Eiffage (FGR)
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Modifié le 10/12/2014 12:04
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Laboursefacile
Messages postés: 13120 -
Membre depuis: 03/12/2005
Il faut préserver les 22.85 pour sauver la zone de congestion.
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Modifié le 14/7/2014 15:35
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Fortish
Messages postés: 90 -
Membre depuis: 01/7/2014
Effectivement l'action est un peu remonté mais maintenant faut il vendre ou tenir sa position? choix difficile
Graphiques gratuits de fr.advfn.com
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15/7/2014 08:35
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Pauline75
Messages postés: 2620 -
Membre depuis: 10/9/2013
Je ne connais pas les canaux de Donchian. Ca ressemble aux bandes de Bollinger ?
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Modifié le 15/7/2014 10:45
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juju75
Messages postés: 83 -
Membre depuis: 04/7/2014
Oui sa fonctionne sur le même principe je crois, il faudrait une confirmation de Fortish
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16/7/2014 17:38
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Fortish
Messages postés: 90 -
Membre depuis: 01/7/2014
Exactement juju75, c'est pareil que les bande de Bollinger, la bande du dessus donne un signal de vente et celui du bas un signal d'achat. J'ai bien fait de conserver et de vendre aujourd'hui sa m'a fait une belle plus-value
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16/7/2014 18:21
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Pauline75
Messages postés: 2620 -
Membre depuis: 10/9/2013
Le contact avec les bandes du haut peuvent aussi donner un signal d'achat comme c'est le cas sur ton graphique.
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27/8/2014 12:54
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waldron
Messages postés: 9892 -
Membre depuis: 17/9/2002
(CercleFinance.com) - Aurel BGC a reconduit sa recommandation 'achat' et son objectif de cours de 60 euros sur Eiffage (Paris: FR0000130452 - actualité) , à quelques heures de la publication des résultats semestriels du groupe de BTP.
Déjà connu, son chiffre d'affaires est ressorti à environ 6,5 milliard d'euros. Sur le seul deuxième trimestre, il s'est élevé à 3,5 milliards d'euros, soit un repli de 4,1% sur un an.
'Depuis cette publication, Vinci (Paris: FR0000125486 - actualité) a de son côté publié des résultats mitigés à fin juin, pénalisés par des éléments spécifiques (pertes sur un chantier au Royaume-Uni), mais également, tout comme Eiffage, par un moindre niveau d'investissements de la part des collectivités locales, peu enclines à se montrer dynamiques en période post-électorales et pénalisées par une moindre dotation de la part de l'Etat', relève l'analyste.
Aurel BGC juge néanmoins 'tout à fait probable' que les résultats semestriels du groupe soient moins altérés, à tout le moins sur le niveau absolu des marges à fin juin.
Enfin, les investisseurs seront de son point de vue particulièrement attentifs aux perspectives pour les métiers Travaux en France, considérant que l'Hexagone a représenté 84% de ses revenus l'an passé.
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27/8/2014 13:00
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Fortish
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Membre depuis: 01/7/2014
Mmmmh une site forte exposition à l'immobilier francais c'est pas génial vu l'état de du marché immobilier francais. Même si les résultats semblent être prometteur je ne vais pas investir
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27/8/2014 18:10
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waldron
Messages postés: 9892 -
Membre depuis: 17/9/2002
PARIS (Reuters) - Eiffage a confirmé mercredi ses objectifs annuels après un premier semestre marqué par une croissance de 7,3% de son résultat opérationnel courant.
Le groupe de BTP et de concessions, qui avait publié fin juin un chiffre d'affaires en baisse de 0,2% à structure réelle, vise toujours une légère croissance de son activité en 2014, une progression de son résultat opérationnel courant et de son résultat net, ainsi qu'une baisse de son endettement net, selon la présentation publiée sur son site internet.
Au premier semestre, le ROC du groupe a atteint 556 millions d'euros, tandis que le résultat net, part du groupe, est ressorti à 68 millions d'euros (+17,2%).
(Gilles Guillaume, édité par Dominique Rodriguez)
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27/8/2014 18:59
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waldron
Messages postés: 9892 -
Membre depuis: 17/9/2002
Eiffage (FGR.FR), le troisième groupe français de BTP, a confirmé mercredi sa prévision d'une légère croissance de son chiffre d'affaires pour l'exercice en cours, malgré une stabilité de l'activité au premier semestre. Le groupe a également confirmé tabler sur une nouvelle amélioration de sa rentabilité sur l'ensemble de l'année, après avoir vu ses marges progresser dans ses activités de travaux comme dans son pôle concessions.
