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Eiffage (FGR)

- Modifié le 10/12/2014 12:04
Laboursefacile Messages postés: 13120 - Membre depuis: 03/12/2005

 



Il faut préserver les 22.85 pour sauver la zone de congestion.

 







Réponses
185 Réponses
 ...   5   ... 
81 de 185 - Modifié le 13/2/2015 17:55
waldron Messages postés: 9892 - Membre depuis: 17/9/2002

Calendrier des publications pour 2015



Les communiqués sont diffusés après la clôture de la Bourse.


EIFFAGE

Information trimestrielle et chiffre d’affaires du quatrième trimestre 2014 10.02.2015

Résultats annuels 2014
Réunion des analystes financiers
25.02.2015

Assemblée Générale
15.04.2015 -
I
82 de 185 - Modifié le 14/2/2015 15:44
waldron Messages postés: 9892 - Membre depuis: 17/9/2002
Citation de: trader176 - Post #78 - 13/Feb/2015 10:03c'est bien beau de nous coller un article mais quelle est ton analyse A TOI sur l'action??




BONJOUR TRADER176

premier chose

mon ecrit francais est vraiment feeble comme une vache espanol

LO SIENTO

ANGLAIS MON PRINCIPLE LANGUE

je suis un comptable en retrait

Mais je vous essai donne mon analyse et opinion pas avis

je regarde tout and je lire tout posible

je utilse simplement le DARVAS BOX THEORY

Au moment pour moi, le action cest enferme dans un box 48 a 50

il ya une risque eiffage tombe vers 46 si 50 est ne pas casse aggressivement

Se casse pendent 3 ou 4 jours peut etre ascendre vers 52

on attendre 25 FEB ET 15 APRIL et aussi le DIVIDENDE en MAI

AU MOMENT JE REGARDE MAIS NE PAS HOLD

JE AIM THE SECTOR ET AUSSI vinci et bouygues

BON CHANCE


83 de 185 - 14/2/2015 15:54
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1722 - Membre depuis: 24/6/2003
FRANCE INTER



Posté le jeudi 12 février
Les notes d’Eiffage

Le volet DSK refermé, c’est devant une audience clairsemée que le tribunal a commencé à examiner l’aspect financier : les escroqueries au détriment de deux sociétés, dont une filiale d’Eiffage, qui ont réglé les voyages à Washington.

Au début de l’affaire, certains avocats promettaient des révélations propres à faire tanguer le groupe de travaux publics. Les deux juges d’instruction s’étaient vus adjoindre une troisième magistrate pour enquêter sur ce volet financier, qui s’est depuis longtemps dégonflé.

Qu’en reste-t-il aujourd’hui ? Un peu plus de 80 000 euros de notes de frais, une somme qui ne mérite pas souvent l’analyse d’un tribunal correctionnel. Une petite moitié a été signée par l’ex petite amie de Fabrice Paszkowski, qui semble avoir créé une société fictive dans ce but, quoiqu’elle s’en défende. Peut-être touché par la candeur qu’elle affiche, le président finit par lui dire qu’elle n’est pas faite pour gérer une société. Pour Eiffage, le délit porte sur 46 000 euros validés par l’ancien directeur régional, qui, comme on l’entend souvent dans ces cas là, signe les parapheurs sans regarder. « Qu’attendiez-vous professionnellement de cette douzaine de rencontres sexuelles avec DSK ? » demande le président Bernard Lemaire. David Roquet : « L’idée que j’avais en tête c’était, une fois qu’il serait élu Président, de le présenter à mes patrons (…) et d’en tirer un peu de reconnaissance de la part de mes patrons. C’était pas de la corruption. » Aline Clérot, substitut du procureur: « Vous créez des liens de manière très particulière Monsieur…Aujourd’hui encore il vous parait légitime d’avoir engagé les fonds de MEN (NDLR filiale d’Eiffage) pour ces voyages, alors qu’il s’agit de votre plaisir personnel ? Avec DSK, vous ne parlez jamais d’Eiffage, ou de travaux publics, vous êtes largement occupés à autre chose ! » Roquet : « La meilleure manière de faire du lobbying, c’est de ne pas parler de ce qu’on fait… » Clérot : « Ah ça, vous avez été extrêmement discret ! »

Son directeur régional, Jean-Luc Vergin, poursuivi pour complicité, avait aussi envisagé de se rendre à Washington, pour rencontrer DSK. Mais sur ses frais personnels assure-il, parce qu’à titre professionnel il n’y avait aucun intérêt pour Eiffage, du moins « il était trop tôt ». Thierry Dalmasso, l’avocat d’Eiffage, partie civile, bondit : « Non on ne corrompt pas, on ne paye pas de filles, on ne paye pas aux frais de la princesse ici Eiffage les vacances pour tous. C’est de l’abus de confiance ».

