Bouygues (EN)
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14/2/2006 17:28
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Laboursefacile
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Depuis le mois de Juin, la tendance haussiére de Bouygues est linéaire.
Deux supports : 43.85 et 41.28.
L'OBV est ascendant et ses bandes de Bollinger divergent, ce qui est très
favorable pour la tendance.
Une petite divergence entre les cours et l'OBV a ralenti la hausse.
Un retour sur la MM20 devient possible mais difficile de dire sous quelle
forme.
Pour l'instant pas de nuages baissiers sérieux.
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24/3/2014 13:09
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waldron
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http://www.boursorama.com/actualites/bouygues--une-consolidation-vers-les-supports-est-probable-f74ac3117d6e01be5c92f77856a94ce7
MOUVEMENTS ET NIVEAUX
Après un plus haut à 32.69 EUR le titre corrige vers la moyenne mobile à 50 jours à 29.67 EUR : le comportement des cours sur ce niveau permettra d'envisager la poursuite du mouvement à moyen terme. Les premiers points d'achats (ou supports court terme) sont à 25.92 EUR et 24.81 EUR. Les résistances sont à 33.71 EUR et 35.94 EUR.
Dernier cours : 29.85
Support : 25.92 / 24.81
Resistance : 33.71 / 35.94
Opinion court terme : neutre
Opinion moyen terme : positive
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25/3/2014 10:48
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waldron
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(CercleFinance.com) - Les analystes de Credit Suisse (NYSE: CS - actualité) se sont penchés de nouveau sur le secteur des télécoms en France, qui va être bouleversé par la vente de SFR par Vivendi (TLO: VIV.TI - actualité) . Bouygues (Other OTC: BOUYF - actualité) et Altice/Numericable sont en lice. En attendant la décision de Vivendi, l'action Iliad (Paris: FR0004035913 - actualité) leur apparaît la plus risquée. Les analystes restent prudemment neutres sur Bouygues, estimant que le titre pourrait baisser un peu si Altice gagnait les enchères. Mais si Bouygues venait à l'emporter et parvenait à mettre en oeuvre les synergies annoncées, l'action pourrait grimper jusqu'à 45 euros. En attendant, l'objectif de cours est relevé de 28 à 31 euros.
A la Bourse de Paris où le CAC 40 prend 0,9%, l'action Bouygues gagne 1,2% à 29,3 euros.
A ce stade, l'action Bouygues n'est pas la préférée de Credit Suisse dans le secteur : seul Altice, principal actionnaire du câblo-opérateur Numericable, bénéficie d'un conseil acheteur de 'surperformance' assorti d'une cible de 35,9 euros. L'avenir du titre Altice est évidemment très lié au résultat de la vente de SFR : s'il remportait le dossier, le cours pourrait se traiter entre 40 et 45 euros, estiment les spécialistes.
Elle n'est pas non plus la plus délaissée : selon Credit Suisse, Orange (Other OTC: FNCTF - actualité) serait le perdant de l'affaire quelque soit l'issue du dossier SFR, en raison de son accord d'itinérance avec Iliad si Bouygues l'emportait, alors que concurrence à quatre mobilopérateurs demeurerait en cas de succès d'Altice/Numericable.
Quid d'Iliad (Dusseldorf: IL2.DU - actualité) (Free) ? Le 4e opérateur mobile a besoin de se doter d'un réseau 4G. Si Numericable l'emportait, Iliad ne pourrait racheter celui de Bouygues et devrait investir pour créer le sien, ce que le consensus ne semble pas prendre en compte, selon Credit Suisse, qui reste neutre avec une cible de 145 euros.
Reste Bouygues. Evidemment, le parcours du titre dépendra de son titre dépendra du choix de Vivendi. Mais ce risque semble modéré au cours actuel. En effet, estime Credit Suisse, l'action Bouygues pourrait tomber à 28 euros si SFR était remporté par Altice/Numericable. Mais en cas de succès du holding et sous réserve que les dix milliards de synergies avant impôts annoncées soient réalisées, l'action Bouygues pourrait grimper jusqu'à 45 euros, dans le meilleur des cas.
De plus, en cas de poursuite des surenchères, le bilan de Bouygues lui offrirait plus de flexibilité. Enfin, le candidature Bouygues paraît avoir les faveurs du gouvernement.
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25/3/2014 12:05
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waldron
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Le SECTEUR TELECOMS reste suivi. BOUYGUES (-1,69%) a précisé vendredi soir que sa nouvelle offre sur SFR, la filiale télécoms de VIVENDI (+0,66%), courait jusqu'au 8 avril, soit quatre jours après la fin des négociations exclusives entre Vivendi et NUMERICABLE (-1,69%).
