Le présent communiqué de presse contient des
déclarations prospectives. Pour obtenir une description des
facteurs de risque et des hypothèses connexes, veuillez consulter
la section Mise en garde concernant les déclarations
prospectives plus loin dans ce communiqué de presse.
L'information contenue dans le présent communiqué est non
auditée.
- Croissance du BAIIA ajusté1 consolidé de
2,1 % au T3 2024 par rapport au T3 2023, ce qui
s'est traduit par une augmentation de 1,7 point de pourcentage
de la marge du BAIIA ajusté2, qui s'est établie à
45,6 %, la marge la plus élevée pour un trimestre en plus de
30 ans
- Perte nette de 1 191 millions $ et perte
nette attribuable aux actionnaires ordinaires de
1 237 millions $, ou 1,36 $ par action
ordinaire, en raison de charges pour pertes de valeur hors
trésorerie liées à des actifs médias d'environ
2,1 milliards $; bénéfice net ajusté1 de
688 millions $, générant un BPA ajusté1 de
0,75 $, en baisse de 7,4 %
- Flux de trésorerie disponibles1 de
832 millions $, en hausse de 10,3 %; flux de
trésorerie provenant des activités d'exploitation s'élevant à
1 842 millions $, en baisse de 6,1 %
- Total de 158 412 activations nettes d'abonnés
utilisant des téléphones mobiles et des appareils mobiles
connectés3, dont 69 085 activations nettes
d'abonnés des services prépayés, le nombre le plus élevé pour un
trimestre en cinq ans et une hausse de 187 %
- Total de 42 415 activations nettes d'abonnés
utilisant des services Internet de détail3, qui a
contribué à une croissance des produits tirés des services Internet
de 5 %, soit le meilleur taux de croissance trimestriel
depuis le T2 2023
- Produits de Bell Média en hausse de 10,1 % avec une
augmentation du BAIIA ajusté de 25,1 %; produits liés au
contenu numérique4 en hausse de 19 %, les
plateformes numériques et la technologie publicitaire ayant généré
une solide croissance
- Mise à jour des prévisions relatives aux produits des
activités ordinaires pour 2024 afin de tenir compte des produits
d'exploitation tirés des produits moins élevés que prévu et des
pressions soutenues de la concurrence sur les prix des services
sans fil; tous les autres objectifs de l'orientation financière
pour 2024 demeurent inchangés
MONTRÉAL, le 7 nov.
2024 /CNW/ - BCE Inc. (TSX, NYSE : BCE) a
présenté aujourd'hui ses résultats du troisième trimestre (T3) de
l'exercice 2024.
« Les résultats de Bell pour le troisième trimestre
témoignent de la rigueur avec laquelle nous poursuivons une
croissance rentable dans un environnement hautement concurrentiel,
» a déclaré Mirko Bibic, président
et chef de la direction de BCE et de Bell
Canada.
« Au cours du trimestre et tout au long de 2024, nous
nous sommes efforcés d'attirer des abonnés générant des marges
élevées et de réduire les coûts afin de contrebalancer l'incidence
à court terme, de la pression soutenue de la concurrence sur les
prix, du ralentissement de la croissance économique et de la
transition qui s'opère sur le marché de la publicité dans les
médias. Nos résultats démontrent le succès de cette approche,
l'augmentation du BAIIA ajusté s'étant établie à 2,1 % et la
marge du BAIIA ajusté, à 45,6 %, la plus élevée depuis le
début des années 1990.
Dans les services sans fil, tous nos ajouts nets d'abonnés des
services postpayés ce trimestre se sont faits sous la marque
principale de Bell, alors que nous restons déterminés à équilibrer
l'acquisition de clients et la rentabilité. Nous continuons
d'observer une nette préférence pour la fibre, avec un total de
42 415 activations nettes d'abonnés aux services Internet
de détail, ce qui a contribué à la croissance de 5 % des
produits tirés des services Internet, le meilleur taux de
croissance trimestriel depuis le T2 de 2023. Du côté de Bell
Média, les plateformes numériques et la technologie publicitaire
continuent de générer une forte croissance, les produits liés au
contenu numérique ayant augmenté de 19 %.
L'équipe Bell continue de réaliser des économies à l'échelle de
l'entreprise, en mettant l'accent sur l'expansion des capacités
numériques et d'intelligence artificielle et la modernisation de
nos outils et de nos systèmes, tout en continuant d'offrir une
expérience client exceptionnelle de façon plus efficace et
rentable.
En vue de la fin de l'exercice, nous avons mis à jour nos
prévisions en matière de produits des activités ordinaires afin de
tenir compte des produits d'exploitation tirés des produits moins
élevés que prévu au cours des neuf premiers mois de l'exercice et
de la concurrence continue quant aux prix des services sans fil.
Tous les autres objectifs de l'orientation financière pour 2024
demeurent inchangés, et nous continuons de faire le travail
nécessaire pour adapter notre structure des coûts en fonction de la
capacité de tirer des produits de nos activités. »
________________
|
1 Le BAIIA
ajusté est un total des mesures sectorielles, le bénéfice net
ajusté et les flux de trésorerie disponibles sont des mesures
financières non conformes aux PCGR et le BPA ajusté est un ratio
non conforme aux PCGR. Se reporter à la section Mesures
financières non conformes aux PCGR et autres mesures
financières du présent communiqué pour un complément
d'information sur ces mesures.
|
2 La marge
du BAIIA ajusté se définit comme le BAIIA ajusté divisé par les
produits d'exploitation. Se reporter à la section Indicateurs de
performance clés du présent communiqué de presse pour un
complément d'information sur la marge du BAIIA ajusté.
|
3 Se
reporter à la section Indicateurs de performance clés du
présent communiqué de presse pour un complément d'information sur
les unités d'abonnement (ou clients).
|
4 Les
produits liés au contenu numérique comprennent les produits tirés
de la publicité sur les plateformes numériques, dont les sites Web,
les applications mobiles, les applications sur les téléviseurs
connectés et les actifs et plateformes numériques d'affichage
extérieur, ainsi que de la publicité sur les plateformes d'achat
numériques de Bell, de même que les produits tirés des frais
d'abonnement des services directement aux consommateurs et des
services de vidéo sur demande.
|
PRINCIPAUX FAITS RÉCENTS TOUCHANT NOS ACTIVITÉS
Stimuler la transformation et la croissance grâce à de
nouvelles transactions
- BCE a annoncé son intention d'acquérir Ziply Fiber, le
principal fournisseur de services Internet par fibre optique
de la région Nord-Ouest Pacifique des États-Unis, pour un montant
de 5,0 milliards $ CA, afin d'accélérer sa croissance dans le
marché américain sous-exploité de la fibre optique. Au moment de la
clôture de l'acquisition, prévue pour le deuxième semestre
de 2025, plus de 1,3 million d'emplacements connectés à
la fibre seront ajoutés à la zone de couverture du réseau de fibre
de Bell, pour un total de 9 millions dans les deux pays, avec
l'objectif d'atteindre plus de 12 millions d'emplacements d'ici la
fin de 2028.
- BCE a annoncé la vente de sa participation de 37,5 % dans
MLSE pour 4,7 milliards $ CA à Rogers
Communications Inc. (Rogers). La clôture de la vente est
prévue pour le milieu de 2025, sous réserve des approbations des
ligues sportives et des autres approbations habituelles. De plus,
Bell Média s'est assurée de conserver son accès aux droits de
diffusion liés aux Maple Leafs et aux Raptors de Toronto sur TSN pour les 20 prochaines
années grâce à un accord à long terme avec Rogers, également sous
réserve des approbations des ligues. De plus, TSN continuera de
diffuser les matchs des Argonauts de Toronto et du Toronto FC dans le cadre
d'ententes indépendantes avec les ligues respectives.
- FX Innovation, une société de Bell
Canada, a acquis HGC Technologies Inc. (HGC), une entreprise
établie à Montréal. L'équipe d'experts ServiceNow de HGC se
joignant à FX Innovation dans le cadre de l'acquisition vient
renforcer l'expertise de cette dernière en matière d'automatisation
des processus, de technologies infonuagiques et de transformation
numérique et fait suite aux acquisitions de Stratejm et de
CloudKettle qui ont eu lieu en juillet 2024.
Établir des partenariats novateurs pour offrir de nouvelles
solutions aux clients
- Bell a prolongé son partenariat exclusif pluriannuel avec
Hyundai Motor Group. Hyundai peut ainsi tirer parti de la
connectivité Internet des objets de Bell pour offrir aux clients
canadiens des services d'infodivertissement connectés avancés à
bord de ses véhicules.
- Bell a annoncé une collaboration avec MacLean Engineering, le
plus grand fabricant d'équipement minier souterrain au Canada, pour
transformer les opérations minières de prochaine génération au
Canada grâce à l'installation d'un réseau mobile privé de Bell dans
le centre de recherche et de formation de MacLean.
- Dans le cadre d'un partenariat stratégique du secteur privé,
Bell, Google, Desjardins et le Fonds de solidarité FTQ ont annoncé
un investissement collectif de 5,25 millions $ CA dans
Ax-C, un espace d'innovation et d'entrepreneuriat situé à
Montréal, qui a été créé par l'École de technologie supérieure et
qui ouvrira ses portes en 2025. Cet investissement permettra
de bâtir un écosystème dynamique et propice à la croissance des
entreprises en démarrage au Québec.
Offrir le contenu le plus captivant
- Bell Média a annoncé l'élargissement de son partenariat
historique avec Warner Bros. Discovery pour le marché canadien,
solidifiant ainsi la position de Crave en tant que diffuseur
exclusif de HBO et de Max au Canada, et ce, pour plusieurs années
encore. Bell Média et Warner Bros. Discovery ont également confirmé
qu'ils ont réglé toutes les questions liées à leur récent différend
concernant la suite de chaînes de marque Discovery appartenant à
Bell Média.