David Roquet, petite voix émue, tente une dernière fois : « Vous savez, un petit homme blessé peut faire beaucoup de dégâts ». Un peu tard…
Par Sara Ghibaudo | 12 février 2015 à 17:47
84 de 185 - 14/2/2015 15:57
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1722 - Membre depuis: 24/6/2003
waldron

votre francais est pas trop mal

cheers et bon chance
85 de 185 - 14/2/2015 16:57
The Grumpy Old Men Messages postés: 1145 - Membre depuis: 02/1/2007
waldron C minus

bien fait

bon weekend
86 de 185 - 14/2/2015 17:30
maywillow Messages postés: 1327 - Membre depuis: 27/1/2002

on attendre 25 FEB ET 15 APRIL et aussi le DIVIDENDE en MAI

WILL PUT ON MY WATCH LIST

AND POSSIBLY BUY FOR CAPITAL GAIN AND DIVI

TOGETHER WITH VINCI AND BOUYGUES
87 de 185 - 15/2/2015 09:45
sarkasm Messages postés: 1321 - Membre depuis: 26/2/2009
SACRE BLEU

VOUS ETES LA CREME DE LA CREME

BON CHANCE ET UNE BON SEMAINE
88 de 185 - 15/2/2015 15:32
Anonyme
A DEMAIN OUVERTURE WS!!!
89 de 185 - 25/2/2015 18:07
waldron Messages postés: 9892 - Membre depuis: 17/9/2002
(AOF) - Eiffage (London: 0NPT.L - actualité) vient de publier un résultat net part du groupe en hausse de 7% en 2014, à 275 millions d'euros. Le résultat opérationnel courant a progressé de 2,2% à 1,347 milliard d'euros, améliorant la rentabilité du constructeur de 4 points de base : la marge opérationnelle d'Eiffage est en effet passée de 9,2 à 9,6%, un "niveau historique" selon le groupe. Le chiffre d'affaires s'est replié de 1,9% (-3,4% à périmètre et taux de change constants) à 14 milliards d'euros. Eiffage a annoncé le versement d'un dividende de 1,20 euro par action.
Au chapitre de ses perspectives 2015, le groupe de construction et concessions anticipe un léger repli de son chiffre d'affaires en 2015 et une nouvelle augmentation de son résultat, bénéficiant d'un carnet de commandes en progression de 0,2% à 11,8 milliards.

AOF - EN SAVOIR PLUS

Les points forts de la valeur
- Quatrième européen et deuxième français du BTP intervenant dans les travaux publics (30 % des revenus), l'énergie (22 %), la construction (21 %), les concessions (16 %), le métal (6 %) et l'immobilier (5 %) ;
- Deuxième français et troisième européen des concessions autoroutières ;
- Rééquilibrage du portefeuille, depuis l'acquisition d'Autoroutes Paris-Rhin-Rhône (APPR), vers des activités résilientes et récurrentes ;
- Visibilité de l'activité, avec un carnet de commandes d'un montant équivalent au chiffre d'affaires annuel.
- Contraintes budgétaires dans les pays européens favorables aux projets de concessions et de PPP (Partenariat Public / Privé), très rentables pour le groupe (16 % des revenus mais 72 % du bénéfice opérationnel) ;
- Signature (Other OTC: SGGHU - actualité) avec l'Etat d'un contrat de plan 2014-2018 pour les filiales autoroutières avec une hausse programmée des tarifs ;
- Forte culture d'entreprise et actionnariat salarié fort ;
- Bonne maîtrise de l'endettement, logé essentiellement dans l'activité concessions, en voie de refinancement ;
- Flottant élargi depuis le départ de Groupama.

Les points faibles de la valeur
- Marge opérationnelle encore insuffisante dans les division énergie et travaux publics en France ;
- Faible visibilité sur l'évolution du trafic routier, en recul depuis deux ans, et abandon des grands chantiers des lignes TGV;
- Pratiques anti-concurrentielles condamnées par la justice ;
- En France, sensibilité aux dépenses publiques qui devraient baisser en 2014 et recul net des chiffres d'affaires travaux, énergie, métal et construction ;
- Faiblesse du chiffre d'affaires de la division énergie en Europe ;
- Faible présence à l'étranger (16 % du CA dont 13 % pour l'Europe) ;
.- Avertissement sur chiffre d'affaires 2014 lancé à l'automne.

Comment suivre la valeur
- Partie de l'activité sensible à la conjoncture économique, au niveau des taux d'intérêt (coût du crédit) et au climat (plus ou moins propice aux lancements de chantiers) ;
- Sensibilité boursière aux déclarations du concurrent Vinci (Paris: FR0000125486 - actualité) ;
- Attente pour l'automne du feu vert de Bruxelles au plan de relance des autoroutes (930 M? pour APRR) ;
- Reprise du désendettement - objectif de 2 Mds? -, initié par la déconsolidation du partenariat public-privé du Centre hospitalier sud francilien ;
- Réalisation de l'objectif 2014 d'une hausse de 1 % du chiffre d'affaires et d'une amélioration de la marge opérationnelle et du résultat net ;
- Valeur non opéable, les salariés détenant 28 % du capital, devant la BPI (16,5 % du capital), très présente dans les choix stratégiques.