Au premier semestre, Eiffage a dégagé un résultat net de 68 millions d'euros, en hausse de 17% sur un an. Le résultat opérationnel a pour sa part augmenté de 7,3%, à 556 millions d'euros, dans un contexte de redressement des marges dans la branche travaux et de nouvelle progression de la rentabilité des concessions, notamment autoroutières.
Les analystes prévoyaient en moyenne un résultat opérationnel de 568 millions d'euros, selon le consensus FactSet.
Déjà publié, le chiffre d'affaires semestriel de la maison mère d'Autoroutes Paris-Rhin-Rhône, ou APRR, est stable à 6,5 milliards d'euros, malgré un repli de 1,7% de l'activité à périmètre et changes constants. Le groupe a expliqué avoir subi un contexte défavorable aux travaux publics, évoquant "une activité traditionnellement moindre au sortir d'élections municipales".
Le carnet de commandes s'élevait à 12,3 milliards d'euros à la fin juin, en hausse de 4,8% par rapport au début de l'année.
LE COMMENTAIRE DE L'ENTREPRISE:
"La concrétisation au 1er semestre 2014 de plusieurs grands projets ciblés (notamment les premiers lots de travaux attribués dans le cadre des programmes d'aménagement du Grand Paris et du 'grand carénage' des centrales nucléaires d'EDF) permet au groupe d'afficher un carnet de commandes élevé de 12,3 milliards d'euros, représentant près de 12,4 mois d'activité", a indiqué Eiffage dans un communiqué.
"Le groupe prévoit pour 2014 un chiffre d'affaires en légère croissance, une nouvelle progression de son résultat opérationnel courant et de son résultat net part du groupe ainsi que la baisse de son endettement net", a-t-il ajouté.
LE CONTEXTE:
Le groupe de BTP cherche depuis quelques années à développer ses activités en dehors de France et d'Europe. Dans le cadre de cette stratégie, Eiffage a été retenu en février pour la construction et l'exploitation de l'extension de l'autoroute à péage Dakar-Diamniadio au Sénégal.
Sous pression ces dernières années, les marges des groupes de BTP restent très surveillées, après avoir amorcé leur redressement l'an dernier. Par ailleurs, les groupes de construction diversifiés dans les concessions autoroutières, comme Eiffage, sont exposés au cycle économique à travers des variations de trafic routier. A ce titre, ils devraient figurer parmi les gagnants d'une amélioration de la conjoncture sur le Vieux Continent.
-Thomas Varela, Dow Jones Newswires; +33 (0)1 40 17 17 72; thomas.varela@wsj.com
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28/8/2014 12:39
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Fortish
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Membre depuis: 01/7/2014
Trop prudent j'aurais dû plus y croire
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08/10/2014 17:06
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waldron
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Membre depuis: 17/9/2002
PARIS, Oct. 8 (Reuters) - Eiffage and Vinci recoil at the Paris Stock Exchange on Wednesday afternoon, the market fearing lower rates of motorway tolls in the aftermath of the minister of Economy announced the awarding of a report in the coming weeks on highways.
At 3:42 p.m., the Eiffage lost 3.99% to 41.47 euros and accusing one of the largest declines in the SBF 120 index, down 0.59% at the same time. For its part, Vinci was down 1.74% to 43.74 euros.
The Economy Minister Emmanuel Macron said Tuesday that he would provide, with Ecology Minister Segolene Royal, proposals to the Prime Minister in the coming weeks on motorway concessionaires.
"The minister will present a report to the Prime Minister in the coming weeks with a number of concrete proposals to better monitor the motorway companies," said a trader based in Paris.
"Although the risk of a challenge in depth the current situation are limited, this is not good news in itself and also will raise speculation about a challenge to the stimulus highway while Brussels should give its opinion on it by the end of the month. "
Vinci, Eiffage and French motorway companies Association (AFSA) refused to comment.
Last month, the Competition Authority recommended renegotiating the highway stimulus plan, saying that the French concession companies show a comparable exceptional profitability to a pension should be further regulated in favor of the State and users.