- Bell Média a conclu une entente de contenu et de licence avec
NBCUniversal Global TV Distribution, qui permettra d'offrir au
Canada les chaînes populaires USA
Network et Oxygen True Crime à partir du
1er janvier 2025. De plus, le
1er janvier, les chaînes spécialisées existantes
Animal Planet, Discovery Science et Discovery Velocity seront
renommées CTV Wild, CTV Nature et CTV Speed, respectivement. Une
sélection des émissions populaires de USA Network et d'Oxygen True
Crime et toutes les nouvelles séries des deux chaînes seront
également offertes en diffusion en continu sur Crave.
- CTV a renouvelé pour une onzième saison The Amazing Race
Canada, qui est demeurée la série estivale la plus regardée au
Canada pendant 10 ans parmi les adultes de 25 à 54 ans, avec
une moyenne de 1,3 million de téléspectateurs pour la
saison.
- Bell Média a annoncé que RDS et TSN, qui présentent des sports
en direct, sont maintenant disponibles parmi les chaînes Prime
Video au Canada, ainsi que sur le service de diffusion en continu
Crave de Bell Média.
Promouvoir l'expérience client
- Hadeer Hassaan a été nommée au
premier poste de cheffe de l'expérience client. Ce rôle cadre avec
l'impératif stratégique de Bell qui consiste à promouvoir
l'expérience client et renforce notre approche axée sur le client
dans tout ce que nous faisons et notre objectif de créer des
expériences significatives pour tous les canaux.
Mieux pour tous
- À l'occasion de la Journée mondiale de la santé mentale (le
10 octobre 2024), Bell a annoncé s'engager à verser 10
millions $ en 2025 au profit d'initiatives en santé mentale pour
contribuer à résoudre la crise de santé mentale chez les jeunes.
Bell Cause pour la cause a également confirmé que la Journée Bell
Cause pour la cause (le 22 janvier 2025) sera axée
sur la santé mentale des jeunes et comprendra une campagne de dons
par message texte. Les Canadiens et les Canadiennes pourront faire
un don par message texte de 5 $, et Bell versera une somme
équivalente aux dons, jusqu'à concurrence de 1 million $,
dans le cadre de son engagement de 10 millions $ en
matière de santé mentale en 2025. Le Fonds communautaire Bell
Cause pour la cause versera des dons à 75 nouveaux
bénéficiaires en 2024. Depuis le lancement du Fonds
en 2011, plus de 1 175 organismes de partout au pays
ont reçu des dons totalisant plus de 22 millions $.
RÉSULTATS DE BCE
Faits saillants financiers
(en millions $, sauf les montants par
action) (non audité)
|
T3 2024
|
T3 2023
|
% de variation
|
BCE
|
|
|
|
Produits
d'exploitation
|
5 971
|
6 080
|
(1,8) %
|
(Perte nette) bénéfice
net
|
(1 191)
|
707
|
n. s.
|
(Perte nette) bénéfice
net attribuable aux actionnaires ordinaires
|
(1 237)
|
640
|
n. s.
|
Bénéfice net
ajusté
|
688
|
741
|
(7,2) %
|
BAIIA ajusté
|
2 722
|
2 667
|
2,1 %
|
(Perte nette) bénéfice
net par action ordinaire (BPA)
|
(1,36)
|
0,70
|
n. s.
|
BPA ajusté
|
0,75
|
0,81
|
(7,4) %
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
1 842
|
1 961
|
(6,1) %
|
Dépenses
d'investissement
|
(954)
|
(1 159)
|
17,7 %
|
Flux de trésorerie
disponibles
|
832
|
754
|
10,3 %
|
« Les résultats de BCE au T3 témoignent de nos efforts
continus de transformation en vue de réaliser des économies à long
terme et d'assurer une croissance rentable du nombre d'abonnements,
tout en effectuant des transactions stratégiques de fusion et
d'acquisition de façon à nous concentrer sur nos forces
principales, » a déclaré Curtis
Millen, chef des affaires financières de BCE et de
Bell Canada.
« Le BAIIA ajusté a augmenté de 2,1 %, ce qui a
entraîné une hausse de 1,7 point de pourcentage de la marge,
qui s'est établie à 45,6 %, notre marge trimestrielle la plus
élevée en plus de 30 ans. Les coûts d'exploitation ont diminué
de 4,8 % ce trimestre, ce qui témoigne de notre détermination
à réduire les coûts. Nous continuons également de réduire nos
dépenses d'investissement, qui ont diminué de
205 millions $ au T3, ce qui porte les économies de
dépenses d'investissement depuis le début de l'exercice à plus de
600 millions $ et contribue à la hausse de 10,3 %
des flux de trésorerie disponibles ce trimestre.
Compte tenu des produits d'exploitation tirés des produits moins
élevés que prévu et des pressions continues exercées sur les prix
des services sans fil au cours de l'exercice précédent, lesquelles
se répercutent de plus en plus sur le RMU combiné des abonnés
des services mobiles, nous avons révisé à la baisse nos prévisions
de produits des activités ordinaires pour 2024, les faisant passer
d'une hausse de 0 % à 4 % à une baisse d'environ 1,5 %. Tous les
autres objectifs de l'orientation financière pour 2024 demeurent
inchangés.
Le bilan de BCE demeure solide, avec 4,4 milliards $
de liquidités disponibles et d'excédents de solvabilité des régimes
de retraite. Pendant le reste de l'exercice et jusqu'en 2025,
nous continuerons de mettre l'accent sur la rentabilité continue et
la croissance du nombre d'abonnements pour améliorer les marges, ce
qui renforcera notre performance financière future. »
- Les produits d'exploitation de BCE se sont élevés à
5 971 millions $ au T3 2024, en baisse de
1,8 % par rapport au T3 2023, en raison d'une diminution
de 14,3 % des produits d'exploitation tirés des produits, qui
se sont établis à 685 millions $. Les produits tirés des
services ont été essentiellement stables à 5 286
millions $, en hausse de 0,1 %, la croissance de Bell
Média ayant été contrebalancée dans les faits par la baisse d'un
exercice à l'autre au sein de Bell Services de communications et de
technologies (Bell SCT).
- Le bénéfice net a diminué de 1 898 millions $,
ce qui a donné lieu à une perte nette de 1 191
millions $ au T3 2024 et à une perte nette attribuable
aux actionnaires ordinaires de 1 237 millions $, ou
1,36 $ par action, comparativement à un bénéfice net
attribuable aux actionnaires ordinaires de
640 millions $, ou 0,70 $ par action, au
T3 2023. Les baisses d'un exercice à l'autre sont attribuables
à des charges pour pertes de valeur hors trésorerie totalisant
2 113 millions $, principalement liées aux actifs de
télé et de radio de Bell Média, qui s'expliquent par la baisse
continue de la demande et des dépenses publicitaires dans le marché
de la publicité traditionnelle et par la hausse de la charge
d'intérêts et des coûts liés aux indemnités de départ, aux
acquisitions et autres. Ces facteurs ont été en partie compensés
par la baisse de l'impôt sur le résultat et des autres charges et
par l'augmentation du BAIIA ajusté. Le bénéfice net ajusté a
diminué de 7,2 % pour se chiffrer à 688 millions $,
ce qui a entraîné une diminution de 7,4 % du BPA ajusté, qui
s'est établi à 0,75 $.
- Le BAIIA ajusté a augmenté de 2,1 % pour s'établir à
2 722 millions $, reflétant l'augmentation de
25,1 % dans le secteur Bell Média et de 0,2 % dans le
secteur Bell SCT. La marge du BAIIA ajusté consolidée de BCE a
augmenté de 1,7 point de pourcentage, passant de 43,9 %
au T3 2023 à 45,6 %. Cette hausse est attribuable à la
réduction de 4,8 % des coûts d'exploitation reflétant la
baisse du coût des produits vendus attribuable à la diminution des
ventes de produits générant de faibles marges au cours du
trimestre, la baisse des coûts de la main-d'œuvre attribuable aux
initiatives de réduction de l'effectif mises en œuvre l'an dernier
et la fermeture permanente des magasins La Source dans le cadre de
notre partenariat de distribution stratégique avec Best Buy Canada,
ainsi qu'aux gains d'efficience réalisés au sein des différents
secteurs de la société grâce à la technologie et à
l'automatisation.
- Les dépenses d'investissement de BCE ont diminué de
17,7 %, pour se chiffrer à 954 millions $, par
rapport à 1 159 millions $ à l'exercice précédent,
ce qui correspond à une intensité du capital5 de
16,0 %, par rapport à 19,1 % au T3 2023. Cette
diminution d'un exercice à l'autre est conforme à la baisse prévue
des dépenses d'investissement attribuable au ralentissement de
l'expansion de notre réseau pure fibre et reflète les gains
d'efficacité réalisés grâce aux investissements antérieurs dans les
initiatives de transformation numérique.
- Les flux de trésorerie provenant des activités d'exploitation
de BCE se sont établis à 1 842 millions $, en baisse
de 6,1 % par rapport au T3 2023, en raison de la baisse
des fonds provenant du fonds de roulement attribuable en grande
partie au calendrier des paiements des fournisseurs, de la hausse
des intérêts payés et de l'augmentation des indemnités de départ et
des autres coûts payés. Ces facteurs ont été partiellement
compensés par la diminution de l'impôt payé en trésorerie en raison
du calendrier de versement des acomptes provisionnels et par la
hausse du BAIIA ajusté.
- Les flux de trésorerie disponibles ont augmenté de 10,3 %,
passant de 754 millions $ au T3 2023 à
832 millions $, en raison de la baisse des dépenses
d'investissement, malgré la diminution des flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation, compte non tenu des coûts
liés aux acquisitions et autres payés.
______________________
|
5
L'intensité du capital correspond aux dépenses d'investissement
divisées par les produits d'exploitation. Se reporter à la section
Indicateurs de performance clés du présent communiqué de
presse pour un complément d'information sur l'intensité du
capital.
|
RÉSULTATS D'EXPLOITATION PAR SECTEUR
Bell Services de communications et de
technologies6 (Bell SCT)
- Le total des produits d'exploitation du secteur Bell SCT au
T3 2024 a diminué de 3,3 % par rapport au T3 2023,
pour s'établir à 5 280 millions $, en raison de la
baisse des produits tirés des produits et des services.