LE SECTEUR DE LA VALEUR
Construction - BTP
Les perspectives ne sont pas bonnes pour le secteur et l'année 2015 n'est pas jugée par les professionnels comme étant celle de la reprise. Compte tenu du moral déprimé des ménages, des entreprises et des collectivités territoriales, mais aussi d'une économie française atone, la FFB table sur une activité en recul de 0,4% dans le résidentiel cette année. Dans le non résidentiel l'activité devrait fléchir de 7,9%, tandis qu'elle devrait progresser de 1,5% dans l'amélioration-entretien, grâce au Crédit d'impôt pour la transition énergétique (CITE) notamment. La Fédération nationale des travaux publics (FNTP) anticipe, quant à elle, un recul d'activité de 8% l'an prochain, ce qui ramènerait l'activité à son plus bas niveau depuis 1984. Cela impliquerait la destruction de 16.000 emplois, alors que 8.000 ont déjà été détruits cette année selon la FNTP.
90 de 185 - 26/2/2015 09:51
waldron Messages postés: 9892 - Membre depuis: 17/9/2002
Le titre Eiffage (FGR.FR) gagne 3,2% à 50,72 euros, jeudi peu après l'ouverture, après la publication de résultats 2014 en nette amélioration. "Nous anticipons une stabilisation des perspectives dans la branche travaux, portée par les prises de commandes récentes, l'exposition du groupe au marché immobilier français et les bonnes performance opérationnelles illustrées par l'amélioration des marges au second semestre," remarquent les analystes de Bank of America-Merrill Lynch, qui en profitent pour relever leur recommandation sur le titre à "acheter", avec un objectif de cours porté à 58 euros. (yann.morellyalcover@wsj.com)
91 de 185 - 26/2/2015 09:58
waldron Messages postés: 9892 - Membre depuis: 17/9/2002
(AOF) - Eiffage (London: 0NPT.L - actualité) , au travers de sa filiale Eiffage Travaux Publics, vient d'acquérir la société colombienne Puentes y Torones spécialisée dans la construction d'ouvrages d'art.
Créée en 1992, Puentes y Torones compte près de 500 collaborateurs et réalise quelque 20 millions d'euros de chiffre d'affaires par an. Après l'acquisition d'ICCI au Canada en juin 2014, ce rachat confirme la volonté de redéploiement d'Eiffage à l'international.
Il lui donne, en outre, un accès privilégié au continent sud-américain dont les besoins se révèlent très importants dans le domaine des infrastructures de transport, en particulier en Colombie où le lancement d'un programme d'autoroutes dites de 4e génération (4G) est le plus ambitieux d'Amérique du Sud pour les dix ans à venir.

AOF - EN SAVOIR PLUS

Les points forts de la valeur
- Quatrième européen et deuxième français du BTP intervenant dans les travaux publics (30 % des revenus), l'énergie (22 %), la construction (21 %), les concessions (16 %), le métal (6 %) et l'immobilier (5 %) ;
- Deuxième français et troisième européen des concessions autoroutières ;
- Rééquilibrage du portefeuille, depuis l'acquisition d'Autoroutes Paris-Rhin-Rhône (APPR), vers des activités résilientes et récurrentes ;
- Visibilité de l'activité, avec un carnet de commandes d'un montant équivalent au chiffre d'affaires annuel.
- Contraintes budgétaires dans les pays européens favorables aux projets de concessions et de PPP (Partenariat Public / Privé), très rentables pour le groupe (16 % des revenus mais 72 % du bénéfice opérationnel) ;
- Signature (Other OTC: SGGHU - actualité) avec l'Etat d'un contrat de plan 2014-2018 pour les filiales autoroutières avec une hausse programmée des tarifs ;
- Forte culture d'entreprise et actionnariat salarié fort ;
- Bonne maîtrise de l'endettement, logé essentiellement dans l'activité concessions, en voie de refinancement ;
- Flottant élargi depuis le départ de Groupama.

Les points faibles de la valeur
- Marge opérationnelle encore insuffisante dans les division énergie et travaux publics en France ;
- Faible visibilité sur l'évolution du trafic routier, en recul depuis deux ans, et abandon des grands chantiers des lignes TGV;
- Pratiques anti-concurrentielles condamnées par la justice ;
- En France, sensibilité aux dépenses publiques qui devraient baisser en 2014 et recul net des chiffres d'affaires travaux, énergie, métal et construction ;
- Faiblesse du chiffre d'affaires de la division énergie en Europe ;
- Faible présence à l'étranger (16 % du CA dont 13 % pour l'Europe) ;
.- Avertissement sur chiffre d'affaires 2014 lancé à l'automne.

Comment suivre la valeur
- Partie de l'activité sensible à la conjoncture économique, au niveau des taux d'intérêt (coût du crédit) et au climat (plus ou moins propice aux lancements de chantiers) ;
- Sensibilité boursière aux déclarations du concurrent Vinci (Paris: FR0000125486 - actualité) ;
- Attente pour l'automne du feu vert de Bruxelles au plan de relance des autoroutes (930 M? pour APRR) ;
- Reprise du désendettement - objectif de 2 Mds? -, initié par la déconsolidation du partenariat public-privé du Centre hospitalier sud francilien ;
- Réalisation de l'objectif 2014 d'une hausse de 1 % du chiffre d'affaires et d'une amélioration de la marge opérationnelle et du résultat net ;
- Valeur non opéable, les salariés détenant 28 % du capital, devant la BPI (16,5 % du capital), très présente dans les choix stratégiques.