Altice (-1,95%), maison mère de Numericable, n'envisage pas de modifier son offre pour racheter SFR à Vivendi après la contre-offensive lancée jeudi par Bouygues, selon le Wall Street Journal.
ORANGE perd 0,68% et ILIAD, perçu comme le grand gagnant de la bataille autour de SFR, avance de 0,88%.
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27/3/2014 12:35
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waldron
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(CercleFinance.com) - Selon les Echos, le groupe Bouygues (Other OTC: BOUYF - actualité) serait sur le point de remporter, via une coentreprise détenue à parité avec son partenaire australien Lend Lease, un contrat majeur portant sur la construction d'un double tunnel routier de 9 km de long à Sydney, ville la plus peuplée d'Australie. L'affaire se monterait à 1,8 milliard d'euros.
Dans le détail, ce tunnel reliant deux autoroutes serait destiné à décongestionner le trafic urbain d'une partie des poids lourds.
Les deux partenaires se partageraient, une fois défalqués les coûts annexes, par exemple le foncier, 2,65 milliards de dollars australiens, soit environ 1,8 milliard d'euros.
Le contrat doit encore être finalisé, selon les Echos.
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28/3/2014 15:26
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Ariane
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(CercleFinance.com) - Bouygues refranchit les 30E ce 28 mars puis se fige littéralement pendant 5 heures entre 30,20E (la MM20) et 30,3E.
Le prochain objectif -tout proche- se situe à 31E puis 31,43E (le 'gap' du 13 mars est resté béant à ce niveau).
En cas de repli, surveiller le support des 29,3E: c'est l'oblique de soutien et base du canal ascendant moyen terme.
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01/4/2014 09:52
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waldron
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(CercleFinance.com) - Bouygues déclare ce matin que la durée de validité de son offre de fusion avec SFR, filiale mise en vente par Vivendi, est prolongée du 8 avril (son terme initial) au 25 avril.
Le holding dirigé par Martin Bouygues souhaite ainsi permettre à Vivendi de procéder de façon sereine et approfondie à l'examen de son offre et aux échanges que requiert une opération aussi importante.
Bouygues indique aussi qu'il s'est engagé à payer un break-up fee de 500 millions d'euros si les autorités réglementaires refusaient d'approuver l'accord de rapprochement ou si Bouygues retirait sa demande d'autorisation compte tenu des remèdes exigés. Cette indemnité témoigne de la confiance de Bouygues dans sa capacité à obtenir les autorisations réglementaires
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01/4/2014 21:40
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waldron
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Sur les 5 derniers jours, le titre s'est envolé de 4.05%. Depuis le début de l'année, il est en hausse de 11.05%.
Du point de vue de l'analyse technique : le RSI est supérieur à sa zone de neutralité des 50. Le MACD est inférieur à sa ligne de signal et positif. Le titre pourrait corriger à court terme. Enfin, le titre est supérieur à sa moyenne mobile 50 jours.
A noter que les volumes sont en baisse depuis quelques jours.
Graphiquement : les niveaux de résistances se situent sur : 33 puis 34.2. Tandis que les prochains supports sont sur : 29.5 puis 28.7.
Notre préférence : Achetez Bouygues (EN) tant que 28.7 est support.
Le point d'invalidation de notre scénario est situé sur : 28.7.
Cours de référence : 30.5.
TRADING CENTRAL
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02/4/2014 09:18
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waldron
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(CercleFinance.com) - Bouygues a indiqué mercredi vouloir donner aux actionnaires de Vivendi la possibilité de choisir entre deux offres concernant SFR, à savoir une offre axée sur la création de valeur et une offre privilégiant une composante en numéraire.
Le groupe, qui explique vouloir répondre aux souhaits manifestés par certains actionnaires de Vivendi, prévoit le maintien en vigueur de son offre présentée le 12 mars, offrant à Vivendi une participation plus importante dans le capital du nouvel ensemble.
Cette offre réserverait aux actionnaires de Vivendi une part plus élevée de synergies et de création de valeur, ajoute Bouygues.
Au terme de cette offre, Vivendi recevrait 11,3 milliards d'euros en numéraire et 43% du capital du nouvel ensemble.
Parallèlement, Bouygues laisse en l'état son offre formulée le 20 mars dernier comportant une partie en numéraire de 13,1 milliards d'euros avec une participation de Vivendi qui s'établirait 21,5% du nouvel ensemble.
'Vivendi pourra ainsi opter pour la solution qui lui paraîtra la plus satisfaisante', explique le groupe diversifié, précisant que la date limite de ses deux offres est le 25 avril.