- Les produits tirés des services ont diminué de 1,4 % pour
s'établir à 4 595 millions $, reflétant les baisses
continues liées aux services voix traditionnels, aux services de
données et au service de télé par satellite; les rabais plus
généreux consentis pour l'acquisition d'abonnés et la fidélisation
de la clientèle et sur les forfaits de services résidentiels par
rapport au T3 de l'exercice précédent; et la baisse du RMU (revenu
moyen par utilisateur) combiné des abonnés utilisant des téléphones
mobiles7, 8, 9. Ces facteurs ont été en partie
contrebalancés par la croissance de la clientèle d'abonnés des
services de téléphonie mobile et d'appareils connectés et des
services Internet et de télé IP de détail, par l'augmentation des
ventes de solutions d'affaires aux grandes entreprises clientes et
par l'apport financier des acquisitions effectuées au cours de
l'exercice précédent, y compris celles de Stratejm et de
CloudKettle dans le but de renforcer les capacités en matière de
services gérés de cybersécurité de Bell Marchés Affaires et les
capacités d'automatisation des flux de travail numériques de
Salesforce.
- Les produits d'exploitation tirés des produits ont diminué de
14,3 % pour s'établir à 685 millions $, en raison de
la baisse des produits tirés des produits électroniques grand
public de La Source découlant de la fermeture permanente de
magasins et de leur transition vers la marque Best Buy Express dans
le cadre de notre partenariat de distribution stratégique avec Best
Buy Canada, ainsi qu'en raison de la faible demande sur le marché
des produits électroniques grand public, de la baisse des ventes
d'appareils mobiles et de la baisse des ventes d'équipements de
transmission de données de télécommunications aux grandes
entreprises clientes, principalement du fait du calendrier des
ventes.
- Le BAIIA ajusté de Bell SCT a augmenté de 0,2 % pour
s'établir à 2 468 millions $, ce qui a permis de
dégager une augmentation de 1,6 point de pourcentage de la
marge, qui est passée de 45,1 % au T3 2023 à 46,7 %.
Cette hausse est attribuable à la réduction de 6,2 % des coûts
d'exploitation reflétant la baisse du coût des produits vendus
attribuable à la diminution des ventes de produits générant de
faibles marges au cours du trimestre, la baisse des coûts de la
main-d'œuvre attribuable aux initiatives de réduction de l'effectif
mises en œuvre l'an dernier et la fermeture permanente des magasins
La Source, ainsi qu'aux gains d'efficience réalisés au sein des
différents secteurs de la société grâce à la technologie et à
l'automatisation.
- Les activations nettes d'abonnés des services postpayés
utilisant des téléphones mobiles ont totalisé 33 111, en
baisse de 76,8 % par rapport à 142 886 au T3 2023,
ce dernier ayant été au deuxième rang des meilleurs T3
depuis 2010. La diminution est attribuable à l'augmentation du
taux de désabonnement de la clientèle des services postpayés
utilisant des téléphones mobiles10, qui est passé de
1,10 % au T3 2023 à 1,28 %, reflétant l'augmentation
du niveau de concurrence sur le marché et l'intensité des offres
promotionnelles par rapport à l'exercice précédent. Elle s'explique
aussi par la diminution de 11,6 % des activations brutes
d'abonnés en raison des offres promotionnelles plus ciblées et des
rabais sur les appareils mobiles par rapport à l'exercice
précédent, compte tenu de l'accent mis sur les abonnés de grande
valeur, du recul du nombre d'étudiants étrangers découlant des
plafonds visant les visas d'étudiants imposés par le gouvernement,
de la transition des magasins La Source vers la marque Best Buy
Express, et de la diminution de la demande des entreprises clientes
attribuable aux initiatives de rationalisation des coûts.
- Les activations nettes d'abonnés des services prépayés de Bell
utilisant des téléphones mobiles ont augmenté, passant de
24 044 au T3 2023 à 69 085, ce qui représente notre
meilleur résultat trimestriel depuis le T3 2019. Cette
augmentation d'un exercice à l'autre est attribuable à la
croissance de 18,7 % des activations brutes, découlant de
l'élargissement de la distribution au détail et des initiatives de
marketing de Lucky Mobile, ainsi qu'à la baisse du taux de
désabonnement, qui s'est amélioré de 44 points de base pour
s'établir à 4,66 %.
- La clientèle d'abonnés de Bell utilisant des appareils
mobiles6 totalisait 10 361 720 abonnés à la
fin du T3 2024, en hausse de 1,6 % par rapport à
l'exercice précédent, ce qui comprend
9 473 886 abonnés des services postpayés, en hausse
de 1,9 %, et 887 834 abonnés des services prépayés,
en baisse de 1,4 %. Au 30 septembre 2024, nous avons
retiré 77 971 abonnés au service mobile prépayé Virgin
Plus de notre base d'abonnés aux services prépayés utilisant des
téléphones mobiles, car nous avons cessé de vendre de nouveaux
forfaits pour ce service à cette date.
- Le RMU combiné des abonnés utilisant des téléphones mobiles a
diminué de 3,4 % pour s'établir à 58,26 $, contre
60,28 $ au T3 2023. Cette diminution est attribuable à
l'incidence cumulative des pressions soutenues de la concurrence
sur les prix des forfaits de base au cours de la dernière année, à
la baisse des produits tirés des frais de dépassement de données
liée aux abonnés optant pour des forfaits offrant des données
illimitées et une capacité accrue en matière de données, ainsi qu'à
la baisse des produits tirés des services d'itinérance sortante
découlant de l'adoption croissante des forfaits Canada -
États-Unis.
- Les activations nettes d'abonnés utilisant des appareils
mobiles connectés ont diminué de 12,5 % pour s'établir à
56 216 au T3 2024, malgré l'augmentation des abonnements
pour voiture connectée. Cette diminution s'explique par la baisse
des activations nettes d'IdO des particuliers, qui peuvent fluctuer
d'un trimestre à l'autre, et par le nombre accru de désactivations
d'appareils de données. La clientèle d'abonnés utilisant des
appareils mobiles connectés10 totalisait
2 943 087 abonnés à la fin du T3 2024, en
hausse de 10,9 % par rapport à l'exercice précédent.
- Bell a ajouté 42 415 abonnés nets des services
Internet de détail10, comparativement à 79 327 au
T3 2023, un trimestre record pour ce qui est des activations
nettes de services Internet par fibre. Malgré la forte demande
soutenue pour les services de fibre de Bell et les offres de
forfaits de services mobiles, la diminution observée d'un exercice
à l'autre est le reflet du ralentissement de la croissance dans le
secteur, le taux de pénétration des services Internet étant déjà
élevé au Canada, du recul du nombre de résidents non permanents, de
la diminution de l'expansion de la zone de couverture du réseau de
fibre par rapport à l'exercice précédent et de la hausse des
désactivations d'abonnés attribuable aux offres accrocheuses des
concurrents offrant des services de câblodistribution, des services
Internet sans fil fixe et des services Internet par satellite.
- Le nombre d'abonnés des services Internet de détail totalisait
4 456 709 à la fin du T37, 8, en hausse de
0,9 % par rapport à l'exercice précédent. À la suite d'une
récente décision du CRTC visant les services d'accès Internet haute
vitesse de gros, nous ne sommes plus en mesure de revendre des
services Internet par câble à de nouveaux clients dans notre zone
de couverture des services sur fil depuis le
12 septembre 2024. Par conséquent, nous avons retiré la
totalité des 106 259 abonnés existants aux services par
câble dans la zone de couverture des services sur fil de notre base
d'abonnés aux services Internet de détail à cette date.
- Bell a ajouté 9 197 abonnés nets des services de télé
IP de détail, en baisse par rapport à 35 976 au T3 2023.
La baisse d'un exercice à l'autre est principalement due à la
diminution des activations d'abonnés, en particulier pour notre
service de télé en continu Télé Fibe, et à la diminution de
l'utilisation en raison de la baisse des volumes des services
Internet. À la fin du T3, Bell desservait
2 133 397 abonnés des services de télé IP de
détail8, 10, soit une hausse de 4,2 % par rapport à
l'exercice précédent.
- Les pertes nettes d'abonnés des SAR filaires résidentiels de
détail se sont établies à 47 674, comparativement à
41 776 au T3 2023. L'augmentation des pertes nettes d'un
exercice à l'autre reflète la diminution des activations brutes
découlant de la diminution de l'utilisation en raison de la baisse
des volumes des services Internet. Le nombre d'abonnés des SAR
filaires résidentiels de détail de Bell8, 10 totalisait
1 876 782 à la fin du T3 2024, en baisse de
8,9 % par rapport à l'exercice précédent.
__________________
|
6 Au
T1 2024, nous avons ajusté notre clientèle d'abonnés des
services postpayés utilisant des téléphones mobiles afin d'en
retirer 105 802 abonnés des services d'affaires qui ne
génèrent que très peu de produits ou pas de produits du tout. De
plus, au T1 2024, notre clientèle d'abonnés des services
Internet haute vitesse de détail a augmenté de
3 850 abonnés des services d'affaires à la suite d'une
acquisition de petite envergure. Nous avons également retiré
11 645 abonnés des stations Turbo de notre clientèle
d'abonnés des services Internet haute vitesse de détail au
T1 2024, car nous n'annonçons plus activement ce produit dans
la zone de couverture de notre service sans fil jusqu'au domicile.