LE SECTEUR DE LA VALEUR
Construction - BTP
Les perspectives ne sont pas bonnes pour le secteur et l'année 2015 n'est pas jugée par les professionnels comme étant celle de la reprise. Compte tenu du moral déprimé des ménages, des entreprises et des collectivités territoriales, mais aussi d'une économie française atone, la FFB table sur une activité en recul de 0,4% dans le résidentiel cette année. Dans le non résidentiel l'activité devrait fléchir de 7,9%, tandis qu'elle devrait progresser de 1,5% dans l'amélioration-entretien, grâce au Crédit d'impôt pour la transition énergétique (CITE) notamment. La Fédération nationale des travaux publics (FNTP) anticipe, quant à elle, un recul d'activité de 8% l'an prochain, ce qui ramènerait l'activité à son plus bas niveau depuis 1984. Cela impliquerait la destruction de 16.000 emplois, alors que 8.000 ont déjà été détruits cette année selon la FNTP.
92 de 185 - 26/2/2015 13:46
waldron Messages postés: 9892 - Membre depuis: 17/9/2002


(Boursier.com) — Pour Bouygues, le millésime 2014 a rimé avec chute des résultats... Le titre n'en reste pas moins au sommet depuis 2010, proche des 36 euros, en hausse de 1% ce jeudi. Le groupe a annoncé hier un chiffre d'affaires annuel stable de 33,12 milliards d'euros, mais un résultat opérationnel courant en retrait à 888 ME et un résultat net hors exceptionnels de 492 ME (-24,3%). En données publiées, le bénéfice net est cependant en vive hausse à 807 ME, grâce aux plus-values de cessions. Le consensus médian était positionné à 32,95 MdsE de chiffre d'affaires, pour un résultat opérationnel courant de 865 ME et un bénéfice net part du groupe ajusté proche de 600 ME. Un coupon de 1,60 euro est proposé, en ligne avec les attentes. La dette nette a reculé significativement, de 4,43 à 3,21 MdsE.

Oddo reste "Neutre" sur la valeur en ciblant un cours de 36 euros, soit le cours actuel. De retour de conférence, le broker souligne que Martin Bouygues n'est toujours pas vendeur de sa branche télécom malgré les rumeurs. La valorisation est exigeante, mais le message est rassurant sur le BFR, estime Oddo.

Valorisation tendue

Pour Natixis, les résultats 2014 sont "légèrement au-dessus des attentes... Sur l'activité contracting, le groupe reste naturellement prudent sur 2015. Le discours est plus optimiste en ce qui concerne Bouygues Telecom" estime le broker. De quoi relever son objectif de cours de 29,2 à 32 euros. "Difficile d'être plus agressif en termes de valorisation", poursuit l'analyste qui intègre dans ses calculs les bonnes performances boursières d'Alstom et de TF1 ; une dette nette moyenne 2015/16 plus faible ; un multiple de VE/EBITDA de Bouygues Telecom plus en ligne avec la moyenne du secteur (6,5 fois).
Conclusion : "Le titre se paye actuellement avec des primes généreuses de 21% vs Stoxx Telecom, 27% vs Stoxx Construction et 45% vs Stoxx 600, alors même que les perspectives 2015 dans le contracting en France ne sont pas porteuses". De son côté, Nomura a relevé son objectif de cours de 35 à 37 euros. Barclays a passé le sien à 36 euros, alors que RBC et Raymond James visent désormais un cours de 39 euros.

Une année 2015 difficile

Bouygues a fixé pour priorité à ses divisions de renouer avec la croissance non pas cette année mais en 2016, car l'environnement reste difficile. Dans la construction les performances financières devraient rester solides en 2015 avec une marge opérationnelle courante au niveau de 2014 en dépit d'une baisse du chiffre d'affaires. TF1 entend maintenir une position de leader sur les antennes gratuites et continuera à adapter son modèle économique à l'évolution de ses marchés. Sa marge opérationnelle courante devrait s'améliorer sur l'année 2015, hors impact de la déconsolidation d'Eurosport International en 2014.

Bouygues Telecom devrait voir une stabilité de son EBITDA en 2015 et une légère hausse de ses investissements en lien avec la mise en oeuvre de la mutualisation d'une partie du réseau Mobile avec le groupe Numericable-SFR ainsi que le développement du réseau fixe. La filiale télécoms devrait renouer avec un cash-flow positif en 2016. Le déploiement de l'accord de partage de réseau avec Numericable-SFR entraînera des dépréciations d'actifs, qui pourraient atteindre 200 ME de charges non courantes en 2015 dans le résultat opérationnel...

Claude Leguilloux — ©2015, Boursier.com

93 de 185 - 26/2/2015 14:10
waldron Messages postés: 9892 - Membre depuis: 17/9/2002
(CercleFinance.com) - Les résultats trimestriels sont qualifiés de convaincants et Eiffage en profite pour ouvrir un 'gap' au-dessus des 49,44E et pulvériser le précédent record annuel des 49,56E du 23 février 2015 (légèrement supérieur aux 49,4E du 5 septembre 2014).
Avec une incursion vers 52E, le prochain objectif n'est autre que le retracement du zénith annuel 2014 des 55,5E, testé sans relâche de mars à juin dernier.
94 de 185 - 26/2/2015 17:38
waldron Messages postés: 9892 - Membre depuis: 17/9/2002
DOW JONES NEWS




Les dirigeants du groupe français de BTP Eiffage ont affirmé jeudi qu'ils tablaient sur "un accord avec l'Etat" d'ici fin mars garantissant "la stabilité des contrats" de concessions autoroutières.