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03/4/2014 19:55
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waldron
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Le conglomérat Bouygues (EN.FR) a annoncé jeudi la reprise du chantier du futur Palais de Justice à Paris, après une décision de justice favorable à sa filiale Arélia, en charge des travaux de contruction.
Le chantier avait dû être interrompu "à la suite des recours déposés par une association d'avocats et des difficultés consécutives à mobiliser les financements privés destinés à cette opération", a expliqué le groupe dans un communiqué.
Jeudi, la cour administrative d'appel de Paris a finalement rejeté la requête de l'association d'avocats demandant l'annulation du contrat passé entre l'Etat et Arélia pour la réalisation du nouveau palais de justice de Paris.
Arélia "annonce, en accord avec l'Etablissement Public du Palais de Justice de Paris, la reprise immédiate du chantier qui permettra ainsi la mise en service du futur Palais de Justice, en 2017", a indiqué Bouygues.
-Blandine Hénault, Dow Jones Newswires; +33 (0)1 40 17 17 53; blandine.henault@wsj.com
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Modifié le 04/4/2014 10:23
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waldron
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(CercleFinance.com) - Bouygues retombe sous les 30E... cela ne remet pas encore en cause le canal ascendant moyen terme mais gare à la cassure des 29,5E car cela validerait le risque d'E/T/E parfaite sous 31/33/31E ('fixings' d'ouverture).
La correction s'enclencherait pour de bon sous le palier support des 29E ('ligne de cou') avec les 26E (plancher de mi-décembre) en ligne de mire.
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04/4/2014 14:24
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waldron
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par Gwénaëlle Barzic et Leila Abboud
PARIS (Reuters) - Bouygues a annoncé vendredi qu'il relevait sensiblement le volet en numéraire de son offre sur l'opérateur SFR, à quelques heures d'un conseil de surveillance décisif de Vivendi qui doit trancher le sort de sa filiale.
Avant ce rebondissement, le prétendant rival Numericable, en négociations exclusives avec Vivendi depuis trois semaines, tenait la corde pour remporter la bataille pour le numéro deux français du mobile, selon deux sources proches du dossier.
Les treize membres votants du conseil de Vivendi, qui se réunissent dans l'après-midi, doivent décider si le groupe scelle un accord définitif avec le câblo-opérateur français dans une transaction de quelque 15 milliards d'euros.
Bouygues, qui a lutté pour rester dans la course, a tenté le tout pour le tout en remettant 1,85 milliard d'euros au pot pour porter à 15 milliards le volet en numéraire de son offre grâce au soutien de nouveaux partenaires.
Bouygues, qui avait déjà enrôlé la Caisse des dépôts ou encore la famille Pinault, a également obtenu l'implication entre autres de l'assureur Axa, de la famille Dassault et du fonds souverain de Singapour.
Vivendi détiendrait 10% du nouvel ensemble constitué de Bouygues Telecom-SFR, représentant une valeur d'un milliard d'euros avant synergies.
Il s'agit de la quatrième proposition de Bouygues qui a notamment surenchéri à deux reprises depuis l'entrée en négociations exclusives de Vivendi avec Numericable le 14 mars.
La nouvelle offre valorise SFR à 16 milliards d'euros avant synergies et en excluant un éventuel complément de prix d'un demi-million d'euros que Bouygues se dit prêt à verser.
DERNIÈRE LIGNE DROITE
La dernière proposition connue de Numericable - 11,75 milliards d'euros en cash et une participation de 32% pour Vivendi - valorise, elle, l'opérateur à 15,3 milliards d'euros, selon deux sources au fait du dossier.
Reste à savoir si ce coup de théâtre de dernière minute sera susceptible de changer la donne au sein du conseil.
Vivendi est depuis le début préoccupé par les risques d'obstacles réglementaires et d'exécution que comporte l'offre de Bouygues, qui conduirait le marché français de la téléphonie mobile à revenir à trois acteurs contre quatre actuellement, expliquent des sources proches des discussions.
Vivendi, qui veut recentrer ses activités sur les médias, est aussi plus enclin à signer un accord avec Numericable dont l'offre apporte au conglomérat une sortie plus rapide des télécoms, soulignent ces sources.
Vivendi n'a pas souhaité faire de commentaire sur les derniers développements.
"Nous avons efficacement travaillé avec Vivendi ces trois dernières semaines. Patrick Drahi est serein car il travaille sur ce projet industriel depuis longtemps", a de son côté déclaré un porte-parole d'Altice, la maison-mère de Numericable, avant que la nouvelle offre de Bouygues soit connue.
En Bourse, Bouygues, qui signait en début de matinée la plus forte baisse de l'indice SBF 120, a réduit ses pertes et ne reculait plus que de 0,98% à 30,34 euros à 13h23. Numericable de son côté cédait 1,47% à 27,49 euros.