In its opinion issued on September 18, the Authority also recommends a new formula for calculating the price of tolls, likely to limit their increase or even lower them. (Alexandre Boksenbaum Granier and Gilles Guillaume, edited by Jean-Michel Belot)
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08/10/2014 18:03
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waldron
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Membre depuis: 17/9/2002
PARIS, 8 octobre (Reuters) - Les actions Eiffage et Vinci reculent à la Bourse de Paris mercredi après-midi, le marché craignant une baisse des tarifs de péages autoroutiers au lendemain des propos du ministre de l'Economie annonçant la remise d'un rapport dans les prochaines semaines sur les autoroutes.
A 15h42, le titre Eiffage perd 3,99% à 41,47 euros accusant ainsi l'une des plus fortes baisses de l'indice SBF 120 , en repli de 0,59% au même instant. De son côté, Vinci recule de 1,74% à 43,74 euros.
Le ministre de l'Economie Emmanuel Macron a annoncé mardi qu'il remettrait, avec la ministre de l'Ecologie Ségolène Royal, des propositions au Premier ministre dans les prochaines semaines sur les concessionnaires autoroutiers.
"Le ministre va présenter un rapport au Premier ministre dans les semaines à venir avec plusieurs propositions concrètes visant à mieux contrôler les sociétés d'autoroutes", commente un trader en poste à Paris.
"Même si les risques d'une remise en cause en profondeur de la situation actuelle sont limités, ce n'est pas une bonne nouvelle en-soi et en plus cela relance les spéculations sur une remise en cause du plan de relance autoroutier alors que Bruxelles doit rendre son avis dessus d'ici la fin du mois."
Vinci, Eiffage et l'Association françaises des sociétés d'autoroutes (AFSA) ont refusé de faire un commentaire.
Le mois dernier, l'Autorité de la concurrence a recommandé de renégocier le plan de relance autoroutier, estimant que les sociétés françaises concessionnaires affichent une rentabilité exceptionnelle assimilable à une rente qui doit être davantage régulée en faveur de l'Etat et des usagers.
Dans son avis publié le 18 septembre, l'Autorité recommande aussi une nouvelle formule de calcul du tarif des péages, susceptible de limiter leur hausse, voire de les faire baisser. (Alexandre Boksenbaum-Granier et Gilles Guillaume, édité par Jean-Michel Bélot)
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08/10/2014 21:18
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waldron
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Membre depuis: 17/9/2002
Natixis a légèrement augmenté son objectif de cours sur Eiffage de 64 à 65 euros, tout en réitérant une opinion "Acheter". Le courtier pense que le marché a intégré un scénario pessimiste pour la construction, alors que les collectivités locales françaises sont au cœur de l’effort budgétaire national.
Les ministres chargés de la Décentralisation et du Budget ont présenté, mardi 30 septembre, le projet de loi de finances (PLF) pour 2015 aux membres du Comité des finances locales. Ce texte entérine la baisse des dotations de 3,7 milliards d'euros en 2015 et ne prévoit aucune mesure nouvelle de soutien à l'investissement local.
Selon l'analyste, la baisse des dotations de l’Etat aux collectivités se traduira mécaniquement par une baisse des investissements du même montant, mettant le marché de la construction en France sous pression.
Toutefois, il y a des raisons d'espérer car "ne plus investir serait fatal pour l’économie", tempère le broker, qui anticipe une politique d'investissement plus soutenue à partir de 2016.
Retrouvez cet article sur Tradingsat.com
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10/10/2014 10:36
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waldron
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Membre depuis: 17/9/2002
(CercleFinance.com) - A la Bourse de Paris, l'indice CAC 40 est mal orienté sur la semaine (- 4%), mais les actions Vinci (Paris: FR0000125486 - actualité) (- 59%) et Eiffage (- 11,6%) le sont plus encore. En effet, ces deux groupes sont fortement exposés aux concessions autoroutières, qui pourraient être mises à contribution par l'Etat après le report ?sine die? de l'écotaxe par le ministère de l'Ecologie. Les analystes de Bryan Garnier estiment cependant que le gouvernement sera contraint de trouver un arrangement.
De concert avec le secrétaire d'Etat aux Transports, Alain Vidalies, Ségolène Royal, ministre de l'Ecologie, du Développement durable et de l'Energie, a hier 'pris acte des difficultés de mise en oeuvre de l'écotaxe', un système destiné à faire payer aux poids-lourds leur usage de l'ensemble du réseau routier qui suscitait aussi la grogne des routiers. Le bureau d'études Bryan Garnier calcule que les recettes brutes de ce système étaient estimées à 600 millions d'euros par an.