Enfin, depuis le T1 2024, nous ne présentons plus les abonnés
du service de télé par satellite de détail, car ils ne représentent
plus une proportion importante de nos produits. Ces abonnés ont
donc été retirés des abonnés des services de télé de détail, et
nous ne présentons dorénavant que les abonnés des services de télé
IP de détail.
|
7 Au
T3 2024, nous avons retiré 77 971 abonnés au service
mobile prépayé Virgin Plus de notre base d'abonnés aux services
prépayés utilisant des téléphones mobiles au
30 septembre 2024, car nous avons cessé de vendre de
nouveaux forfaits pour ce service à cette date. En outre, à la
suite d'une récente décision du CRTC visant les services d'accès
Internet haute vitesse de gros, nous ne sommes plus en mesure de
revendre des services Internet par câble à de nouveaux clients dans
notre zone de couverture des services sur fil depuis le
12 septembre 2024 et, par conséquent, nous avons retiré
la totalité des 106 259 abonnés existants aux services
par câble dans la zone de couverture des services sur fil de notre
base d'abonnés aux services Internet haute vitesse de détail à
cette date.
|
8 Au
T2 2024, nous avons augmenté notre clientèle d'abonnés des
services de télé IP de détail de 40 997 pour aligner le calcul
de la désactivation de nos services de télé en continu Télé Fibe
sur celui de notre service Télé Fibe traditionnel. Au T2 2023,
notre clientèle d'abonnés des services Internet haute vitesse de
détail, des services de télé IP de détail et des SAR filaires
résidentiels de détail a augmenté de 35 080 abonnés, de
243 abonnés et de 7 458 abonnés, respectivement, à la
suite d'acquisitions de petite envergure.
|
9 Le RMU se
définit comme les produits externes tirés des services sans fil du
secteur Bell SCT divisés par le nombre moyen d'abonnés utilisant
des téléphones mobiles pour la période visée, et est exprimé en
unité monétaire par mois. Se reporter à la section Indicateurs
de performance clés du présent communiqué de presse pour un
complément d'information sur le RMU combiné.
|
10 Se
reporter à la section Indicateurs de performance clés du
présent communiqué de presse pour un complément d'information sur
le taux de désabonnement et les unités d'abonnement (ou
clients).
|
Bell Média
- Les produits d'exploitation de Bell Média se sont accrus de
10,1 % au T3 2024 par rapport au T3 2023, pour
s'établir à 782 millions $, en raison de la hausse d'un
exercice à l'autre des produits tirés de la publicité et des
produits tirés des frais d'abonnement.
- Les produits tirés de la publicité ont augmenté de 7,9 %,
ce qui est attribuable à l'augmentation des produits tirés de la
publicité numérique, à la hausse de la performance d'un exercice à
l'autre des chaînes de télé sportives spécialisées et à l'apport
financier de l'acquisition d'OUTEDGE Media Canada. Ce résultat a
été réalisé malgré la faiblesse persistante de la demande globale
sur le marché de la publicité traditionnelle à la télé.
- La croissance des produits tirés des frais d'abonnement de
13,5 % reflète des ajustements rétroactifs liés à des contrats
conclus avec des fournisseurs de services de télé canadiens et la
croissance continue du nombre d'abonnés aux services de diffusion
en continu directement aux consommateurs de Crave et de
programmation sportive.
- Les produits totaux liés au contenu numérique ont augmenté de
19 %, en raison de la forte croissance de la publicité
numérique découlant de la place de marché de publicité
programmatique de Bell Média et de la croissance continue du nombre
d'abonnés aux services de diffusion en continu directement aux
consommateurs de Crave et de programmation sportive. L'augmentation
des produits tirés de la publicité numérique reflète l'utilisation
accrue de l'outil de gestion stratégique des audiences (SAM), un
outil de vente, ainsi que la croissance du nombre d'abonnés à la
formule d'abonnement à Crave soutenue par la publicité et au
service Télévision adressable. Le nombre total d'abonnements à
Crave a augmenté de 12 % comparativement à la période
correspondante de l'exercice précédent pour s'établir à plus de
3,4 millions, grâce à la hausse de 34 % du nombre d'abonnés au
service de diffusion en continu directement aux consommateurs de
Crave, tandis que le nombre d'abonnés aux services de diffusion en
continu directement aux consommateurs de programmation sportive
s'est accru de 45 %, grâce à un contenu sportif en direct de
premier choix, notamment la Coupe des présidents 2024,
l'EURO 2024 de l'UEFA et la Copa América 2024 de la
CONMEBOL.
- Au T3 2024, le BAIIA ajusté a augmenté de 25,1 % par
rapport au T3 2023, pour s'établir à 254 millions $,
ce qui représente une hausse de 3,9 points de pourcentage de
la marge, qui s'est établie à 32,5 %. Cette augmentation
s'explique par la hausse des produits d'exploitation, malgré
l'augmentation de 4,1 % des coûts d'exploitation découlant de
la hausse des coûts liés au contenu télévisuel et de l'acquisition
d'OUTEDGE Media Canada, facteurs ayant été en partie contrebalancés
par les initiatives de restructuration mises en œuvre au cours de
la dernière année.
- RDS est arrivé au premier rang des chaînes spécialisées de
langue française hors actualités; TSN était le premier réseau
sportif au Canada et la première chaîne spécialisée au
T3 2024.
- Bell Média s'est classée au premier rang pour le nombre de
téléspectateurs sur un jour entier dans tout le marché de la télé
spécialisée dans le divertissement et payante de langue
française.
DIVIDENDE SUR ACTIONS ORDINAIRES
Le conseil d'administration de BCE a déclaré un dividende
trimestriel de 0,9975 $ par action ordinaire, payable le 15 janvier
2025 aux actionnaires inscrits à la fermeture des bureaux le 16
décembre 2024.
PERSPECTIVES MISES À JOUR POUR 2024
BCE a mis à jour les objectifs de son orientation financière
pour 2024, tels qu'ils ont été présentés le 8 février 2024 :
|
Résultats
pour 2023
|
Orientation
pour 2024
(8 février)
|
Orientation
pour 2024
(7 novembre)
|
Croissance des
produits
|
2,1 %
|
0 % à
4 %
|
Environ
(1,5) %
|
Croissance du BAIIA
ajusté
|
2,1 %
|
1,5 % à
4,5 %
|
Aucun
changement
|
Intensité du
capital
|
18,6 %
|
Moins de
16,5 %
|
Aucun
changement
|
Croissance du BPA
ajusté
|
(4,2) %
|
(7) % à
(2) %
|
Aucun
changement
|
Croissance des flux de
trésorerie disponibles
|
2,5 %
|
(11) % à
(3) %
|
Aucun
changement
|
Dividende sur actions
ordinaires annualisé
|
3,87 $
|
3,99 $
|
Aucun
changement
|
Nous avons l'intention de réduire considérablement nos dépenses
d'investissement en 2024, ce qui résulte directement des
politiques du gouvernement fédéral et entraînera un ralentissement
de l'expansion du réseau pure fibre et une réduction des dépenses
dans les secteurs hautement réglementés. Nous nous attendons à ce
que l'augmentation de la charge d'intérêts, la hausse de la
dotation aux amortissements et la diminution des profits à la vente
de biens immobiliers entraînent une baisse du BPA ajusté
en 2024. En 2024, nous nous attendons également à ce que
la hausse des indemnités de départ liées aux initiatives de
restructuration de l'effectif, la hausse des intérêts payés et la
baisse des fonds provenant du fonds de roulement fassent diminuer
les flux de trésorerie disponibles.
Nous avons revu nos prévisions de produits des activités
ordinaires pour 2024 à la baisse, les faisant passer d'une hausse
de 0 % à 4 % à une baisse d'environ 1,5 %, en raison
des produits d'exploitation tirés des produits des services sans
fil moins élevés que prévu imputables à la baisse des ventes
d'appareils mobiles, du calendrier des ventes d'appareils mobiles à
certaines grandes entreprises clientes, du retard dans la
transition des magasins La Source à l'enseigne Best Buy Express,
ainsi que de l'incidence cumulée des pressions sur les prix des
services sans fil exercées au cours de la dernière année sur le RMU
combiné des abonnés utilisant des téléphones mobiles. Tous les
autres objectifs de l'orientation financière pour 2024
demeurent inchangés.
Veuillez consulter la section Mise en garde concernant les
déclarations prospectives plus loin dans ce communiqué pour
obtenir une description des principales hypothèses sur lesquelles
repose l'orientation financière 2024 de BCE, ainsi que des
principaux facteurs de risque connexes.
TÉLÉCONFÉRENCE À L'INTENTION DES ANALYSTES FINANCIERS
BCE tiendra une téléconférence à l'intention de la communauté
financière afin de traiter de ses résultats du T3 2024, le
jeudi 7 novembre, à 8 h (heure de l'Est). Les
journalistes sont invités à y assister à titre d'auditeurs
seulement. Pour y assister, veuillez composer le numéro sans frais
1 844 933‑2401 ou le 647 724‑5455. Une reprise sera
disponible jusqu'à minuit le 7 décembre 2024 au
1 877 454‑9859 ou au 647 483‑1416 (composez le code
d'identification 2506355 #). La conférence téléphonique
fera également l'objet d'une webdiffusion en direct sur le site Web
de BCE, à Téléconférence sur les résultats de BCE pour le
T3 2024.
MESURES FINANCIÈRES NON CONFORMES AUX PCGR ET AUTRES MESURES
FINANCIÈRES
BCE utilise diverses mesures financières pour évaluer son
rendement. Certaines de ces mesures sont calculées conformément aux
Normes internationales d'information financière (IFRS ou PCGR),
tandis que d'autres n'ont pas de définition normalisée en vertu des
PCGR. Nous croyons que nos mesures financières conformes aux PCGR,
lues conjointement avec les mesures financières ajustées non
conformes aux PCGR et les autres mesures financières, permettent
aux lecteurs de mieux comprendre comment la direction évalue le
rendement de BCE.
Le Règlement 52‑112 sur l'information concernant les
mesures financières non conformes aux PCGR et d'autres mesures
financières (le Règlement 52‑112) prescrit les obligations
d'information qui s'appliquent aux mesures financières suivantes
:
- mesures financières non conformes aux PCGR;
- ratios non conformes aux PCGR;
- total des mesures sectorielles;
- mesures de gestion du capital;
- mesures financières supplémentaires.