La vente de SFR va modifier le paysage du marché français des télécoms fragilisé par deux années de guerre des prix dans la foulée de l'irruption de Free dans la téléphonie mobile.
Pour Vivendi, la vente de SFR, qui représente plus de la moitié de ses revenus et de ses bénéfices, constituera le dernier acte majeur d'une revue de portefeuille entamée en 2012 et qui doit aboutir à un recentrage du conglomérat sur les médias et les contenus.
(avec Sophie Sassard et Matthieu Protard, édité par Marc Joanny)
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04/4/2014 15:02
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waldron
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Membre depuis: 17/9/2002
Le conglomérat Bouygues (EN.FR) a annoncé vendredi que son conseil d'administration avait décidé de proposer en assemblée générale d'offrir à chaque actionnaire, pour le paiement de l'intégralité de son dividende, une option entre un paiement en numéraire ou en actions. L'assemblée générale de Bouygues se réunira le jeudi 24 avril 2014. Il sera proposé à l'assemblée de verser un dividende de 1,60 euro par action.
PRINCIPAUX POINTS DU COMMUNIQUE:
- L'option entre le paiement du dividende en numéraire ou en actions devra être exercée par l'actionnaire entre le 5 mai 2014 et le 20 mai 2014 inclus.
- La mise en paiement du dividende en numéraire ou en actions sera réalisée le 4 juin 2014.
- Une telle décision représente une réelle opportunité pour les actionnaires, surtout si l'on prend en compte le fait que le prix d'émission des actions attribuées en paiement du dividende sera déterminé avec une décote de 10% par rapport à la moyenne des premiers cours cotés aux vingt séances de Bourse précédant la date de l'assemblée générale, ladite moyenne diminuée du montant du dividende.
- Le rapport du conseil d'administration sur les résolutions et le texte de la troisième résolution proposée à l'assemblée générale ont été modifiés en conséquence. Les documents mis en ligne le 3 avril 2014 sur le site Internet de la société prennent en compte ces modifications.
-Dow Jones Newswires; +33 (0)1 40 17 17 75; djbourse.paris@dowjones.com
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04/4/2014 16:01
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waldron
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Membre depuis: 17/9/2002
Président de la SPGP, Cédric Chaboud revient sur la cession à venir de SFR par Vivendi. Il juge l'offre de Numericable plus intéressante que celle de Bouygues, toutefois soutenue par Arnaud Montebourg. Il revient sur les différents scénarios envisageables et sur leurs implications pour les différents acteurs. Le verdict de Vivendi permettra de saisir des opportunités, selon lui.
Capital.fr : Quel jugement portez-vous sur les offres respectives de Bouygues et Numericable pour SFR ?
Cédric Chaboud : Celle de Numericable est la plus susceptible de créer de la valeur à court terme pour Vivendi, elle présente moins de risques sociaux et ne pose pas vraiment de problème de concurrence. Le câblo-opérateur apporterait un actif majeur, la fibre, et ses activités sont très complémentaires de celles de SFR, dont le métier est au contraire redondant avec celui de Bouygues Telecom. Le nouveau SFR (intégrant Numericable, NDLR) serait ainsi un important câblo-opérateur, doté d'une activité mobile. Si Bouygues devait l'emporter, les aspects sociaux seraient plus difficiles à gérer et l'entité Bouygues Telecom-SFR aurait un endettement assez lourd. Le point positif, que joue intelligemment Martin Bouygues, est le passage de 4 à 3 opérateurs, fortement créateur pour ensemble du marché télécom français. A contrario, la relative stabilité des flux de trésorerie de Numericable lui permet d'assumer une dette importante. Enfin, Numericable est déjà coté, ce qui permettrait à Vivendi de sortir plus rapidement du capital de la nouvelle entité, alors que l'introduction en Bourse d'une éventuelle entité Bouygues Telecom-SFR se traduirait par des délais.
Capital.fr : Si Numericable paraît le projet industriel faisant le plus de sens à court terme, Bouygues semble prêt à tout pour l'emporter…
Cédric Chaboud : Bouygues Telecom a des difficultés à gagner de l'argent ...
... Lire la suite sur capital.fr
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04/4/2014 22:53
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Grupo GuitarLumber
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Membre depuis: 24/6/2003
par Gwénaëlle Barzic et Leila Abboud
PARIS (Reuters) - L'avenir de SFR était toujours en suspens vendredi soir, sa maison mère Vivendi ayant annoncé dans la soirée qu'elle poursuivrait durant le week-end l'examen des offres de reprise présentées par Numericable et son rival Bouygues.