En conséquence, les ministres ont décidé de 'suspendre sine die le dispositif de l'écotaxe' et de chercher des solutions alternatives. Parmi les pistes ?suggérées? par Ségolène Royal : taxer spécifiquement les concessionnaires autoroutiers, dont les taux de marges élevés ont été récemment critiqués par un rapport de l'Aurorité de la concurrence. La ministre a incidemment précisé que ces sociétés réalisent 8,5 milliards d'euros de chiffre d'affaires pour environ deux milliards de bénéfices.
Une éventualité qui n'est pas sans conséquence pour Eiffage (Paris: FR0000130452 - actualité) et Vinci. En effet, si en CA le BTP domine au sein des deux groupes, la majorité des résultats provient, elle, des branches concessions et notamment des autoroutes,comme APRR pour Eiffage ainsi qu'ASF, Cofiroute et Escota pour Vinci.
Les analystes de Bryan Garnier se sont livrés ce matin à des estimations : en cas de mise en place d'une taxe ?autoroutes? sans compensations, la valeur-cible de l'action Vinci serait réduite de quatre euros, et celle d'Eiffage de six euros.
Mais attention : le bureau d'études précise qu'il s'agit là de son ?scénario du pire?, et non du scénario central le plus probable. 'Par le passé, la mise en place de taxe (sur les autoroutes) a toujours été contrebalancée soit par des hausses de tarifs, soit par l'extension de la durée des concessions', rappelle la note.
En effet, les contrats liant les compagnies à l'Etat stipulent que les hausses d'imposition doivent être compensées. 'Même l'Autorité de la concurrence a reconnu que le cadre juridique des concessions était particulièrement verrouillé', rappelle Bryan Garnier.
En outre, le risque qu'une taxe autoroutière non compensée soit rejeté par le Conseil constitutionnel 'est élevé', estiment les analystes. Le gouvernement sera donc, selon Bryan Garnier, contraint de trouver un arrangement.
Au final, Bryan Garnier laisse inchangés ses objectif de cours sur les titres Vinci (53 euros) et Eiffage (50 euros), mais le contexte demeurant menaçant et la visibilité faible, les conseils ?neutre? sont aussi confirmés.
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20/10/2014 19:58
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Grupo GuitarLumber
Messages postés: 1722 -
Membre depuis: 24/6/2003
Le chiffre d'affaires d'APRR, la filiale autoroutière d'Eiffage (FGR.FR), a progressé au troisième trimestre de 1,6% à 615,7 millions d'euros hors construction, a annoncé lundi le groupe de BTP et de concessions.
Sur cette même période, le trafic enregistré par la société de concessions autoroutières s'est inscrit en hausse de 0,7% à près de 6,51 millions de kilomètres parcourus.
Pour l'ensemble des neuf premiers mois de l'année, le chiffre d'affaires hors construction d'APRR a progressé de 2,3% à 1,64 milliard d'euros, tandis que le trafic enregistré par la filiale d'Eiffage ressort en hausse de 1,4% à près de 16,73 millions de kilomètres, est-il indiqué dans un communiqué.
-Ambroise Ecorcheville, Dow Jones Newswires; +33 (0)1 40 17 17 71; ambroise.ecorcheville@wsj.com
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30/10/2014 12:31
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waldron
Messages postés: 9892 -
Membre depuis: 17/9/2002
PARIS (Reuters) - La Commission européenne a validé jeudi le plan français de relance autoroutier qui prévoit 3,2 milliards d'euros de travaux sur le réseau en échange d'un allongement des contrats de concessions, a annoncé le ministère de l'Ecologie.
L'Etat entend s'appuyer sur ce plan dans les négociations ouvertes avec les concessionnaires des sociétés d'autoroutes, pointées du doigt récemment par l'Autorité de la concurrence pour leurs bénéfices importants.
Après l'abandon du péage de transit poids lourds, éphémère successeur de l'écotaxe, le gouvernement cherche à obtenir une contribution plus importante de leur part au financement des infrastructures de transport.
"Ce plan permettra de réaliser les travaux nécessaires à l'adaptation et à la sécurisation du réseau autoroutier, de soutenir l'activité dans le secteur des travaux publics et de créer plusieurs milliers d'emplois", dit le ministère dans un communiqué.
"La mise en oeuvre de ce plan s'inscrira dans le cadre des discussions (...) qui visent à rééquilibrer les relations entre l'Etat et ces sociétés, conformément aux recommandations de l'Autorité de la concurrence et de la Cour des Comptes."