La présente rubrique fournit une description et un classement
des mesures financières définies dans le Règlement 52‑112 que
nous utilisons dans le présent communiqué de presse pour expliquer
nos résultats financiers, et, dans le cas des mesures financières
supplémentaires, une explication de ces mesures est fournie
lorsqu'il en est fait mention pour la première fois dans le présent
communiqué de presse si le libellé des mesures financières
supplémentaires n'est pas suffisamment descriptif.
Mesures financières non conformes aux PCGR
Une mesure financière non conforme aux PCGR est une mesure
financière utilisée pour décrire notre performance financière,
notre situation financière ou nos flux de trésorerie passés ou
futurs prévus et, en ce qui concerne sa composition, elle exclut un
montant compris dans la mesure financière la plus directement
comparable présentée dans les états financiers consolidés de base
de BCE ou encore inclut un montant non compris dans cette mesure.
Nous sommes d'avis que les mesures financières non conformes aux
PCGR reflètent nos résultats d'exploitation courants et permettent
aux lecteurs de comprendre le point de vue de la direction et
l'analyse de notre rendement.
Les mesures financières non conformes aux PCGR que nous
utilisons dans le présent communiqué de presse pour expliquer nos
résultats sont décrites ci-après, et nous présentons des
rapprochements avec les mesures financières conformes aux IFRS les
plus directement comparables.
Bénéfice net ajusté - Le bénéfice net ajusté est une
mesure financière non conforme aux PCGR qui n'a pas de définition
normalisée en vertu des normes IFRS. Par conséquent, il est peu
probable qu'il soit comparable à des mesures similaires présentées
par d'autres émetteurs.
Nous définissons le bénéfice net ajusté comme (la perte nette)
le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires avant les
coûts liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres,
les pertes nettes (profits nets) lié(e)s à la valeur de marché sur
dérivés utilisés à titre de couverture économique des régimes de
rémunération fondée sur des actions qui sont réglés en instruments
de capitaux propres, les pertes nettes (profits nets) sur
participations mises en équivalence dans des entreprises associées
et des coentreprises, les pertes nettes (profits nets) sur
placements, les coûts liés au remboursement anticipé de la dette,
la perte de valeur d'actifs et les activités abandonnées, déduction
faite de l'impôt et des participations ne donnant pas le contrôle
(PNDPC).
Nous utilisons le bénéfice net ajusté et nous croyons que
certains investisseurs et analystes utilisent cette mesure, entre
autres, pour évaluer la performance de nos activités avant
l'incidence des coûts liés aux indemnités de départ, aux
acquisitions et autres, des pertes nettes (profits nets) lié(e)s à
la valeur de marché sur dérivés utilisés à titre de couverture
économique des régimes de rémunération fondée sur des actions qui
sont réglés en instruments de capitaux propres, des pertes nettes
(profits nets) sur participations mises en équivalence dans des
entreprises associées et des coentreprises, des pertes nettes
(profits nets) sur placements, des coûts liés au remboursement
anticipé de la dette, de la perte de valeur d'actifs et des
activités abandonnées, déduction faite de l'impôt et des PNDPC.
Nous excluons ces éléments parce qu'ils ont une influence sur la
comparabilité de nos résultats financiers et peuvent éventuellement
donner une fausse représentation de l'analyse des tendances en
matière de performance de l'entreprise. Le fait d'exclure ces
éléments ne veut pas dire qu'ils sont non récurrents.
(La perte nette) le bénéfice net attribuable aux actionnaires
ordinaires est la mesure financière conforme aux normes IFRS la
plus directement comparable.
Le tableau suivant présente un rapprochement (de la perte nette)
du bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires et du
bénéfice net ajusté sur une base consolidée.
(en millions de dollars)
|
T3 2024
|
T3 2023
|
(Perte nette) bénéfice
net attribuable aux actionnaires ordinaires
|
(1 237)
|
640
|
Éléments de
rapprochement :
|
|
|
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
|
49
|
10
|
(Profits nets) pertes
nettes lié(e)s à la valeur de marché sur dérivés
utilisés à titre de couverture économique des régimes
de
rémunération fondée sur des actions qui sont réglés
en
instruments de capitaux propres
|
(42)
|
128
|
Pertes nettes sur
participations mises en équivalence dans
des entreprises associées et des coentreprises
|
154
|
-
|
(Profits nets) pertes
nettes sur placements
|
(66)
|
1
|
Coûts liés au
remboursement anticipé de la dette
|
-
|
-
|
Perte de valeur
d'actifs
|
2 113
|
-
|
Impôt lié aux éléments
de rapprochement ci-dessus
|
(258)
|
(38)
|
PNDPC au titre des
éléments de rapprochement susmentionnés
|
(25)
|
-
|
Bénéfice net ajusté
|
688
|
741
|
Flux de trésorerie disponibles - Les flux de
trésorerie disponibles sont une mesure financière non conforme aux
PCGR qui n'a pas de définition normalisée en vertu des normes IFRS.
Par conséquent, il est peu probable qu'ils soient comparables à des
mesures similaires présentées par d'autres émetteurs.
Nous définissons les flux de trésorerie disponibles comme les
flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation, exclusion
faite des rentrées de trésorerie provenant des activités
abandonnées, des coûts liés aux acquisitions et autres payés, qui
comprennent les coûts importants liés aux litiges, et du
financement des cotisations volontaires aux régimes de retraite,
moins les dépenses d'investissement, les dividendes sur actions
privilégiées et les dividendes payés par des filiales aux
détenteurs de PNDPC. Nous excluons les rentrées de trésorerie
provenant des activités abandonnées, les coûts liés aux
acquisitions et autres payés et le financement des cotisations
volontaires aux régimes de retraite parce qu'ils ont une influence
sur la comparabilité de nos résultats financiers et peuvent
éventuellement donner une fausse représentation de l'analyse des
tendances en matière de performance de l'entreprise. Le fait
d'exclure ces éléments ne veut pas dire qu'ils sont non
récurrents.
Nous considérons les flux de trésorerie disponibles comme un
important indicateur de la solidité financière et de la performance
de nos activités. Les flux de trésorerie disponibles indiquent le
montant de trésorerie disponible pour verser des dividendes sur les
actions ordinaires, rembourser la dette et réinvestir dans notre
société. Nous croyons que certains investisseurs et analystes
utilisent les flux de trésorerie disponibles pour évaluer une
entreprise et ses actifs sous-jacents et pour évaluer la solidité
financière et la performance de ses activités. Les flux de
trésorerie liés aux activités d'exploitation sont la mesure
financière conforme aux normes IFRS la plus directement
comparable.
Le tableau suivant présente un rapprochement des flux de
trésorerie liés aux activités d'exploitation et des flux de
trésorerie disponibles sur une base consolidée.
(en millions de dollars)
|
T3 2024
|
T3 2023
|
Flux de trésorerie
provenant des activités d'exploitation
|
1 842
|
1 961
|
Dépenses
d'investissement
|
(954)
|
(1 159)
|
Dividendes en
trésorerie payés sur actions privilégiées
|
(43)
|
(35)
|
Dividendes en
trésorerie payés par des filiales aux détenteurs de
PNDPC
|
(14)
|
(13)
|
Coûts liés aux
acquisitions et autres payés
|
1
|
-
|
Flux de trésorerie disponibles
|
832
|
754
|
Ratios non conformes aux PCGR
Un ratio non conforme aux PCGR est une mesure financière
présentée sous la forme d'un ratio, d'une fraction, d'un
pourcentage ou d'une représentation similaire et dont une ou
plusieurs composantes sont des mesures financières non conformes
aux PCGR.
Le ratio financier non conforme aux PCGR que nous utilisons dans
le présent communiqué de presse pour expliquer nos résultats est
décrit ci-après.
BPA ajusté - Le BPA ajusté est un ratio non conforme
aux PCGR et n'a pas de définition normalisée en vertu des normes
IFRS. Par conséquent, il est peu probable qu'il soit comparable à
des mesures similaires présentées par d'autres émetteurs.
Nous définissons le BPA ajusté comme le bénéfice net ajusté par
action ordinaire de BCE. Le bénéfice net ajusté est une mesure
financière non conforme aux PCGR. Pour plus de détails sur le
bénéfice net ajusté, voir la section Mesures financières non
conformes aux PCGR ci-dessus.
Nous utilisons le BPA ajusté et nous croyons que certains
investisseurs et analystes utilisent ce ratio, entre autres, pour
évaluer la performance de nos activités avant l'incidence des coûts
liés aux indemnités de départ, aux acquisitions et autres, des
pertes nettes (profits nets) lié(e)s à la valeur de marché sur
dérivés utilisés à titre de couverture économique des régimes de
rémunération fondée sur des actions qui sont réglés en instruments
de capitaux propres, des pertes nettes (profits nets) sur
participations mises en équivalence dans des entreprises associées
et des coentreprises, des pertes nettes (profits nets) sur
placements, des coûts liés au remboursement anticipé de la dette,
de la perte de valeur d'actifs et des activités abandonnées,
déduction faite de l'impôt et des PNDPC. Nous excluons ces éléments
parce qu'ils ont une influence sur la comparabilité de nos
résultats financiers et peuvent éventuellement donner une fausse
représentation de l'analyse des tendances en matière de performance
de l'entreprise. Le fait d'exclure ces éléments ne veut pas dire
qu'ils sont non récurrents.
Total des mesures sectorielles
Un total de mesures sectorielles est une mesure financière qui
correspond à un total partiel ou à un total de deux secteurs à
présenter ou plus et qui est présenté dans les notes des états
financiers consolidés de base de BCE.
Le total des mesures sectorielles que nous utilisons dans le
présent communiqué de presse pour expliquer nos résultats est
décrit ci-après, et nous présentons un rapprochement avec la mesure
financière conforme aux normes IFRS la plus directement
comparable.
