Stef (STF)
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02/9/2015 22:25
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Ariane
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(Boursier.com) — Après avoir confirmé en juin son intérêt pour une reprise de la compagnie maritime SNCM, le groupe de transport STEF annonce avoir déposé ce mercredi une offre de reprise auprès du Tribunal de Commerce de Marseille, en partenariat avec Baja Ferries. Ces offres sont conjointes et indissociables.
Le projet commun coordonné par STEF et Baja Ferries porte sur deux offres. La première, portée par des experts du transport maritime regroupés au sein d'UniMed (40%), STEF (40%) et des transporteurs routiers corses (20%), propose la reprise de trois activités de la SNCM : la desserte maritime de la Corse, la mission d'agent général pour le compte de divers armements et l'activité d'entretien et de maintenance des navires. Cette offre inclut la reprise de 535 emplois et l'acquisition des navires Pascal Paoli, Jean Nicoli, Paglia Orba et Monte d'Oro, pour un prix de cession de 10 millions d'euros.
La deuxième offre, portée par Baja Ferries, propose de reprendre les activités avec le Maghreb avec une reprise de 191 emplois et l'acquisition des navires Danielle Casanova et Méditerranée pour un prix de cession de 5 millions d'euros.
Les navires des deux compagnies seraient armés sous pavillon français premier registre. Ces deux offres comportent des conditions suspensives.
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02/9/2015 22:26
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Ariane
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(Boursier.com) — Après avoir confirmé en juin son intérêt pour une
reprise de la compagnie maritime SNCM, le groupe de transport STEF
annonce avoir déposé ce mercredi une offre de reprise auprès du
Tribunal de Commerce de Marseille, en partenariat avec Baja Ferries. Ces
offres sont conjointes et indissociables. Le projet commun
coordonné par STEF et Baja Ferries porte sur deux offres. La première,
portée par des experts du transport maritime regroupés au sein d'UniMed
(40%), STEF (40%) et des transporteurs routiers corses (20%), propose la
reprise de trois activités de la SNCM : la desserte maritime de la
Corse, la mission d'agent général pour le compte de divers armements et
l'activité d'entretien et de maintenance des navires. Cette offre inclut
la reprise de 535 emplois et l'acquisition des navires Pascal Paoli,
Jean Nicoli, Paglia Orba et Monte d'Oro, pour un prix de cession de 10
millions d'euros. La deuxième offre, portée par Baja Ferries,
propose de reprendre les activités avec le Maghreb avec une reprise de
191 emplois et l'acquisition des navires Danielle Casanova et
Méditerranée pour un prix de cession de 5 millions d'euros. Les
navires des deux compagnies seraient armés sous pavillon français
premier registre. Ces deux offres comportent des conditions suspensives.
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10/10/2015 10:55
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Ariane
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Publié le 10/10/2015 à 09h41
L'offre conjointe
STEF-Baja Ferries ne sera pas présentée au Tribunal de commerce de
Marseille, mercredi prochain. Deux conditions suspensives n'ont pas pu
être levées, contraignant STEF à jeter l'éponge. (Boursier.com) — Nouveau rebondissement dans le feuilleton SNCM !
Le groupe STEF a annoncé vendredi soir être contraint de renoncer à son
offre de reprise des actifs de la compagnie de ferries reliant la Corse
au continent, déposée conjointement avec Baja Ferries. Deux conditions
suspensives préalables à l'offre n'ont en effet pas pu être levées,
indique le leader européen du transport frigorifique pour expliquer son
retrait. Dans un communiqué, STEF,
pourtant longtemps considéré comme favori sur ce dossier, a précisé que
son offre "comportait cinq conditions préalables, dont l'une relative à
l'autorisation de l'opération par l'Autorité Française de la
Concurrence, et l'autre relative à l'émission par la Commission
Européenne d'une lettre de confort quant à la discontinuité économique
de l'offre par rapport à la SNCM". STEF prié de descendre bien en-deçà de 40% dans le projet ?Or, à quelques jours de l'examen par le tribunal de commerce de Marseille, le 14 octobre, des offres en présence,
"les demandes de l'Autorité Française de la Concurrence et de la
Commission Européenne ne permettent pas en l'état à STEF de devenir
l'actionnaire de référence de la future compagnie dédiée aux activités
Corse et donc d'en garantir la pérennité", a poursuivi le communiqué. Le projet de STEF prévoyait que le groupe s'engage à hauteur de 40% dans le consortium proposant la reprise des activités de la SNCM vers la Corse.