Ce plan avait été soumis en mai dernier à la Commission. Il prévoyait initialement 3,6 milliards d'euros d'investissements à réaliser par les concessionnaires des sociétés d'autoroutes, principalement Vinci, Eiffage et Sanef-SAPN (Abertis).
Dans ce cadre, les sociétés d'autoroutes devraient obtenir un allongement de la durée des contrats de concessions signés en 2004, sans doute pour trois ans.
NÉGOCIATIONS DIFFICILES
Le gouvernement espère en faire un levier pour contraindre les sociétés d'autoroutes à un accord, avec deux objectifs: une participation au financement des infrastructures et une réduction pour l'usager du coût des autoroutes.
Le ministère des Transports souhaite pouvoir mettre dans la balance une augmentation de la commande publique, espérant que les groupes concernés, principaux acteurs des grands travaux en France, y voient un engagement "gagnant-gagnant".
Mais les concessionnaires sont en position de force puisque les contrats de concession prévoient des compensations en cas de prélèvement nouveau. Ils avaient menacé, selon Le Figaro, de ne pas mettre en oeuvre le plan si une taxe leur était imposée.
La réunion organisée il y a deux semaines à Matignon autour du Premier ministre Manuel Valls, qui a abouti à la création de groupes de travail, n'a pas permis de rapprocher les positions, loin de là, dit-on de source au fait du dossier.
La mission d'information de l'Assemblée nationale sur la place des autoroutes dans les infrastructures de transport, qui doit rendre son rapport dans une quinzaine de jours, devrait être relativement prudente sur ce sujet.
Pour l'heure, elle s'oriente vers deux propositions: la création d'une autorité indépendante pour mieux contrôler les activités des sociétés et les rapports avec l'Etat, suggérée par l'Autorité de la concurrence, et la fin de l'indexation des prix des péages sur le montant des travaux engagés.
Les sociétés d'autoroutes pourraient accepter la première mais rejetteraient la seconde, selon un parlementaire.
(Gregory Blachier, édité par Yves Clarisse)
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12/11/2014 19:47
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waldron
Messages postés: 9892 -
Membre depuis: 17/9/2002
Eiffage (FGR.FR), le troisième groupe français de BTP, a révisé en baisse ses prévisions annuelles pour tenir compte d'une contraction plus importante que prévu de ses commandes de travaux publics, qui s'est traduite par un repli de 4,1% de son chiffre d'affaires au troisième trimestre.
Le groupe, qui tablait jusqu'à présent sur une légère progression de son activité cette année, a indiqué mercredi s'attendre à "une légère contraction de son chiffre d'affaires en 2014". Le groupe a néanmoins confirmé prévoir une progression de ses résultats et une diminution de son endettement cette année.
Pour le trimestre écoulé, le chiffre d'affaires d'Eiffage s'est établi à 3,66 milliards d'euros, pénalisé par une contraction de 2,7% des revenus réalisés dans la construction et de 11,2% pour sa division travaux publics.
La branche concessions affiche toutefois une progression de 3,8% de son chiffre d'affaires trimestriel, à 678 millions d'euros, soutenu par les revenus issus des péages autoroutiers.
Le carnet de commandes a atteint pour sa part 11,9 milliards d'euros au 1er octobre, en hausse de 1,1% par rapport au 1er janvier, représentant plus d'un an d'activité de la branche Travaux.
LE COMMENTAIRE DE L'ENTREPRISE:
"Compte tenu de la baisse de la commande publique, plus importante qu'anticipé dans la route et de la poursuite d'une politique sélective de prise d'affaires, le groupe prévoit désormais une légère contraction de son chiffre d'affaires en 2014", a déclaré Eiffage dans un communiqué.
Eiffage "confirme par ailleurs la perspective de progression de ses résultats et de baisse de son endettement net".
LE CONTEXTE:
Le groupe de BTP cherche depuis quelques années à développer ses activités en dehors de France et d'Europe. Dans le cadre de cette stratégie, Eiffage a été retenu en février pour la construction et l'exploitation de l'extension de l'autoroute à péage Dakar-Diamniadio au Sénégal.
Sous pression ces dernières années, les marges des groupes de BTP restent très surveillées, après avoir amorcé leur redressement l'an dernier. Par ailleurs, les groupes de construction diversifiés dans les concessions autoroutières, comme Eiffage, sont exposés au cycle économique à travers des variations de trafic routier.