BAIIA ajusté - Le BAIIA ajusté est un total des
mesures sectorielles. Nous définissons le BAIIA ajusté comme les
produits d'exploitation moins les coûts d'exploitation, comme il
est présenté dans les états consolidés du résultat net de BCE.
La mesure financière conforme aux IFRS la plus directement
comparable est (la perte nette) le bénéfice net.
Le tableau suivant présente un rapprochement (de la perte nette)
du bénéfice net et du BAIIA ajusté sur une base consolidée.
(en millions de dollars)
|
T3 2024
|
T3 2023
|
(Perte nette) bénéfice
net
Coûts liés aux
indemnités de départ, aux acquisitions et autres
Amortissement des
immobilisations corporelles
Amortissement des
immobilisations incorporelles
Charges
financières
Charges
d'intérêts
Rendements
nets au titre des régimes d'avantages postérieurs
à l'emploi
Perte de valeur
d'actifs
Autres
charges
Impôt sur le
résultat
|
(1 191)
49
934
325
440
(16)
2 113
63
5
|
707
10
937
295
373
(27)
-
129
243
|
BAIIA ajusté
|
2 722
|
2 667
|
Mesures financières supplémentaires
Une mesure financière supplémentaire est une mesure financière
qui n'est pas présentée dans les états financiers consolidés de BCE
et qui est, ou est destinée à être, présentée périodiquement pour
représenter la performance financière, la situation financière ou
les flux de trésorerie passés ou futurs prévus.
Une explication de ces mesures est fournie lorsqu'il en est fait
mention pour la première fois dans le présent communiqué de presse
si le libellé des mesures financières supplémentaires n'est pas
suffisamment descriptif.
INDICATEURS DE PERFORMANCE CLÉS (IPC)
Nous utilisons la marge du BAIIA ajusté, le RMU combiné,
l'intensité du capital, le taux de désabonnement et les unités
d'abonnement (ou clients ou SAR) afin d'évaluer les progrès
accomplis à l'égard de nos impératifs stratégiques. Ces indicateurs
de performance clés ne sont pas des mesures comptables et
pourraient ne pas être comparables à des mesures similaires
présentées par d'autres émetteurs.
À propos de BCE
Plus grande entreprise de communications du Canada11,
BCE offre des services évolués d'Internet à large bande, sans fil,
de télévision, de médias et de communications d'affaires. Pour en
savoir plus, visitez les sites Bell.ca ou BCE.ca.
Dans le cadre de Mieux pour tous, nous investissons dans
l'amélioration du présent et de l'avenir en soutenant la prospérité
sociale et économique de nos collectivités. Parmi nos initiatives,
Bell Cause pour la cause fait la promotion de la santé mentale au
Canada par des campagnes nationales de sensibilisation et de lutte
contre la stigmatisation, comme la Journée Bell Cause pour la
cause, et par le versement de dons importants pour les soins et
l'accès communautaires, la recherche et les initiatives en milieu
de travail à l'échelle du pays. Pour en savoir plus, visitez le
site Bell.ca/Cause.
_______________________
|
11 En
fonction du total du chiffre d'affaires et du total combiné de
connexions clients.
|
Questions des médias :
Ellen
Murphy
media@bell.ca
Questions des investisseurs :
Richard Bengian
514 786‑8219
richard.bengian@bell.ca
MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS
PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans le présent communiqué
constituent des déclarations prospectives. Ces déclarations
comprennent, sans s'y limiter, des déclarations concernant
l'orientation financière de BCE (ce qui inclut les produits des
activités ordinaires, le BAIIA ajusté, l'intensité du capital, le
BPA ajusté et les flux de trésorerie disponibles), l'acquisition
proposée par Bell Canada de Ziply Fiber, la conclusion prévue de
l'acquisition et le moment auquel elle devrait avoir lieu, certains
avantages qui devraient découler de l'acquisition proposée, y
compris le nombre prévu d'emplacements connectés au service par
fibre qui devrait être ajoutés à la zone de couverture du réseau de
fibre de Bell au moment de la clôture de l'acquisition proposée, le
nombre combiné prévu d'emplacements connectés au service par fibre
de Ziply Fiber et de Bell Canada à
la clôture de l'acquisition proposée ainsi que le nombre cible qui
devait être atteint d'ici la fin de 2028, la cession proposée de la
participation de BCE dans MLSE, la conclusion prévue de la cession
et le moment auquel elle devrait avoir lieu, l'accès planifié de
Bell Média aux droits sur le contenu liés aux Maple Leafs de
Toronto et aux Raptors de
Toronto pour les 20 prochaines
années dans le cadre d'une entente à long terme avec Rogers,
certains avantages qui devraient découler de l'acquisition de HGC,
le dividende sur actions ordinaires annualisé de BCE
pour 2024, son intention de maintenir ce dividende à ce niveau
en 2025 et le rétablissement éventuel
futur des hausses de dividendes sur les actions ordinaires, les
plans de déploiement des réseaux de BCE ainsi que les dépenses
d'investissement connexes prévues, l'accent que BCE planifie mettre
pour le reste de 2024 et le début de
2025 sur la rentabilité continue et la croissance du nombre
d'abonnés pour améliorer les marges, les perspectives commerciales,
objectifs, plans et priorités stratégiques de BCE, ainsi que
d'autres déclarations qui ne renvoient pas à des faits historiques.
Habituellement, les termes comme hypothèse, but,
orientation, objectif, perspective,
projet, stratégie, cible, engagement et
d'autres expressions semblables, ainsi que les temps et les modes
comme le futur et le conditionnel de certains verbes tels que
viser, s'attendre à, croire, prévoir,
avoir l'intention de, planifier, chercher à et
aspirer à, permettent de repérer les déclarations
prospectives. Toutes ces déclarations prospectives sont faites
conformément aux « dispositions refuges » prévues dans
les lois canadiennes applicables en matière de valeurs mobilières
et dans la loi américaine Private Securities Litigation Reform
Act of 1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font
l'objet de risques et d'incertitudes intrinsèques et reposent sur
plusieurs hypothèses, tant générales que précises, donnant lieu à
la possibilité que les résultats ou les événements réels diffèrent
de façon significative des attentes exprimées ou sous-entendues
dans ces déclarations prospectives et que nos perspectives
commerciales, objectifs, plans et priorités stratégiques ne soient
pas atteints. Ces déclarations ne représentent pas une garantie de
la performance ni des événements futurs, et nous mettons en garde
le lecteur contre le risque que représente le fait de s'appuyer sur
ces déclarations prospectives. Les déclarations prospectives qui
figurent dans le présent communiqué décrivent nos attentes en date
du 7 novembre 2024 et, par conséquent, pourraient changer
après cette date. Sauf dans la mesure où les lois applicables en
matière de valeurs mobilières l'exigent, nous ne nous engageons
aucunement à mettre à jour ou à réviser les déclarations
prospectives figurant dans le présent communiqué, même à la suite
de l'obtention de nouveaux renseignements ou de l'occurrence
d'événements futurs, ni pour toute autre raison. Nous envisageons
régulièrement des opérations potentielles comme des acquisitions,
des cessions, des fusions, des regroupements d'entreprises, des
investissements, des monétisations, des coentreprises ou d'autres
transactions, qui pourraient être importantes. Sauf indication
contraire de notre part, les déclarations prospectives ne tiennent
pas compte de l'effet potentiel de telles transactions ou
d'éléments exceptionnels qui pourraient être annoncés ou survenir
après le 7 novembre 2024. L'incidence financière de ces
transactions et de ces éléments exceptionnels peut s'avérer
complexe et dépend de faits particuliers à chacun d'eux. Nous ne
pouvons donc décrire de manière significative l'incidence prévue ni
la présenter de la même façon que les risques connus touchant nos
activités. Les déclarations prospectives qui figurent dans le
présent communiqué sont présentées dans le but d'aider les
investisseurs et les autres parties à comprendre certains éléments
clés de nos résultats financiers prévus ainsi que nos objectifs,
priorités stratégiques et perspectives commerciales, et à mieux
comprendre le contexte dans lequel nous prévoyons exercer nos
activités. Le lecteur est donc mis en garde contre le fait que
cette information pourrait ne pas convenir à d'autres fins.
Hypothèses importantes
Les déclarations prospectives contenues dans le présent
communiqué de presse reposent sur un certain nombre d'hypothèses
relatives à l'économie, au marché, à l'exploitation et à la finance
formulées par BCE, notamment, sans s'y limiter, les hypothèses qui
suivent.
Hypothèses relatives à l'économie canadienne
Nos déclarations prospectives reposent sur certaines hypothèses
concernant l'économie canadienne. Plus particulièrement, nous nous
sommes appuyés sur les hypothèses suivantes :
- une croissance économique modeste, étant donné la plus récente
estimation de la Banque du Canada en ce qui concerne la croissance
de 1,2 % du produit intérieur brut canadien pour 2024, ce
qui demeure inchangé par rapport à l'estimation précédente;
- une inflation mesurée par l'indice des prix à la consommation
(IPC) qui ralentit, reflétant l'atténuation des pressions
inflationnistes;
- un ralentissement du marché de l'emploi;
- une augmentation des dépenses des consommateurs, soutenue par
les baisses de taux d'intérêt;
- une croissance des investissements des entreprises soutenue par
la diminution des taux d'intérêt et l'augmentation de la
demande;
- des taux d'intérêt qui devraient demeurer aux niveaux observés
actuellement ou près de ces niveaux;
- une diminution de croissance de la population en raison des
changements apportés à la politique gouvernementale en matière
d'immigration;
- un dollar canadien qui devrait se maintenir près de son niveau
actuel. Toute nouvelle fluctuation pourrait être tributaire de
l'incidence de la vigueur du dollar américain, des taux d'intérêt
et des variations des prix des marchandises.