"Les travaux du conseil continuent pendant le week-end", a dit une porte-parole de Vivendi, sans plus de détails.
Les treize membres votants du conseil de surveillance de Vivendi ont commencé à se réunir vendredi en milieu d'après-midi. Ils doivent décider si le groupe scelle un accord définitif avec le câblo-opérateur Numericable dans une transaction de quelque 15 milliards d'euros.
Bouygues a cependant dégainé vendredi matin une nouvelle offre - sa quatrième proposition - dans l'espoir de revenir dans le jeu. Avant ce rebondissement, Numericable, en négociations exclusives avec Vivendi depuis trois semaines, tenait la corde pour remporter la bataille, selon deux sources proches du dossier.
Un porte-parole d'Altice, maison mère de Numericable, s'est refusé à tout commentaire vendredi soir.
Bouygues a notamment surenchéri à deux reprises depuis l'entrée de Numericable en négociations exclusives le 14 mars.
"Cette dernière offre de Bouygues ne change rien. Elle n'est même pas une amélioration de l'offre précédente quant au regard de la valorisation globale de SFR", déclarait dans l'après-midi un porte-parole d'Altice. "Cette dernière manoeuvre ne fait que signaler l'hostilité dans laquelle Bouygues s'est enfermé."
Pour Claudio Aspesi, analyste à Bernstein Research, les deux offres en lice restent au final peu éloignées en termes de valorisation totale.
"Aucun des candidats n'est arrivé avec quelque chose qui a tué le match", a-t-il expliqué. "Les investisseurs s'attendaient à ce que cette bataille des offres conduise à une réévaluation des valorisations. Au lieu de cela, il y a juste eu des changements de la répartition du cash et de la participation".
"Enfin une offre cash crédible de la part de Bouygues", estimaient quant à eux les analystes de Jefferies. "Bouygues a fait en sorte que Vivendi ne puisse pas se précipiter pour accepter l'offre de Numericable."
Vivendi, ajoutaient-ils, devrait inviter les candidats à soumettre leurs dernières propositions puis solliciter le feu vert de ses actionnaires pour se protéger de recours probables du candidat qui ne sera pas retenu.
Selon deux sources au fait du dossier, le dirigeant d'Altice Patrick Drahi, dont l'offre expirait ce vendredi, s'est rendu chez Vivendi dans la journée.
DERNIÈRE LIGNE DROITE
Bouygues, qui a bataillé pour rester dans la course, a tenté le tout pour le tout en remettant vendredi 1,85 milliard d'euros au pot pour porter à 15 milliards le volet en numéraire de son offre grâce au soutien de nouveaux partenaires.
Le groupe, qui avait déjà enrôlé la Caisse des dépôts ou encore la famille Pinault, a également obtenu l'implication entre autres de l'assureur Axa, de la famille Dassault et du fonds souverain de Singapour.
Vivendi détiendrait 10% du nouvel ensemble constitué de Bouygues Telecom-SFR, représentant une valeur d'un milliard d'euros avant synergies.
La nouvelle offre valorise SFR à 16 milliards d'euros avant synergies et en excluant un éventuel complément de prix d'un demi-million d'euros que Bouygues se dit prêt à verser.
La dernière proposition connue de Numericable - 11,75 milliards d'euros en cash et une participation de 32% pour Vivendi - valorise, elle, l'opérateur à 15,3 milliards d'euros, selon deux sources au fait du dossier.
Vivendi est depuis le début préoccupé par les risques d'obstacles réglementaires et les risques d'exécution que comporte l'offre de Bouygues, qui conduirait le marché français de la téléphonie mobile à revenir à trois acteurs contre quatre actuellement, expliquent des sources proches des discussions.
Vivendi, qui veut recentrer ses activités sur les médias, est aussi plus enclin à signer un accord avec Numericable dont l'offre apporte au conglomérat une sortie plus rapide des télécoms, soulignent encore ces sources.
En Bourse, Bouygues a clôturé sur un gain de 0,64%. Numericable a cédé 5,25%.
La vente de SFR va modifier le paysage du marché français des télécoms fragilisé par deux années de guerre des prix dans la foulée de l'irruption de Free (Iliad) dans la téléphonie mobile.
Pour Vivendi, la vente de SFR, qui représente plus de la moitié de ses revenus et de ses bénéfices, constituera le dernier acte majeur d'une revue de portefeuille entamée en 2012 et qui doit aboutir à un recentrage du conglomérat sur les médias et les contenus.
