financier en octobre".

Il a souligné qu'il est cependant approprié d'améliorer la procédure de prise de risques financiers, et que le groupe a pris "immédiatement des mesures pour procéder aux changements nécessaires"

Malgré les pertes liées aux prêts hypothécaires, le groupe a maintenu son objectif d'un rendement des capitaux de plus de 13% à la fin 2007.

Il a précisé qu'il poursuivra son programme de rachats d'actions de 6 milliards de francs suisses.
57 de 118 - 19/11/2007 12:48
0CC Messages postés: 4515 - Membre depuis: 14/7/2007
De pier2071 (UTAFIT) Boursomarquer pier2071 Ignorer pier2071 Recommander ce message 0
'citigroup' dégradée à 'vendre' 12:47 19/11/07
De pier2071 (UTAFIT) Boursomarquer pier2071 Ignorer pier2071 Recommander ce message 0
Citigroup dégradée à 'vendre' 12:46 19/11/07
Les analystes estiment que la banque pourrait provisionner 15 mlds USD supplémentaires au cours du prochain semestre

lien :
http://www.marketwatch.com/news/story/citigroup-cut-sell-goldman-cdo/story.aspx?guid=%7BCF0777D9%2DC8A2%2D4141%2D92BD%2D4B9388F0D164%7D&dist=hplatest

Citigroup cut to sell by Goldman on CDO write-down fears

By Steve Goldstein
Last Update: 6:35 AM ET Nov 19, 2007Print Subscribe to RSS Disable Live Quotes

LONDON (MarketWatch) -- Citigroup was downgraded to sell from neutral at Goldman Sachs, with the broker seeing up to $15 billion in write-downs from collateralized debt obligations over the next two quarters.
58 de 118 - 19/11/2007 13:02
0CC Messages postés: 4515 - Membre depuis: 14/7/2007
(Newsmanagers.com) - Au troisième trimestre, la gestion d’actifs du groupe Crédit Agricole SA (logée au sein du pôle Gestion d’actifs, assurances et banque privée) a accusé des rachats nets de 4,8 milliards d’euros. La banque souligne que «les bonnes performances des produits monétaires, obligataires et des fonds structurés ayant pour l’essentiel compensé les rachats enregistrés sur les produits de la gamme VaR en raison de leur caractère extrêmement liquide». Sur les 9 premiers mois de l’année, les souscriptions ressortent à 13,9 milliards d’euros. Les encours gérés s’établissent ainsi à 571,2 milliards d’euros à fin septembre 2007 contre 551 milliards d’euros en fin d’année 2006. Hors Italie, ils progressent de 9,1 % sur un an (+ 8,6 % à périmètre constant) pour représenter 520,1 milliards d’euros. En banque privée, l’encours de la fortune sous gestion s’est développé de 2,2 milliards d’euros sur le trimestre grâce à une collecte de plus d’1 milliard d’euros. Fin septembre 2007, la fortune gérée atteint 97 milliards d’euros, en croissance de 13,6 % sur un an. Hors l’effet périmètre lié à l’acquisition de Bank Sarasin, la hausse est encore de 10,7 % en glissement annuel en dépit d’un impact de change fortement négatif depuis le début de l’année. L’assurance vie enregistre un chiffre d’affaires de 15,9 milliards d’euros sur les 9 premiers mois de 2007. Au total, le pôle Gestion d’actifs, assurances et banque privée enregistre au troisième trimestre un produit net bancaire supérieur de 11,1 % à celui du troisième trimestre 2006 et une contribution au résultat net part du groupe en progression de près de 20 % à 398 millions d’euros, performance tenant compte d’une dépréciation sur un produit en cours de montage (90 millions d’euros d’impact net).
59 de 118 - 19/11/2007 15:02
philippe54 Messages postés: 1086 - Membre depuis: 08/9/2007
Economie / International

La Tribune.fr - 19/11/07 à 14:32 - 405 mots
Conjoncture
Jean-Claude Trichet (BCE) veut rester vigilant face aux risques sur la croissance
Le président de la BCE, qui préside ce lundi le sommet du G10, réaffirme sa vigilance face aux risques sur la croissance, liés à la crise financière et à la recrudescence de l'inflation. Le responsable européen s'inquiète également des déséquilibres sur le marché des changes.