Mais selon un proche du dossier interrogé par 'Les Echos', il a été
demandé à STEF de descendre bien en-deça, avec l'impossibilité
supplémentaire de mettre un euro de plus que les autres actionnaires. Depuis
le dépôt de l'offre de STEF, ses adversaires faisaient valoir que le
groupe était déjà l'un des principaux transporteurs maritimes entre la
Corse et le continent, au travers de sa filiale la Compagnie Méridionale
de Navigation (CMN). Lui céder également la SNCM reviendrait, selon les
lignes, à créer un monopole de STEF ou un duopole avec Corsica Ferries,
estimaient les détracteurs. Dans ces conditions, et "dans un
contexte général empreint, en outre, d'une très grande insécurité
juridique, les partenaires de d'Orbigny Maritime (l'offre fédérée par
STEF) constatent, à regret, qu'ils ne peuvent maintenir leur offre de
reprise", a conclu le communiqué de STEF. Le tribunal devra choisir entre trois, voire seulement deux offres... Mercredi
prochain, le tribunal de commerce de Marseille aura donc à examiner les
trois offres restantes : celles de la société d'investissement Med
Partners de Christian Garin ; celle de Patrick Rocca, toutes les deux
recalées au premier tour, et celle d'un consortium d'entrepreneurs
corses, Corsica Maritima. On ignore si Baja Ferries, associé à STEF, va
maintenir ou non son offre, qui porte sur la seule activité Maghreb de
la SNCM. Le choix des juges pourrait même se réduire à deux offres, celle de Patrick Rocca et celle de Corsica Maritima, s'ils suivent les recommandations des administrateurs judiciaires de la SNCM.
Ces derniers ont en effet conseillé aux juges, le 25 septembre dernier,
de rejeter deux des quatre offres de reprise : celle de STEF-Baja
Ferries et celle de Christian Garin, ancien président du port de
Marseille. Les administrateurs estimaient que l'offre de STEF présentait
des "difficultés judiciaires majeures", et que celle de M. Garin
s'appuyait sur des partenariats industriels "totalement obscurs"... Placée en redressement judiciaire en novembre dernier, la SNCM emploie 2.000 personnes, dont 1.450 en CDI.
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10/10/2015 11:06
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Ariane
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Membre depuis: 29/9/2002
(Actualisé avec Autorité de la concurrence) MARSEILLE, 9 octobre (Reuters) - Le groupe STEF a annoncé vendredi
retirer son offre pour la reprise de la compagnie maritime SNCM placée
en redressement judiciaire en novembre dernier, invoquant le refus de la Commission européenne de lui apporter des garanties. "A défaut d'accord de l'Autorité de la concurrence et de la Commission européenne,
l'offre de la société D'Orbigny Maritime, fédérée par STEF, ne pourra
être présentée au tribunal de commerce de Marseille lors de l'audience
du 14 octobre", peut-on lire dans un communiqué du spécialiste du froid. L'Autorité de la concurrence a précisé par la suite dans un
communiqué qu'elle "n'avait ni autorisé ni interdit l'opération" à ce
stade. "Elle avait néanmoins délivré une dérogation à effet suspensif
afin de permettre à STEF de présenter son offre devant le tribunal de
commerce", précisé l'instance. "Des discussions étaient en cours sur le seul point de savoir si le
montage envisagé était susceptible ou non d'être examiné au titre du
contrôle des concentrations", explique-t-elle. Les offres de reprise restent conditionnées à la résolution des
contentieux européens qui pèsent sur l'avenir de la compagnie maritime,
dont l'actionnaire majoritaire est Transdev, coentreprise entre Veolia
et la Caisse des dépôts. Il s'agit de la transmission de délégation de service public (DSP)
pour assurer les liaisons et des quelque 440 millions d'euros d'aides
publiques que la Commission européenne
juge illégales et dont elle réclame le remboursement, sauf s'il y a
cessation d'activité et reprise dans un périmètre plus réduit. De source proche du dossier, on apprend que la Commission européenne a
délivré "trois lettres de confort" aux repreneurs potentiels, à