(Avec Sophie Sassard, Matthieu Protard et Dominique Rodriguez)
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08/4/2014 11:22
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waldron
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Membre depuis: 17/9/2002
Le conglomérat Bouygues (EN.FR) est en discussions avec Iliad (ILD.FR), maison-mère de l'opérateur de télécommunications Free, pour lui céder sa filiale Bouygues Telecom, rapporte mardi le quotidien Le Parisien-Aujourd'hui en France, sans citer de sources.
Selon le journal, Bouygues réclame 8 milliards d'euros pour céder Bouygues Telecom alors qu'Iliad ne souhaite pas débourser plus de 5 milliards d'euros.
Afin de racheter l'opérateur SFR, Bouygues avait signé le mois dernier un accord avec Iliad pour lui céder son réseau de téléphonie pour 1,8 milliard d'euros en cas de succès de l'opération. La maison-mère de SFR, Vivendi (VIV.FR), a finalement choisi Numericable comme repreneur.
Personne n'était disponible dans l'immédiat chez Bouygues et Iliad pour apporter un commentaire.
A la Bourse de Paris, Bouygues progressait dans la matinée de 3,3% à 29,95 euros et Iliad avançait de 1,8% à 202,20 euros.
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08/4/2014 13:18
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Anonyme
A tonton de la Bordillerie et à son cousin peteplushautquesoncul DE ducon
je dis STOP!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
la prochaine que vous voyez qq1 se noyer , evitez de lui appuyer sur la tete
FUMIERS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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24/4/2014 16:20
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waldron
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Membre depuis: 17/9/2002
Pas si facile de mettre un prix sur Alstom (ALO.FR). D'après Bloomberg, le géant américain General Electric (GE) serait sur le point d'offrir 13 milliards de dollars, ou environ 9,4 milliards d'euros, pour l'industriel français. Cette information n'a été confirmée par aucune des parties en présence. Bien que plausible, le montant évoqué est à manier avec précaution.
Le marché demande à voir. Certes, l'action Alstom grimpe de 10% jeudi, après avoir flambé de 15% en milieu de séance. Mais cela ne valorise le groupe que 7,5 milliards d'euros, ce qui resterait inférieur de 1,9 milliard d'euros à l'offre présumée de GE. Selon Exane BNP Paribas, cela signifie que le marché n'accorde qu'une probabilité de succès de 50% à l'opération.
Autre raison de rester prudent, le groupe américain ne serait intéressé que par les activités énergétiques du conglomérat, selon une information du Figaro, qu'Alstom n'a pas non plus souhaité commenter.
Un bon prix pour Bouygues?
Le prix évoqué de 9,4 milliards d'euros pour l'ensemble du groupe n'est pas dénué de fondements. D'après Natixis, il fait ressortir des multiples de valorisation "dans le haut de la fourchette constatée depuis le retour à meilleure fortune du groupe" en 2008-2009. Il offrirait une porte de sortie honorable au conglomérat Bouygues (EN.FR), l'actionnaire de référence d'Alstom avec 29,4% du capital. "Ce prix revient à 30,50 euros par titre, ce qui correspond assez précisément au prix de revient net de dividendes des titres détenus par Bouygues", a relevé Oddo Securities.
Une valorisation élevée à court terme
Mais cela suffirait-il pour les autres actionnaires du groupe? Bouygues s'est résolu en février à déprécier la valeur de sa part dans Alstom de 1,4 milliard d'euros à 3,08 milliards. Le groupe aurait intérêt à se départir de cette participation qui "n'a pas donné lieu aux synergies commerciales attendues (lors de son entrée au capital) en 2006", selon Natixis. D'autres actionnaires n'accepteraient sans doute pas de vendre à perte.
L'action Alstom s'échangeait largement au-dessus des 30,50 euros avant la fin 2011. Si ce prix paraît élevé, c'est aussi parce qu'il fait ressortir une forte prime par rapport à un cours décoté ces derniers mois.
Peu de points de référence
Malheureusement, les éléments manquent pour valoriser le titre dans le cadre d'une transaction. Certes, des transactions ont peu avoir lieu ces dernières années dans l'un ou l'autre des secteurs dans lesquels Alstom est présent, comme le rail ou l'énergie. Mais "il n'y a pas vraiment de transaction comparable et d'une telle ampleur impliquant un conglomérat" qui pourrait servir de référent pour une offre sur Alstom, a souligné Exane BNP Paribas.
D'autant que de nombreux autres éléments sont à prendre en compte, comme l'éventualité d'une contre-offre ou encore les résistances politiques qu'une offre sur Alstom ne manqueraient pas de provoquer. Même dans une situation plus difficile actuellement, le fabricant du TGV reste considéré comme un fleuron de l'industrie française, qui emploie 18.000 personnes et compte un cinquième de ses effectifs en France. Pour certains, cela n'a pas de prix.