Hypothèses relatives au marché canadien
Nos déclarations prospectives reflètent également diverses
hypothèses relatives au marché canadien. En particulier, nous avons
formulé les hypothèses relatives au marché suivantes :
- l'intensité accrue de la concurrence dans le marché
résidentiel, le marché d'affaires et le marché de gros des services
sur fil et sans fil;
- une hausse, à un rythme toutefois moins rapide, du taux de
pénétration du secteur du sans-fil;
- un effritement du marché des services de connectivité pour les
services voix et données, dans la foulée de la migration de la
clientèle d'affaires vers des solutions de télécommunications à
plus faible prix ou des services par contournement offerts par des
concurrents;
- un ralentissement continu du marché canadien de la publicité
traditionnelle à la télé et à la radio, aucune amélioration n'étant
attendue à moyen terme et le moment et le rythme d'une éventuelle
amélioration restant difficile à prévoir;
- la diminution de la clientèle d'abonnés des entreprises de
distribution de radiodiffusion (EDR) provoquée par
l'intensification de la concurrence découlant du lancement constant
de plateformes de diffusion en continu de vidéo sur demande par
abonnement (VSDA) et de l'expansion des agrégateurs de services par
contournement.
Hypothèses relatives à notre secteur Bell SCT
Nos déclarations prospectives reposent également sur les
hypothèses relatives aux activités d'exploitation internes
suivantes en ce qui concerne notre secteur Bell SCT :
- dans le rapport de gestion annuel 2023 de BCE, nous avons
formulé l'hypothèse qu'il y aurait une augmentation de notre part
du marché des ajouts nets d'abonnés des services utilisant des
téléphones mobiles dans le sans-fil pour les exploitants nationaux.
Nous posons maintenant l'hypothèse que notre part du marché des
ajouts nets d'abonnés des services utilisant des téléphones mobiles
dans le sans-fil pour les exploitants nationaux demeurera stable,
voire diminuera légèrement, étant donné que nous détournons
progressivement notre attention de l'augmentation de notre part de
marché pour nous concentrer sur les résultats économiques et
financiers;
- l'accroissement de l'intensité de la concurrence et des
activités promotionnelles dans toutes les régions et tous les
segments de marché;
- la poursuite de l'expansion et du déploiement des réseaux sans
fil 5G et 5G+, en offrant une couverture et une qualité
concurrentielles;
- la poursuite de la diversification de notre stratégie de
distribution, en mettant l'accent sur l'accroissement des
transactions directement avec le consommateur et en ligne;
- en date du rapport de gestion annuel 2023 de BCE, nous
avions présenté notre hypothèse indiquant un ralentissement de la
croissance du RMU combiné des abonnés utilisant des téléphones
mobiles. Actuellement, notre hypothèse indique la baisse du RMU
combiné des abonnés utilisant des téléphones mobiles, en raison des
pressions concurrentielles sur les prix plus élevées que prévu qui
se sont intensifiées progressivement au cours du premier trimestre
de 2024 et qui se sont maintenues depuis la période de vente
saisonnière plus intense au T4 2023;
- l'adoption continue par la clientèle d'affaires de solutions
évoluées 5G, 5G+ et Internet des objets (IdO);
- l'accroissement de la disponibilité des combinés sans fil et la
stabilité des prix des appareils et des marges connexes;
- la poursuite du déploiement du réseau de fibre permettant la
connexion directe d'un plus grand nombre de foyers et d'entreprises
dans la zone de couverture des services sur fil, mais à un rythme
plus lent qu'au cours de la période de 2020 à 2023;
- la croissance continue du nombre d'abonnés des services
Internet et de télé IP de détail;
- l'accentuation de la substitution technologique par le sans-fil
et les services Internet;
- l'accent soutenu mis sur l'offre de forfaits de services
résidentiels et familiaux à l'intention de la clientèle des
services mobiles et Internet;
- la migration continue des grandes entreprises clientes vers les
systèmes sur IP;
- les pressions continues de la concurrence visant à modifier les
prix dans nos marchés d'affaires et de gros;
- le maintien de l'intensité de la concurrence dans nos marchés
des petites et des moyennes entreprises, les câblodistributeurs et
d'autres entreprises de télécommunications continuant de cibler la
clientèle d'affaires;
- la mise à l'épreuve des catégories de produits qui génèrent
habituellement des marges élevées par l'offre, en croissance au
Canada, de services sur demande des grands fournisseurs mondiaux de
solutions d'affaires pour la transmission de la voix et de données
au moyen de services en nuage et par contournement;
- l'adoption accrue par les abonnés des services par
contournement entraînant la réduction des forfaits télé;
- la consommation croissante des services de télé
par contournement et de vidéo en continu sur demande ainsi que
la multiplication des appareils, comme les tablettes, qui exigent
une bande passante très élevée, ce qui nécessitera un niveau
d'investissements constant;
- la réalisation d'économies de coûts du fait de l'efficacité
opérationnelle découlant de notre zone de couverture du réseau de
fibre au moyen de connexions directes, des changements liés aux
comportements des consommateurs, de l'innovation au chapitre des
produits, de l'adoption du numérique, de l'amélioration des
produits et des services, de l'augmentation des fonctions
libre-service, de nouveaux investissements dans les centres
d'appels et le numérique, d'autres améliorations au chapitre de
l'expérience en matière de service à la clientèle, de la réduction
du nombre de postes de cadre, notamment à la suite de départs
naturels et de départs à la retraite, et de la réduction des taux
contractuels des fournisseurs;
- l'absence d'incidence défavorable significative de nature
financière, opérationnelle ou concurrentielle découlant de
modifications ou de l'application de la réglementation sur nos
activités liées aux services de communications et de
technologies.
Hypothèses relatives à notre secteur Bell
Média
Nos déclarations prospectives reposent également sur les
hypothèses relatives aux activités d'exploitation internes
suivantes en ce qui concerne notre secteur Bell Média :
- des produits liés au contenu numérique totaux qui devraient
refléter la mise à profit continue de notre outil de gestion
stratégique des audiences (SAM) télévisuelles et des plateformes
d'achats (plateforme côté demande), l'expansion du service
Télévision adressable, ainsi que la croissance du nombre d'abonnés
aux services de diffusion directement aux consommateurs qui devrait
contribuer à la mise en œuvre de notre stratégie des médias
numériques d'abord;
- la mise à profit de données internes pour améliorer le ciblage,
la prestation de services publicitaires, y compris une
expérience de visionnement personnalisée, et l'attribution;
- la croissance continue des coûts liés aux médias pour obtenir
du contenu de qualité;
- l'exploitation continue de Crave grâce à une offre de contenu
optimisée, à l'amélioration de l'expérience utilisateur et à
l'élargissement de la distribution;
- un soutien continu du contenu original en français privilégiant
les plateformes numériques comme Crave, Noovo.ca et iHeartRadio
Canada, pour mieux servir notre clientèle francophone en lui
offrant une expérience numérique personnalisée;
- la capacité d'acquérir et de produire avec succès du contenu à
cotes d'écoute élevées et différencié;
- l'établissement et le maintien d'ententes stratégiques
relativement à l'approvisionnement en contenu sur tous les écrans
et toutes les plateformes;
- l'absence d'incidence défavorable significative de nature
financière, opérationnelle ou concurrentielle découlant de
modifications ou de l'application de la réglementation sur nos
activités dans notre secteur des médias.
Hypothèses financières relatives à BCE
Nos déclarations prospectives reposent également sur les
hypothèses financières internes suivantes concernant BCE
pour 2024 :
- un coût des services rendus au titre des régimes d'avantages
postérieurs à l'emploi estimatif d'environ
215 millions $;
- un rendement net au titre des régimes d'avantages postérieurs à
l'emploi estimatif d'environ 70 millions $;
- une dotation aux amortissements d'environ
5 050 millions $ à
6 000 millions $;
- des charges d'intérêts d'environ
1 700 millions $ à
1 750 millions $;
- des intérêts payés d'environ 1 750 millions $ à
1 800 millions $;
- un taux d'imposition moyen effectif d'environ 60 %;
- des participations ne donnant pas le contrôle d'environ
40 millions $;
- des cotisations aux régimes d'avantages postérieurs à l'emploi
d'environ 55 millions $;
- des paiements en vertu de régimes d'autres avantages
postérieurs à l'emploi d'environ 60 millions $;
- des impôts payés (déduction faite des remboursements) d'environ
700 millions $ à 800 millions $;
- un nombre moyen pondéré d'actions ordinaires en circulation de
BCE d'environ 912 millions;
- un dividende sur actions ordinaires annuel de 3,99 $ par
action.
Hypothèses sous-tendant le maintien prévu de la suspension
des cotisations à la plupart de nos régimes de retraite
en 2024
Nous avons posé les hypothèses principales suivantes qui
sous-tendent le maintien prévu de la suspension des cotisations à
la plupart de nos régimes de retraite en 2024 :
- au moment opportun, situation de capitalisation de nos régimes
de retraite à prestations définies correspondant à des excédents
évalués sur une base de continuité et ratios de solvabilité
demeurant supérieurs aux exigences minimales prévues par la loi
pour une suspension des cotisations pour les composantes
prestations définies et cotisations définies, selon ce qui
s'applique;
- aucune détérioration importante de la situation financière de
nos régimes de retraite à prestations définies en raison de la
diminution du rendement des placements ou des taux d'intérêt;
- aucune perte importante liée à l'expérience découlant d'autres
événements, comme un litige ou un changement dans les lois, les
réglementations ou les normes actuarielles ne sera subie.
