81 de 87
-
08/10/2007 17:53
0
M3lanie
Messages postés: 1847 -
Membre depuis: 27/11/2006
Wacre, Nordnord et tous les autres:
http://fr.advfn.com/p.php?pid=fbb_thread&id=588661&bb_id=5
|
82 de 87
-
08/10/2007 17:57
0
batcha
Messages postés: 2418 -
Membre depuis: 20/8/2007
Les ricochets:
|
83 de 87
-
08/10/2007 18:15
0
batcha
Messages postés: 2418 -
Membre depuis: 20/8/2007
îles de retournement:
Graphiques gratuits de fr.advfn.com
|
84 de 87
-
08/10/2007 19:45
0
paquerette2
Messages postés: 639 -
Membre depuis: 30/7/2007
Les places boursières tentées par la méthode Coué
[ 08/10/07 ]
Les marchés financiers semblent vouloir tourner un peu vite la page de la crise de l'été dernier. Le taux de financement interbancaire n'incite pourtant pas à l'optimisme.
La peur et les marchés financiers ne font jamais bon ménage », martèle à l'envi Alan Greenspan. Certes. Mais, après la surprise et l'affolement des premières semaines, c'est presque une insouciance négligente qui colore le propos de beaucoup de commentateurs. On ne sait si on doit admirer cette capacité de résilience pour que le spectacle continue malgré la mort de l'équilibriste ou si on doit redouter ce « wishfull thinking » qui veut ignorer la réalité.
Bien sûr, personne ne conteste la gravité de cette crise du « mal endettement » et de la dilution incontrôlée des risques par le mécanisme ingénieux et diabolique d'une titrisation mal encadrée. Le tout dans un contexte d'expansion monétaire qui a nourri une nouvelle « bulle spéculative », amplifiée par la cavalerie financière des « subprimes ». Et, pour la première fois depuis un demi-siècle, les liquidités interbancaires ont été asséchées par la spirale de la défiance. Si les banques centrales n'avaient pas procédé à des réinjections massives, c'est le krach que l'on commenterait aujourd'hui. Le prêteur de dernier ressort a donc du bon, même si on tendait parfois à l'oublier.
La brèche du krach bancaire étant en voie d'être colmatée - même si on ne sait pas encore localiser les créances douteuses -, ce sont désormais l'évolution des politiques monétaires et leur incidence sur la croissance qui focalisent l'attention. La Réserve fédérale américaine a abaissé le 17 août d'un demi-point son taux d'escompte. La Banque centrale européenne, contrairement à ce qui était anticipé avant l'été, n'a pas relevé son taux directeur le 6 septembre et a confirmé cette attitude attentiste le 4 octobre, compte tenu des tensions inflationnistes.
Trois séries de questions
Dans le fatras des indices, des informations et de leurs interprétations contradictoires, trois séries de questions se posent aujourd'hui. Comment interpréter les chiffres publiés en rafale ? Comment va évoluer la crise financière aux Etats-Unis ? Quelles conséquences sur la croissance mondiale ?
Aujourd'hui, clairement, le marché veut être optimiste, et préfère voir les bonnes nouvelles, comme le rythme soutenu des créations d'emplois en septembre aux Etats-Unis, plutôt que les pertes affichées, comme celles de Merrill Lynch (lire page 34), qui ne concernent pas que les « subprimes ». Dans ce contexte, les prochains indicateurs seront regardés à la loupe, ainsi que les conditions de leur fabrication.
Sur le plan financier, notamment aux Etats-Unis, il va bien falloir que quelqu'un endosse le mistigri des pertes abyssales, même si la sophistication des produits financiers dérivés rend encore difficile leur localisation. Se posera alors la question de l'attitude du banquier central, qui doit veiller à la liquidité du système, mais pas soutenir abusivement les flibustiers, qui devront assumer leurs inconséquences coupables. La poursuite de la chute des prix de l'immobilier, les taux de défaut (entre 35 % et 50 %) sur les « subprimes » affecteront la croissance américaine.
Impact de l'économie américaine
Et l'économie mondiale s'en ressentira forcément, même si certains experts, comme Patrick Artus, directeur des études économiques de Natixis, pensent le contraire. On sent que le marché boursier veut tourner la page : la crise a été gérée par les banques centrales, les économies émergentes n'ont pas été impactées, l'économie réelle résiste. Mais la santé de la première économie mondiale impacte forcément le reste de la planète.
L'onde de choc affectera l'immobilier espagnol et britannique. La crise de confiance interne au système financier se traduira inévitablement par un durcissement des conditions de crédit, une meilleure appréciation du risque et une diminution des financements de marché. Comme le relève Benoît Coeuré, directeur de l'Agence France Trésor, il faut regarder de près le taux de financement interbancaire, dont l'écart par rapport au taux de base (80 points) est le plus élevé depuis... 1929. Ce qui n'incline pas à un grand optimisme. Il est humain d'avoir envie d'être soulagé. Mais il est salutaire de rester vigilant.
|
85 de 87
-
08/10/2007 20:21
0
philippe54
Messages postés: 1086 -
Membre depuis: 08/9/2007
Bonsoir
Nous nous efforçons,en humains responsables ,de trouver une logique a ce passe
dans le monde et a la bourse mais a mon humble avis
la bourse a ses raisons ,que la raison ne connait pas ....ça me rappelle quelqu'un
|
86 de 87
-
08/10/2007 22:30
0
batcha
Messages postés: 2418 -
Membre depuis: 20/8/2007
escalope:
Graphiques gratuits de fr.advfn.com
|
87 de 87
-
08/10/2007 22:31
0
batcha
Messages postés: 2418 -
Membre depuis: 20/8/2007
gros plan:
Graphiques gratuits de fr.advfn.com
|
http://fr.advfn.com/p.php?pid=fbb_thread&id=588661&bb_id=5