"Mon esprit rationnel me pousse à croire qu'on devrait converger assez rapidement vers un plan de relance et une stabilité des contrats (...) peut-être mi-mars, peut-être un peu après", a déclaré Pierre Berger, PDG d'Eiffage, lors d'une conférence de presse.


Le patron du groupe, qui gère 2.415 kilomètres de concessions autoroutières en France, a dit attendre "la fin du travail" du groupe associant 15 parlementaires et des représentants de l'administration, cette échéance étant "prévue début mars". Un rapport d'étape doit effectivement être présenté, a-t-on appris de source parlementaire.


Selon M. Berger, les membres de ce groupe de travail "sont aujourd'hui convaincus que le bon instrument de mesure de la rentabilité des autoroutes est le taux de rendement de l'investissement, qui se mesure sur la durée de la concession" et représente "entre 7% et 8%" du chiffre d'affaires annuel de l'activité, qui a dépassé 2,2 milliards d'euros en 2014.


Cet indicateur comptable tient compte du remboursement de l'acquisition de la société APRR en 2006, sous la forme de "dividendes qui vont dans la poche des banques qui ont prêté à Eiffage 10 milliards d'euros", a-t-il expliqué.


Les sociétés concessionnaires sont par ailleurs "toujours disposées à lancer le plan de relance" qui prévoit 3,2 milliards d'euros de travaux sur l'ensemble du réseau autoroutier français, a-t-il indiqué, soulignant que ce projet avait été approuvé par le gouvernement et par la Commission européenne.


"C'est l'investissement le plus important en volume prévu en France pour les trois prochaines années dans la route (...) mais rien ne peut se conclure avant que les parlementaires aient fini d'éplucher ce dossier", a-t-il ajouté.
95 de 185 - 26/2/2015 17:47
waldron Messages postés: 9892 - Membre depuis: 17/9/2002
Actualisé: Eiffage confiant pour la "stabilité" des concessions et la compensation du gel des péages
Abertis Infraestructuras, S.A. (ESE:ABE)
Intraday Stock Chart

Today : Jeudi 26 Février 2015
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Les dirigeants du groupe français de BTP Eiffage ont affirmé jeudi qu'ils ablaient sur "un accord avec l'Etat" d'ici fin mars garantissant "la stabilité des contrats" de concessions autoroutières et la "compensation" du gel des tarifs des péages décidé fin janvier par le gouvernement.


"Mon esprit rationnel me pousse à croire qu'on devrait converger assez rapidement vers un plan de relance et une stabilité des contrats (...) peut-être mi-mars, peut-être un peu après", a déclaré Pierre Berger, PDG d'Eiffage, lors d'une conférence de presse.


Le patron du groupe, qui gère 2.415 kilomètres de concessions autoroutières en France, a dit attendre "la fin du travail" du groupe associant 15 parlementaires et des représentants de l'administration, cette échéance étant "prévue début mars". Un rapport d'étape doit effectivement être présenté, a-t-on appris de source parlementaire.


Selon M. Berger, les membres de ce groupe de travail "sont aujourd'hui convaincus que le bon instrument de mesure de la rentabilité des autoroutes est le taux de rendement de l'investissement, qui se mesure sur la durée de la concession" et représente "entre 7% et 8%" du chiffre d'affaires annuel de l'activité, qui a dépassé 2,2 milliards d'euros en 2014.


Cet indicateur comptable tient compte du remboursement de l'acquisition de la société APRR en 2006, sous la forme de "dividendes qui vont dans la poche des banques qui ont prêté à Eiffage 10 milliards d'euros", a-t-il expliqué.


Les sociétés concessionnaires sont par ailleurs "toujours disposées à lancer le plan de relance" qui prévoit 3,2 milliards d'euros de travaux sur l'ensemble du réseau autoroutier français, a-t-il indiqué, soulignant que ce projet avait été approuvé par le gouvernement et par la Commission européenne.


"C'est l'investissement le plus important en volume prévu en France pour les trois prochaines années dans la route (...) mais rien ne peut se conclure avant que les parlementaires aient fini d'éplucher ce dossier", a-t-il ajouté.


Eiffage et ses homologues - Vinci et l'espagnol Abertis - ont en outre "la ferme conviction" d'être "intégralement compensés" pour la suspension de la hausse des tarifs des péages autoroutiers, qui devaient augmenter de 0,57% au 1er février.


Après le dépôt de plusieurs recours début février devant le Conseil d'Etat, "on n'attend pas un jugement avant le deuxième semestre bien tassé", mais "le plus vraisemblable, c'est que d'ici là, on aura trouvé un accord avec l'Etat" et "qu'on n'ira pas jusqu'au bout de la procédure", a pronostiqué Max Roche, directeur général adjoint d'Eiffage, chargé des concessions.