- Ambroise Ecorcheville, Dow Jones Newswires; 33 (0)1 40 17 17 71; ambroise.ecorcheville@wsj.com
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24/4/2014 16:38
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waldron
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L'heure est décidément aux grandes manoeuvres chez Bouygues (EN.FR).
Alors que sa filiale de téléphonie mobile, Bouygues Telecom, reste au coeur des spéculations autour de la réorganisation du secteur français des télécommunications, après avoir échoué à se rapprocher de SFR, voilà qu'Alstom (ALO.FR) se retrouve à son tour sous les projecteurs.
La perspective d'un rachat du constructeur d'infrastructures pour le transport ferroviaire et la production d'électricité par l'américain General Electric (GE), évoqué par des informations de presse non confirmées, bouleverse la donne pour Bouygues et pour le sort de sa participation au capital d'Alstom.
Avec une part de 29,4%, Bouygues est le premier actionnaire d'Alstom. Ce qui en fait l'une des principales parties prenantes d'un éventuel rachat. Selon l'agence Bloomberg, Bouygues aurait apporté son soutien à l'offre de GE. De son côté, le groupe n'a pas souhaité faire de commentaires. "Depuis son entrée au capital en 2006, Bouygues soutient Alstom et sa stratégie", s'est contenté de déclarer un porte-parole du groupe.
Reste que la perspective d'un rachat d'Alstom soulève la question d'une sortie de Bouygues du capital.
Des ambitions avortées dans le nucléaire
Bouygues était entré au capital d'Alstom en avril 2006, en rachetant une participation de 21% appartenant à l'Etat français pour environ 2 milliards d'euros. Cette participation avait ensuite été portée à plus de 30% fin 2007.
Cette opération avait à l'époque été présentée par Bouygues comme l'occasion de former un partenariat pour faire face aux défis mondiaux de la construction d'infrastructures pour le transport et la production d'électricité.
Mais beaucoup d'observateurs y avaient également vu un moyen pour Bouygues d'accroître son influence dans la recomposition de la filière nucléaire française - dont les perspectives étaient alors très prometteuses - qui se préparait avec l'ouverture envisagée du capital d'Areva (AREVA.FR). Un rapprochement entre Alstom et Areva faisait alors partie des scénarios privilégiés par les analystes financiers.
Mais c'était avant la crise financière de 2008 et la catastrophe nucléaire de Fukushima en 2011, qui ont constitué un choc pour la filière nucléaire française, tandis que le projet d'ouverture du capital d'Areva était remis au placard.
Une participation de moins en moins fructueuse
Certes, l'entrée de Bouygues dans le capital d'Alstom s'est révélée sur le long terme plutôt fructueuse. La contribution d'Alstom aux résultats nets consolidés de Bouygues s'est élevée à 1,46 milliard d'euros entre 2007 et le troisième trimestre de 2013. Le groupe industriel a également versé de généreux dividendes à Bouygues, dont 76 millions d'euros au titre de 2012-2013.
Mais l'apport d'Alstom s'est tari. En 2013, la contribution au résultat net de Bouygues s'est ainsi réduite à 168 millions d'euros, contre 240 millions d'euros en 2012 (sans prendre en compte le quatrième trimestre). Et le groupe industriel a progressivement réduit le versement de dividendes, jusqu'à l'interrompre pour l'exercice 2013-2014 clos fin mars.
Face aux difficultés persistantes d'Alstom et à la chute du titre en Bourse, Bouygues s'est résolu à déprécier la valeur des titres Alstom dans ses comptes de 2013, à hauteur de 1,4 milliard d'euros. Sa participation est maintenant valorisée à 3,08 milliards d'euros.
Du moins dans les comptes de Bouygues. Sur le marché, la participation du conglomérat dans Alstom valait 2,2 milliards d'euros au cours de clôture d'Alstom mercredi soir, avant le déclenchement des spéculations sur une offre de GE.
Une stratégie à repenser
Si les ambitions exprimées par Bouygues lors de l'entrée au capital d'Alstom il y a huit ans semblent désormais lointaines, Alstom se retrouve quant à lui à nouveau dans une situation financière délicate.
En janvier dernier, le groupe avait abaissé ses prévisions concernant sa marge opérationnelle, qui devrait s'établir autour de 7% pour l'exercice 2013-2014, clos en mars, puis reculer légèrement cette année. Alstom avait également prévenu que ses flux de trésorerie seraient négatifs au second semestre, ce qui a conduit les analystes à douter de la capacité de l'entreprise à se passer d'une augmentation de capital. Au final, la participation de Bouygues au capital du groupe ne semble plus vraiment stratégique.