l'exception de ceux fédérés par STEF. Ces courriers indiquent que les plans de reprise "seraient de nature à
induire une discontinuité économique" au regard du droit européen, et
donc permettre à l'exécutif européen de renoncer au remboursement des
aides illégales. Le retrait de STEF laisse en course le transporteur corse Patrick
Rocca, le consortium d'entreprises Corsica Maritima et la société
d'investissement Med Partner de Christian Garin. L'offre du consortium corse, qui revendique une centaine
d'entreprises insulaires et 60% du trafic de fret entre la Corse et le
continent, a été recommandée par les administrateurs judiciaires, comme
celle de Patrick Rocca, dans un rapport qui doit servir de base aux
débats du tribunal. La SNCM, qui emploie 1.438 CDD, devrait présenter fin décembre un
résultat net de -10 millions d'euros, contre -50 millions d'euros en
2014. Les offres prévoient la disparition de la moitié des emplois
environ. (Jean-François Rosnoblet avec Sophie Louet à Paris)
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02/11/2015 09:05
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sarkasm
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Membre depuis: 26/2/2009
La société Stef, spécialiste du transport frigorifique, a publié une
nouvelle accélération de l’activité au troisième trimestre. Le chiffre
d’affaires ressort à 728,5 millions d’euros. L’Europe poursuit son
dynamisme et la France accélère.
L'analyse (Investir) Le transporteur frigorifique Stef a signé sa meilleure activité
trimestrielle depuis le début de l’exercice. Elle a progressé de 2,8% à
périmètre constant à 728,5 millions d’euros après avoir enregistré une
croissance de 1,3% au premier trimestre et 2% au deuxième. Les ventes
ont été tirées par une légère accélération du pôle « Logistique France »
qui ressort en progression de 4,3% à 128,6 millions d’euros «
malgré une base de comparaison plus élevée, ce qui masque une vigueur
sous-jacente de l’activité portée par l’industrie agro-alimentaire et
une amélioration des taux de remplissage en surgelés », souligne le
cabinet d’analystes Gilbert Dupont. Les « Activités européennes »
(+5,8% à 155,7 millions d’euros), soutenues par l’Italie et l’Espagne,
ont également participé à la bonne performance du groupe. Le chiffre
d’affaires du troisième trimestre ressort légèrement meilleur que prévu.
Le cabinet d’études Gilbert Dupont tablait sur une croissance organique
de 2,2%. Les analystes estiment que l’amélioration de la consommation
en Europe constitue l’un des principaux moteurs. Le faible prix du carburant touche deux pôles
Les
deux seuls bémols viennent des pôles « Transport France » et « Maritime
». Le premier a connu une stagnation de son chiffre d’affaires à 305,5
millions d’euros, malgré une progression de 1,8% des tonnages
transportés. Dans son communiqué, la direction du groupe souligne le
fait que « l’activité continue d’être impactée par la baisse du prix du carburant répercuté en pied de facture ».
Les facturations du pôle « Maritime » ont quant à elles reculé de 2,3% à
31,8 millions d’euros, et cela en dépit d’une hausse du trafic (+4%
pour le fret et +19% pour les passagers). Ce repli, le groupe l’explique
une nouvelle fois « en raison de la baisse du prix du carburant, inclus dans les tarifs ».
Le conseil
Achat
La croissance continue d’accélérer au troisième trimestre.
L’orientation de l’activité nous conforte dans notre opinion, qui reste
positive alors que la société va au-devant de beaux exercices.
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28/4/2016 23:04
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La Forge
Messages postés: 1345 -
Membre depuis: 03/8/2000
Stef (EU:STF) Graphique Intraday de l'Action Aujourd'hui : Jeudi 28 Avril 2016 (CercleFinance.com) - STEF a rapporté ce jeudi via un communiqué diffusé après Bourse avoir généré un chiffre d'affaires de 657,8 millions d'euros au titre du premier trimestre de son exercice, soit un recul de 0,3% en glissement annuel.