"Le gouvernement pense aussi qu'on sera compensé", a complété M. Berger.
96 de 185 - 03/3/2015 07:50
waldron Messages postés: 9892 - Membre depuis: 17/9/2002
(AOF) - Eiffage (London: 0NPT.L - actualité) a annoncé la signature d'un contrat en Partenariat Public-Privé pour le financement, la conception-construction, l'exploitation et la maintenance de deux bâtiments de l'Université de Lorraine à Metz. C'est le cinquième contrat de ce type remporté par le groupe dans le cadre du plan Campus. L'accord, d'une durée de 25 ans, représente un investissement de 32,6 millions d'euros. Plusieurs filiales du groupe de BTP sont impliqués dans ce projet : les Concessions, la Construction mais aussi l'Energie et les Services
Le projet comprend deux nouveaux bâtiments d'une surface totale de 14 800 mètres carrés : le laboratoire d'études des microstructures et des mécaniques des matériaux (LEM3) et une unité de formation et de recherche en mathématiques-informatique et mécanique. Dès la rentrée 2017, les 1 200 personnels et étudiants pourront bénéficier de locaux modernes et fonctionnels sur le Technopôle de Metz.

AOF - EN SAVOIR PLUS

Les points forts de la valeur
- Quatrième européen et deuxième français du BTP intervenant dans les travaux publics (30 % des revenus), l'énergie (22 %), la construction (21 %), les concessions (16 %), le métal (6 %) et l'immobilier (5 %) ;
- Deuxième français et troisième européen des concessions autoroutières ;
- Rééquilibrage du portefeuille, depuis l'acquisition d'Autoroutes Paris-Rhin-Rhône (APPR), vers des activités résilientes et récurrentes ;
- Visibilité de l'activité, avec un carnet de commandes d'un montant équivalent au chiffre d'affaires annuel.
- Contraintes budgétaires dans les pays européens favorables aux projets de concessions et de PPP (Partenariat Public / Privé), très rentables pour le groupe (16 % des revenus mais 72 % du bénéfice opérationnel) ;
- Signature (Other OTC: SGRH - actualité) avec l'Etat d'un contrat de plan 2014-2018 pour les filiales autoroutières avec une hausse programmée des tarifs ;
- Forte culture d'entreprise et actionnariat salarié fort ;
- Bonne maîtrise de l'endettement, logé essentiellement dans l'activité concessions, en voie de refinancement ;
- Flottant élargi depuis le départ de Groupama.

Les points faibles de la valeur
- Marge opérationnelle encore insuffisante dans les division énergie et travaux publics en France ;
- Faible visibilité sur l'évolution du trafic routier, en recul depuis deux ans, et abandon des grands chantiers des lignes TGV;
- Pratiques anti-concurrentielles condamnées par la justice ;
- En France, sensibilité aux dépenses publiques qui devraient baisser en 2014 et recul net des chiffres d'affaires travaux, énergie, métal et construction ;
- Faiblesse du chiffre d'affaires de la division énergie en Europe ;
- Faible présence à l'étranger (16 % du CA (NasdaqGS: CA - actualité) dont 13 % pour l'Europe) ;
.- Avertissement sur chiffre d'affaires 2014 lancé à l'automne.

Comment suivre la valeur
- Partie de l'activité sensible à la conjoncture économique, au niveau des taux d'intérêt (coût du crédit) et au climat (plus ou moins propice aux lancements de chantiers) ;
- Sensibilité boursière aux déclarations du concurrent Vinci (Paris: FR0000125486 - actualité) ;
- Attente pour l'automne du feu vert de Bruxelles au plan de relance des autoroutes (930 M? pour APRR) ;
- Reprise du désendettement - objectif de 2 Mds? -, initié par la déconsolidation du partenariat public-privé du Centre hospitalier sud francilien ;
- Réalisation de l'objectif 2014 d'une hausse de 1 % du chiffre d'affaires et d'une amélioration de la marge opérationnelle et du résultat net ;
- Valeur non opéable, les salariés détenant 28 % du capital, devant la BPI (16,5 % du capital), très présente dans les choix stratégiques.

LE SECTEUR DE LA VALEUR
Construction - BTP
Les perspectives ne sont pas bonnes pour le secteur et l'année 2015 n'est pas jugée par les professionnels comme étant celle de la reprise. Compte tenu du moral déprimé des ménages, des entreprises et des collectivités territoriales, mais aussi d'une économie française atone, la FFB table sur une activité en recul de 0,4% dans le résidentiel cette année. Dans le non résidentiel l'activité devrait fléchir de 7,9%, tandis qu'elle devrait progresser de 1,5% dans l'amélioration-entretien, grâce au Crédit d'impôt pour la transition énergétique (CITE) notamment. La Fédération nationale des travaux publics (FNTP) anticipe, quant à elle, un recul d'activité de 8% l'an prochain, ce qui ramènerait l'activité à son plus bas niveau depuis 1984. Cela impliquerait la destruction de 16.000 emplois, alors que 8.000 ont déjà été détruits cette année selon la FNTP.
97 de 185 - 04/3/2015 21:51
waldron Messages postés: 9892 - Membre depuis: 17/9/2002
PARIS, 4 mars (Reuters) - Le groupe de travail sur les autoroutes présentera ses conclusions le 10 mars, a déclaré mercredi Emmanuel Macron lors d'une intervention en commission au Sénat.