Le conglomérat aurait certainement intérêt à saisir l'occasion d'une offre d'achat sur Alstom pour sortir. D'autant que l'offre de GE rapportée par la presse est, a priori, intéressante. Le conglomérat américain proposerait 13 milliards de dollars selon Bloomberg, ce qui fait ressortir une offre à 30 euros par action. A ce prix, "le titre se traiterait sur la base de multiples [...] dans le haut de fourchette constatée depuis le retour à meilleure fortune du groupe (2008-2009)", précisent les analystes de Natixis dans une note.
La participation de Bouygues serait alors valorisée à 2,7 milliards d'euros. Soit plus que l'investissement initial de Bouygues dans Alstom et plus que la valorisation actuelle de sa participation sur le marché.
Alors que Bouygues repense sa stratégie dans la téléphonie, une cession de sa participation dans Alstom ne serait pas illogique. Surtout si elle permet de financer de nouveaux investissements dans les télécommunications.
-Blandine Hénault et Yann Morell y Alcover, Dow Jones Newswires; +33 (0)1 40 17 17 53; blandine.henault@wsj.com
"Le Market Blog" est le blog économique et financier du Service français de Dow Jones Newswires.
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27/4/2014 13:48
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maywillow
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Membre depuis: 27/1/2002
Challenges - 386 Evt Bouygues
Les rumeurs de cession de Bouygues Telecom vont bon train, mais le PDG prend son temps. La solidité du BTP, branche historique, permet de voir venir.
Martin Bouygues est dans l’arène. Ce jeudi 24 avril se tient l’assemblée générale de son groupe, quinze jours après sa grande déception dans les télécoms. Fin février, le PDG s’était lancé à l’assaut de SFR, mis en vente par Vivendi. Malgré les milliards d’euros mis sur la table, le soutien inattendu du ministre Arnaud Montebourg ou de Jean-Pierre Jouyet – alors à la Caisse des dépôts –, et les coups de pouce des familles Pinault, Dassault et Decaux, son offre a été sèchement rejetée.
L’heureux élu, Patrick Drahi, propriétaire de Numericable, est un pur inconnu du grand public. L’affront ! Devant un auditoire aux aguets, Martin Bouygues, patron bagarreur mais peu friand d’exposition médiatique – " plus on parle, plus on a de chances de dire des bêtises", confiait-il à Challenges , il y a dix ans – doit s’expliquer.
Inquiétudes au siège
Selon les syndicats, dans les étages de la branche télécoms, l’angoisse est montée d’un cran. Les rumeurs d’une cession persistent. Et les milliards que le groupe a laissé miroiter durant la tentative de rachat de SFR se sont volatilisés. " Les sentiments sont mitigés, dit un consultant maison. Certains estiment que la démarche a été trop affective, d’autres jugent que leur patron s’est vraiment battu pour eux." Début avril, Martin Bouygues a affirmé au Figaro que " Bouygues Telecom peut rester seul" et " gagner la rude bataille qui s’annonce" . Mais pour les actionnaires du groupe
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02/5/2014 10:21
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La Forge
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Membre depuis: 03/8/2000
JP Morgan relève sa recommandation pour Bouygues (EN.FR) de "neutre" à "surpondérer" et porte son objectif de cours de 29 à 38 euros, ce qui intègre une probabilité de 50% que la filiale de télécommunications du groupe français fusionne avec sa rivale Iliad (ILD.FR). La banque estime qu'une telle opération pourrait ajouter 3,6 milliards d'euros à la valeur de Bouygues Telecom et que, conjuguée à la vente anticipée des activités d'énergie d'Alstom, elle simplifierait la structure de Bouygues. Bouygues est le premier actionnaire d'Alstom. La banque ajoute qu'Alstom a fait savoir qu'en cas d'acceptation de l'offre de General Electric (GE), il redistribuerait une partie du produit de la transaction à ses actionnaires, ce qui serait positif pour Bouygues. L'action gagne 2%, à 33,06 euros. (geraldine.amiel@wsj.com)
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Dernier Message: 24/Nov/2014 08h03
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MOUVEMENTS ET NIVEAUX
Après un plus haut à 32.69 EUR le titre corrige vers la moyenne mobile à 50 jours à 29.67 EUR : le comportement des cours sur ce niveau permettra d'envisager la poursuite du mouvement à moyen terme. Les premiers points d'achats (ou supports court terme) sont à 25.92 EUR et 24.81 EUR. Les résistances sont à 33.71 EUR et 35.94 EUR.
Dernier cours : 29.85
Support : 25.92 / 24.81
Resistance : 33.71 / 35.94
Opinion court terme : neutre
Opinion moyen terme : positive