Le spécialiste de la logistique du
froid a attribué ce léger retrait à, notamment, 'des arbitrages sélectifs opérés sur son portefeuille de clients de la Restauration Hors Domicile' ainsi qu'à l'effet négatif de la baisse du prix du carburant.
A
cet égard, retraité de l'effet carburant, la croissance des activités transport et logistique du groupe ressort à 3,5% sur le premier trimestre à 550,7 millions d'euros.
Les augmentations des revenus
issus des pôles 'Transport France', 'Activités internationales' et 'Logistique France' de respectivement 0,4, 3,6 et 3,8% (+3,5% à périmètre constant pour cette dernière division) à 287,4, 142,5 et 120,8 millions d'euros n'ont toutefois pas suffi à compenser les retraits de 9,5 et 14,3% enregistrés dans les branches 'Autres' et 'Maritime' à 87 et 20 millions.
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22/2/2017 17:38
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waldron
Messages postés: 9892 -
Membre depuis: 17/9/2002
- La
société dispose de fondamentaux solides. Plus de 70% des entreprises
présentent un mix de croissance, rentabilité, endettement et visibilité
plus faible. - La société présente une situation fondamentale intéressante dans une optique d'investissement à court terme.
Points forts - Les cours se rapprochent du soutien en données quotidiennes situé vers 79.01 EUR, conférant ainsi un bon timing d'intervention.
- La
visibilité sur les activités du groupe à venir est excellente. Les
analystes couvrant le dossier ont des avis très proches concernant les
revenus futurs de l'entreprise. Cette faible dispersion des estimations
permet de confirmer la bonne prédictibilité du chiffre d'affaires de
l'exercice en cours ainsi que du suivant. - Généralement, la société publie au-dessus du consensus des analystes avec des taux de surprise globalement positifs.
- La
société fait partie des dossiers les plus faiblement valorisés. Le
ratio "valeur d'entreprise sur chiffre d'affaires" s'établit à 0.53 pour
l'année 2016. - L'entreprise fait partie des plus attractives du marché en termes de valorisation basée sur les multiples de résultat.
- Au
cours des 12 derniers mois, les analystes ont largement revu à la
hausse leurs estimations de rentabilité pour les prochains exercices. - L’action présente une configuration technique haussière en données hebdomadaires au-dessus de la zone support des 69.3 EUR.
Points faibles - Les cours approchent d’une forte résistance long terme en données hebdomadaires, située vers 83.35 EUR.
- Avec
une croissance attendue relativement faible, le groupe ne fait pas
partie des dossiers qui disposent des plus forts potentiels de
progression de leur chiffre d'affaires.
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Dernier Message: 22/Fév/2017 16h38
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(Boursier.com) — Après avoir confirmé en juin son intérêt pour une
reprise de la compagnie maritime SNCM, le groupe de transport STEF
annonce avoir déposé ce mercredi une offre de reprise auprès du
Tribunal de Commerce de Marseille, en partenariat avec Baja Ferries. Ces
offres sont conjointes et indissociables.
Le projet commun
coordonné par STEF et Baja Ferries porte sur deux offres. La première,
portée par des experts du transport maritime regroupés au sein d'UniMed
(40%), STEF (40%) et des transporteurs routiers corses (20%), propose la
reprise de trois activités de la SNCM : la desserte maritime de la
Corse, la mission d'agent général pour le compte de divers armements et
l'activité d'entretien et de maintenance des navires. Cette offre inclut
la reprise de 535 emplois et l'acquisition des navires Pascal Paoli,
Jean Nicoli, Paglia Orba et Monte d'Oro, pour un prix de cession de 10
millions d'euros.
La deuxième offre, portée par Baja Ferries,
propose de reprendre les activités avec le Maghreb avec une reprise de
191 emplois et l'acquisition des navires Danielle Casanova et
Méditerranée pour un prix de cession de 5 millions d'euros.
Les
navires des deux compagnies seraient armés sous pavillon français
premier registre. Ces deux offres comportent des conditions suspensives.