Au premier semestre, le résultat opérationnel du groupe a toutefois augmenté de 7,3%, à 556 millions d'euros, dans un contexte de redressement des marges dans la branche travaux et de nouvelle progression de la rentabilité des concessions, notamment autoroutières.
-Thomas Varela, Dow Jones Newswires; +33 (0)1 40 17 17 72 (thomas.varela@wsj.com)
COMMUNIQUES FINANCIERS D'EIFFAGE:
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12/11/2014 20:35
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waldron
Messages postés: 9892 -
Membre depuis: 17/9/2002
(CercleFinance.com) - Le groupe a réalisé un chiffre d'affaires consolidé de près de 3,7 milliards d'euros au 3ème trimestre 2014, en baisse de 4,1 %, par rapport au 3ème trimestre 2013.
' Du fait du ralentissement de la commande publique au 3ème trimestre, l'activité de la branche Travaux Publics s'inscrit en retrait, particulièrement dans la Route en France ' indique le groupe.
Sur les neuf premiers mois de l'année, le chiffre d'affaires consolidé ressort à près de 10,2 milliards d'euros, en baisse par rapport à la même période 2013 (+1,7 % à structure réelle et de +3,3 % à périmètre et change constants).
Le chiffre d'affaires des activités Travaux est en baisse de 2,8 % (- 4,5 % à périmètre et change constants). Il s'établit à 8,4 milliards d'euros au 30 septembre.
Le chiffre d'affaires de l'activité Construction s'inscrit à 2 664 millions d'euros (+ 1,9 % à structure réelle ; + 2,0 % à périmètre et change constants). Celui de l'activité Travaux Publics est de 2 901 millions d'euros (- 5,2 % à structure réelle ; - 6,1 % à périmètre et change constants).
Dans le secteur Energie, le chiffre d'affaires est de 2 162 millions d'euros (- 6,4 % à structure réelle ; - 5,5 % à périmètre et change constants).
Dans le domaine des Concessions, le trafic global sur le réseau d'APRR au 30 septembre 2014 s'inscrit en hausse de 1,4 % par rapport à la même période de 2013 (mesuré en nombre de kilomètres parcourus).
' Compte tenu de la baisse de la commande publique, plus importante qu'anticipée dans la Route et de la poursuite d'une politique sélective de prise d'affaires, le Groupe prévoit désormais une légère contraction de son chiffre d'affaires en 2014 ' indique la direction.
Le groupe confirme la perspective de progression de ses résultats et de baisse de son endettement net.
Le carnet de commandes progresse à 11,9 milliards d'euros au 1er octobre 2014, en hausse de 1,1 % par rapport au 1er janvier 2014 (+ 5,9 % hors BPL). Il assure plus de 12 mois d'activité aux branches Travaux.
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03/12/2014 10:44
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waldron
Messages postés: 9892 -
Membre depuis: 17/9/2002
(CercleFinance.com) - Selon les Echos, Eiffage (Other OTC: EFGSY - actualité) serait le ?lauréat? de la consultation organisée par le ministère du Développement durable, propriétaire de la paroi Sud et du toit de l'Arche de la Défense, non loin de Paris. Le groupe de BTP et de concessions pourrait ainsi remporter le contrat de rénovation de ce bâtiment qui fête ses 25 ans.
Le quotidien économique rappelle qu'une consultation avait été lancée 'très discrètement' à ce sujet en 2012 par le ministère.
Il faut dire qu'il y a urgence : les Echos écrivent que le bâtiment 'n'a jamais fait la preuve de son efficacité. Les bureaux y sont petits et mal agencés. Le toit, qui abrita un temps un musée, est fermé au public depuis 2010, l'ascenseur panoramique qui y mène aussi. Quant au marbre blanc des façades, il menace ruine.'
Associé à un cabinet d'architecte et à la société événementielle Cityone, Eiffage serait donc notamment chargé de réagencer l'intérieur du bâtiment, de l'isoler et de le mettre aux normes, et de revoir l'affectation du toit.
L'affaire serait financée via un bail emphytéotique administratif par lequel l'Etat deviendra, pour 20 ans, locataire du groupement qui assurera la rénovation moyennant 192 millions d'euros,rapportent les Echos.
La Caisse des Dépôts et AXA (Paris: FR0000120628 - actualité) , propriétaires de la paroi Nord, devraient eux aussi entamer des travaux.
A ce stade, Eiffage n'a pas confirmé l'information.
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