Les hypothèses ci-dessus, bien qu'elles soient considérées comme
raisonnables par BCE en date du 7 novembre 2024,
pourraient se révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats
réels pourraient différer de façon importante des attentes
exprimées dans le présent communiqué de presse.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque, en conséquence desquels nos
hypothèses et nos estimations pourraient être inexactes et les
résultats ou les événements réels pourraient différer de façon
significative de ceux qui sont exprimés ou sous-entendus dans nos
déclarations prospectives, y compris notre orientation
financière 2024, sont énumérés ci-après. La réalisation de nos
déclarations prospectives, y compris notre capacité à
atteindre nos résultats financiers cibles pour 2024, dépend
essentiellement de la performance de notre entreprise qui, à son
tour, est assujettie à de nombreux risques. Par conséquent, le
lecteur est prié de noter que les risques qui suivent pourraient
avoir une incidence défavorable importante sur nos déclarations
prospectives. Ces risques comprennent, sans s'y limiter :
l'effet négatif de la conjoncture économique défavorable,
y compris un risque de récession, l'inflation élevée,
l'augmentation des taux d'intérêt et la volatilité des marchés des
capitaux et des marchés financiers, et l'incidence négative connexe
sur les dépenses des entreprises et des consommateurs ainsi que sur
la demande de nos produits et services; l'effet négatif du contexte
défavorable lié aux événements géopolitiques; les initiatives, les
procédures et les décisions réglementaires ainsi que les
consultations gouvernementales et les positions gouvernementales
qui nous nuisent et qui influent sur nos activités, notamment en ce
qui a trait à l'accès obligatoire aux réseaux, aux ventes aux
enchères de spectre, à l'imposition de codes de conduite à l'égard
des consommateurs, à l'approbation d'acquisitions, à l'octroi de
licences de radiodiffusion et de spectre, aux exigences relatives à
la propriété étrangère, aux obligations liées à la protection de la
vie privée et à la cybersécurité et au contrôle du piratage des
droits d'auteur; l'incapacité à mettre en œuvre des cadres de
conformité améliorés et à respecter les obligations légales et
réglementaires; un règlement défavorable des litiges; l'intensité
de l'activité de nos concurrents et l'incapacité à réagir
efficacement à la dynamique concurrentielle en pleine évolution; le
rythme de substitution technologique et la présence d'autres
fournisseurs de services qui contribuent aux perturbations et à la
désintermédiation dans chacun de nos secteurs d'activité;
l'évolution des habitudes de la clientèle et l'expansion des
services en nuage et par contournement et autres solutions; les
pressions sur le marché de la publicité découlant de la conjoncture
économique, de la fragmentation et des services numériques non
traditionnels ou mondiaux; l'augmentation des coûts du contenu et
les obstacles à notre capacité à acquérir ou à concevoir du contenu
de premier plan; la hausse du taux de pénétration d'Internet et des
téléphones intelligents au Canada; l'incapacité à faire évoluer et
à transformer nos réseaux, nos systèmes et nos activités au moyen
de technologies de prochaine génération tout en aplanissant notre
structure de coûts, y compris l'incapacité de faire la
transition d'une société de télécommunications traditionnelle à une
société de services technologiques et de médias numériques et de
répondre aux attentes de la clientèle en ce qui a trait aux
produits et à l'expérience en matière de service à la clientèle;
l'incapacité à créer une expérience client positive; l'incapacité à
protéger nos actifs corporels et incorporels contre des événements
comme des atteintes à la sécurité de l'information, l'accès ou
l'entrée non autorisés, des incendies et des catastrophes
naturelles; l'incapacité à mettre en place un cadre de gouvernance
des données efficace; l'incapacité à attirer, à perfectionner et à
conserver une équipe diversifiée et talentueuse capable de faire
avancer nos impératifs stratégiques et notre transformation en une
société de haute technologie; l'incidence négative sur le moral et
l'engagement des membres du personnel des réductions de personnel,
des réductions de coûts ou des restructurations et de la diminution
du niveau de priorité attribué aux initiatives de transformation
découlant des réductions de personnel, des réductions de coûts ou
des restructurations; l'incapacité à gérer adéquatement les
préoccupations de santé et de sécurité; les interruptions de
travail et les pénuries de main-d'œuvre; le risque que nous
puissions devoir engager des dépenses d'investissement importantes
afin de fournir une capacité supplémentaire et de réduire la
congestion sur nos réseaux; les interruptions de service ou les
pannes en raison de défaillances ou de ralentissements de réseau;
les événements liés à la fonctionnalité de nos réseaux, de nos
systèmes de technologies de l'information (TI), de notre équipement
et de nos autres installations, ainsi que notre capacité à les
protéger, à les tester, à les maintenir, à les remplacer et à les
mettre à niveau; l'incapacité d'autres entreprises de
télécommunications sur lesquelles repose la prestation de nos
services, à effectuer les tests, la maintenance, les remplacements
ou les mises à niveau prévus et appropriés de leurs réseaux, de
leur équipement et d'autres installations, ce qui pourrait
entraîner une interruption de nos activités, notamment par suite de
défaillances du réseau ou d'autres infrastructures; la complexité
de nos activités et de nos systèmes de TI et l'incapacité à mettre
en œuvre ou à maintenir des processus et des systèmes de TI très
performants; les risques liés au matériel en orbite et les autres
risques opérationnels auxquels sont exposés les satellites utilisés
pour fournir notre service de télé par satellite; l'incapacité à
accéder à des sources de capital adéquates et à générer des flux de
trésorerie liés aux activités d'exploitation suffisants pour
répondre à nos besoins de liquidités, financer les dépenses
d'investissement et soutenir la croissance planifiée;
l'impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés ou
que le dividende sur actions ordinaires sera maintenu ou majoré par
le conseil d'administration de BCE; l'incapacité à réduire les
coûts et à évaluer adéquatement les priorités en matière
d'investissement, ainsi que toute augmentation imprévue de coûts;
l'incapacité à gérer les différents risques de crédit, de liquidité
et de marché; l'incapacité à faire évoluer nos pratiques afin
d'effectuer un suivi et un contrôle efficaces des activités
frauduleuses; des impôts nouvellement exigés ou plus élevés
découlant de l'adoption de nouvelles lois fiscales ou de
modifications apportées aux lois fiscales existantes ou à leur
interprétation, et l'incapacité à prévoir l'issue des audits
gouvernementaux; l'incidence d'un certain nombre de facteurs sur
nos états financiers et nos estimations; la volatilité des
obligations au titre des prestations de retraite et la hausse des
cotisations aux régimes d'avantages postérieurs à la retraite;
notre dépendance aux tiers fournisseurs, aux impartiteurs et aux
consultants qui nous fournissent de façon ininterrompue les
produits et services dont nous avons besoin; la défaillance de nos
processus de sélection, de gouvernance et de surveillance des
fournisseurs, y compris notre gestion du risque lié aux
fournisseurs en ce qui a trait à la sécurité, à la gouvernance des
données et à l'approvisionnement responsable; la qualité de nos
produits et de nos services et la mesure dans laquelle ils peuvent
comporter des défauts ou ne pas être conformes aux normes et aux
règlements gouvernementaux applicables; les risques de réputation
et l'incapacité à tenir compte des facteurs environnementaux,
sociaux et de gouvernance (ESG) de façon pertinente dans notre
stratégie d'affaires et nos activités; l'incapacité à prendre les
mesures appropriées pour nous adapter aux répercussions
environnementales actuelles et émergentes, y compris les
changements climatiques; les pandémies, épidémies et autres risques
pour la santé, y compris les préoccupations en matière de
santé relatives aux émissions de radiofréquences par des appareils
et des équipements de communications sans fil; l'incapacité à gérer
adéquatement les enjeux sociaux; l'incapacité à développer et à
mettre en œuvre suffisamment de pratiques de gouvernance
d'entreprise; l'incidence négative de divers facteurs internes et
externes sur notre capacité à atteindre nos objectifs ESG,
y compris, sans s'y limiter, ceux liés à la réduction des
émissions de gaz à effet de serre et à la diversité, à l'équité, à
l'inclusion et à l'appartenance; la conclusion de la cession
proposée de Northwestel Inc., qui est assujettie à des conditions
de clôture, y compris l'obtention du financement par
l'acheteur et la réalisation d'un audit préalable de confirmation,
et pour laquelle rien ne garantit par conséquent qu'elle se
concrétisera ultimement ou qu'elle aura lieu selon les modalités
actuellement envisagées; la conclusion prévue de la cession
proposée de la participation de BCE dans MLSE et le moment auquel
elle devrait avoir lieu et l'accès planifié de Bell Média aux
droits sur le contenu liés aux Maple Leafs de Toronto et aux Raptors de Toronto pour les 20 prochaines années dans le
cadre d'une entente à long terme avec Rogers, laquelle est
assujettie à des conditions de clôture, y compris les approbations
des ligues sportives concernées et les autres approbations
habituelles, et l'utilisation prévue par BCE du produit de la
cession proposée, qui peut varier en fonction du moment de la
conclusion de la cession et d'autres facteurs, ainsi que le fait
que rien ne garantit par conséquent que la cession proposée,
l'utilisation prévue du produit et les avantages attendus de la
cession proposée se concrétiseront ou qu'ils se concrétiseront
selon les modalités envisagées actuellement ou au moment attendu;
et la conclusion prévue de l'acquisition proposée de Ziply Fiber et
le moment auquel elle devrait avoir lieu, lesquels sont assujettis
aux conditions de clôture habituelles, y compris les approbations
des organismes de réglementation pertinentes, comme celles de la
Federal Communications Commission et celles de commissions de
services publics de différents États, ainsi que le fait que rien ne
garantit par conséquent que l'acquisition proposée et les avantages
prévus de l'acquisition proposée se concrétiseront ou qu'ils se
concrétiseront selon les modalités envisagées actuellement ou au
moment prévu.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui
précède n'est pas exhaustive et que d'autres facteurs pourraient
avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous
encourageons les investisseurs à lire également le rapport de
gestion annuel de 2023 de BCE daté du 7 mars 2024 et
les rapports de gestion du premier, du deuxième et du troisième
trimestre de 2024 de BCE, respectivement datés du
1er mai 2024, du 31 juillet 2024 et
du 6 novembre 2024, pour obtenir plus de détails au sujet
de certains des facteurs de risque et hypothèses mentionnés et
d'autres facteurs de risque et hypothèses, déposés par BCE auprès
des autorités des provinces canadiennes en valeurs mobilières
(disponibles à sedarplus.ca) et de la Securities and Exchange
Commission des États-Unis (disponibles à SEC.gov). Ces documents
sont également disponibles à BCE.ca.
SOURCE Bell Canada