La prudence reste de rigueur. C'est le message qu'a de nouveau fait passer ce lundi le président de la Banque centrale européenne (BCE) et président du G10, Jean-Claude Trichet. Selon lui, les banques centrales doivent rester vigilantes face à la correction en cours des marchés actions et face aux risques baissiers sur la croissance.

Si, d'après Jean-Claude Trichet, la croissance de l'économie mondiale est encourageante, les risques baissiers sur l'activité économique s'intensifient. "Il nous faut être vigilants, ne jamais se montrer satisfaits, d'aucune manière", a-t-il estimé.

Le président de la BCE a également noté l'existence de risques haussiers sur les prix du pétrole, des produits alimentaires et des matières premières. Et ce dans un contexte de poussée inflationniste, notamment dans la zone euro (+2,6% en octobre), aux Etats-Unis (+3,5% en octobre) et en Chine (+6,5% le mois dernier).

A cela s'ajoutent des déséquilibres prononcés sur le marché des changes, avec une faiblesse accrue du dollar. Sur ce point, le discours de Jean-Claude Trichet reste très ferme. Le président de la BCE a dénoncé les excès de volatilité et les mouvements désordonnés, reprenant les grandes lignes du message formulé par les ministres des Finances des pays du G7 lors de leur dernière réunion en octobre.

Déjà dimanche soir, lors d'un entretien accordé à une chaîne de télévision sud-africaine, le président de la BCE affirmait que "des fluctuations fortes et abruptes (sur le marché des changes, ndlr) ne sont pas bienvenues". Jean-Claude Trichet avait en outre salué les déclarations de dirigeants américains quant à l'avantage d'un dollar fort pour l'économie des Etats-Unis.

"Je dirai aussi que j'ai apprécié ce qui a été dit par le ministre des Finances et par mon collègue Ben Bernanke en ce qui concerne leur propre attitude concernant le dollar, sur le fait que le dollar fort est dans l'intérêt des Etats-Unis. Et j'ai noté cela avec une grande appréciation", a-t-il déclaré.

latribune.fr
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60 de 118 - 19/11/2007 15:11
philippe54 Messages postés: 1086 - Membre depuis: 08/9/2007


LExpansion.com du 19 novembre 2007
"A ce stade, il n'y a pas de raison de croire au risque de crise bancaire systémique"
par LExpansion.com
René Desfossé, stratégiste chez Natixis, s'attend toutefois à ce que les banques délivrent encore beaucoup de mauvaises nouvelles. Ce qui devrait amener la BCE à changer son discours.

Alors que la crise bancaire et financière s’approfondit, craignez vous un une crise systémique ?
A ce stade, il n’y a pas de raison de croire au risque de crise systémique qui se traduirait par une défiance totale dans le système bancaire. Pour autant cela n’empêche pas les banques d’avoir la gueule de bois. On sait depuis longtemps que les banques américaines étaient sévèrement exposées au subprime. On découvre de plus en plus que les banques européennes sont loin d’être épargnées. Plus étonnant, on s’aperçoit également que les banques japonaises, dont l’aversion au risque était restée forte après l’accumulation il y a quelques années de créances douteuses se sont, elles aussi, gavées de subprimes. Au total, les pertes des banques pourraient atteindre 400 milliards de dollars. A ce jour, à peine 50 milliards ont été annoncés. Il y a donc beaucoup de mauvaises nouvelles à venir. Les ratios des banques vont donc se dégrader et elles auront davantage de difficultés à prêter. Ce qui veut dire une sous-performance des valeurs bancaires en bourse.
Que peuvent faire les banques centrales ?
Elles feront ce qu’elles doivent faire : c’est à dire assurer la liquidité du système, ce qui signifie, dans le pire des cas, sauver une banque en cas de défaut. Face au risque de ralentissement de la croissance lié à un éventuel rationnement du crédit, les banques centrales devraient encore assouplir leur politique monétaire. La Banque d’Angleterre a annoncé qu’elle baisserait ses taux d’intérêt en début d’année, la Réserve fédérale américaine le fera également. La BCE n’a pas changé significativement son discours, mail il lui sera de plus en plus difficile, compte tenu de la hausse de l’euro et des comportements des autres grandes banques centrales, de ne pas infléchir progressivement sa position.






























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