L'avenir du régime des autoroutes est l'objet depuis plusieurs mois d'un bras de fer entre l'Etat et les sociétés concessionnaires Eiffage, Vinci et Sanef, filiale de l'espagnol Abertis.

Un groupe de travail parlementaire a été mis en place afin d'examiner les propositions de réforme.

Le gouvernement a gelé fin janvier la hausse des tarifs des péages prévue en février sur les principaux réseaux d'autoroutes, dont Cofiroute et ASF, filiales de Vinci, afin de laisser aux parlementaires le temps d'examiner l'accord en cours de négociation entre le gouvernement et les concessionnaires.

(Dominique Vidalon, avec Pascale Denis, édité par Dominique Rodriguez)
98 de 185 - 05/3/2015 21:18
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1722 - Membre depuis: 24/6/2003

VINCI : Autoroutes-Un accord espéré d'ici une semaine-source

05/03/15 à 18:56 - Reuters 0 Commentaire(s)
Les négociations sur une sortie de crise accélèrent à nouveau
Accord possible dans la foulée du rapport parlementaire-source
Montant et calendrier des hausses de péages toujours à définir
Vers une réduction de la durée des concessions en cas de trafic meilleur que prévu-source
Autoroutes-Un accord espéré dici une semaine-source | Crédits photo : Shutterstock Autoroutes-Un accord espéré dici une semaine-source | Crédits photo : Shutterstock

par Gilles Guillaume

PARIS, 5 mars (Reuters) - Les concessionnaires autoroutiers sont confiants qu'un accord pourra être conclu avec l'Etat d'ici la fin de la semaine prochaine pour mettre fin définitivement à la crise qui entoure depuis l'automne le régime des autoroutes en France, a-t-on appris jeudi de source proche des concessionnaires.

Cet accord, qui doit encore régler le montant et le calendrier des hausses de péages une fois le gel tarifaire levé et la question de l'indemnisation réclamée par les concessionnaires contre ce gel, introduira probablement un système permettant de raccourcir ou d'allonger la durée des concessions selon les niveaux de trafic, a ajouté la source.

Le ministre de l'Economie Emmanuel Macron a annoncé mardi au Sénat que le groupe de travail parlementaire, mis sur pied fin janvier pour étudier le dossier, présenterait ses conclusions mardi prochain. Il a ajouté que l'objectif était de parvenir prochainement à un accord.

"Je pense qu'il y a une chance raisonnable qu'on conclue d'ici la fin de la semaine prochaine, ce n'est pas certain mais (..) avec un rapport des parlementaires le 10, c'est ce qui me paraît souhaité en tout cas en haut lieu", a déclaré la source.

Plus de la moitié des députés de la majorité avaient réclamé en décembre la résiliation des concessions et le rachat par l'Etat des réseaux privatisés en 2006, estimant dans le sillage de l'Autorité de la concurrence que les concessionnaires bénéficiaient d'une rente indue.

La menace d'une résiliation semblant désormais écartée au vu des dernières déclarations du président François Hollande et d'Emmanuel Macron, les négociations ont repris de plus belle. Mardi, les présidents des concessionnaires autoroutiers se sont réunis trois heures durant avec plusieurs représentants de l'Autorité de la Concurrence, du gouvernement, de l'administration et du Parlement.



QUAND LES PÉAGES VONT-ILS AUGMENTER DE NOUVEAU ?

Si l'Etat et les sociétés d'autoroutes sont tombés d'accord sur les grands principes d'un accord global visant à rééquilibrer les relations entre les concessionnaires, les pouvoirs publics et les usagers, plusieurs points restent à régler.

Le premier concerne le montant et la date à laquelle les péages augmenteront à nouveau, après le gel soudain de la hausse de 0,57% en moyenne qui était prévue au 1er février. Les concessionnaires ne sont pas opposés à une modération des augmentations calculées au moyen d'une formule, mais à condition qu'ils puissent lisser les hausses dans le temps.

L'accord devra aussi régler la question de l'indemnisation qu'ils ont réclamée contre le gel, objet de la part des sociétés d'autoroutes de recours devant le Conseil d'Etat.

L'augmentation de la redevance domaniale devrait quant à elle bel et bien être répercutée sur les péages, à hauteur de +1,5%, mais à partir de 2016 seulement et pas à compter de cette année.

"Ce qui est impératif, c'est que la totalité de la redevance domaniale soit compensée d'ici à 2018", a indiqué la source proche des concessionnaires.

L'autre point central de l'accord, tout aussi politiquement sensible, concerne la demande d'un plus grand encadrement des bénéfices des autoroutes. Celui-ci pourrait passer par l'introduction d'une clause de bonne fortune dans les contrats, à savoir que si le trafic autoroutier est supérieur aux projections faites lors de la privatisation, la durée des concessions, qui expirent en moyenne en 2033, serait raccourcie.

En revanche, les concessionnaires souhaitent aussi que l'accord global prévoie qu'en cas de trafic inférieur aux attentes, ils soient compensés par un allongement des concessions.

"On ne peut pas imaginer avoir de borne haute si on n'a pas de borne basse", a ajouté la source. Elle a précisé que le niveau précis de chaque borne, et l'écart qui les séparera, faisaient toujours l'objet de discussions.

Le régime des autoroutes est depuis septembre au coeur d'un bras de fer entre l'Etat et les concessionnaires Eiffage , Vinci et Sanef, filiale de l'espagnol Abertis.

Le gouvernement a gelé fin janvier la hausse des tarifs des péages prévue sur la plupart des réseaux d'autoroutes afin de laisser aux parlementaires le temps d'examiner l'accord en cours de négociation.

Le secteur des travaux publics déplore de son côté que le plan de relance autoroutier, qui prévoit 3,2 milliards d'euros de travaux, reste conditionné à la conclusion de cet accord et que les chantiers ne puissent toujours pas être lancés. (Edité par Dominique Rodriguez)
99 de 185 - 06/3/2015 09:17
Grupo GuitarLumber Messages postés: 1722 - Membre depuis: 24/6/2003
(AOF) - Vinci (Paris: FR0000125486 - actualité) et Eiffage (Paris: FR0000130452 - actualité) , présents dans les concessions autoroutières avec leurs filiales respectives ASF et APRR, sont "confiants" et pensent qu'un accord pourra être signé "d'ici la fin de semaine prochaine" dans le conflit qui les oppose à l'Etat sur les tarifs des autoroutes, selon une source citée par Reuters. Depuis l'automne dernier, les tarifs sont gelés et les négociations sont en cours entre les concessionnaires, qui ont porté plainte devant le tribunal administratif, et les pouvoirs publics.
100 de 185 - 09/3/2015 12:56
waldron Messages postés: 9892 - Membre depuis: 17/9/2002
Tarifs autoroutiers: l'ex-rapporteur PS de la mission parlementaire se retire du groupe de travail
Date : 09/03/2015 @ 12:23
Source : Dow Jones News
Stock : Abertis Infraestructuras, S.A. (ABE)
Quote : 16.55 0.005 (0.03%) @ 12:34
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Tarifs autoroutiers: l'ex-rapporteur PS de la mission parlementaire se retire du groupe de travail
Abertis Infraestructuras, S.A. (ESE:ABE)
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Today : Lundi 9 Mars 2015
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Refusant de cautionner une "parodie de consultation", l'ancien rapporteur PS de la mission d'information sur les autoroutes a claqué la porte lundi du groupe de travail sur les tarifs des autoroutes, à la veille de la remise de ses conclusions à Manuel Valls.


"Le groupe de travail a (...) servi au mieux de parodie de consultation, au pire de moyen d'instrumentaliser les parlementaires", affirme dans un communiqué Jean-Paul Chanteguet, qui avait préconisé fin 2014 dans son rapport une résiliation des concessions liant l'Etat et les sociétés concessionnaires d'autoroutes (SCA).


Dans un autre rapport publié en septembre, l'Autorité de la concurrence avait mis en avant la "rentabilité exceptionnelle" des SCA depuis leur privatisation en 2006, de l'ordre de 20% ou plus, sur fond de péages augmentant plus vite que l'inflation.


Mais les concessionnaires contestent ce calcul, jugeant que leur rentabilité doit se calculer sur l'ensemble de la durée des concessions, soit une trentaine d'années, et correspond à celle généralement observée dans le secteur des travaux publics.


Le rapport de l'Autorité de la concurrence a provoqué un affrontement entre les SCA et le gouvernement, ce dernier ayant décidé de geler l'augmentation de 0,57% des péages prévue au 1er février. S'estimant victimes d'un "excès de pouvoir", les sociétés ont contre-attaqué en lançant un recours devant le Conseil d'Etat.


Le gouvernement compte désormais sur les conclusions du groupe de travail, qui devraient être remises au Premier ministre mardi, pour contribuer à résoudre ce bras-de-fer.


Selon le Figaro, le gouvernement s'orienterait vers un compromis avec les SCA.


"Le gouvernement annoncera très rapidement après le 10 mars des mesures concrètes", avait déclaré mercredi dernier le ministre de l'Économie, Emmanuel Macron: "Notre objectif (...), c'est bien d'arriver à une solution rapide, dans la foulée des conclusions".


- Plan de relance en suspens -


François Hollande avait quant à lui demandé, le 7 février, "un règlement global et définitif de ces questions dans les prochaines semaines".


Le groupe de travail sur l'avenir des concessions autoroutières, composé de parlementaires et de représentants de l'administration, s'était réuni mardi dernier, mettant face à face les SCA et l'Autorité de la concurrence pour un débat contradictoire. Ce groupe doit tenir sa dernière réunion mardi avant de rendre ses conclusions à M. Valls.


Mais, regrette M. Chanteguet, "après un mois de travail", "le gouvernement (...) est pressé de conclure, sans se donner le temps nécessaire et sans recourir à de véritables expertises indépendantes de l'influence des SCA".


"Je refuse d'avaliser plus avant cette mise en scène et mets un terme à ma participation à ce groupe de travail, dont les travaux, consciencieusement organisés et orientés, ont eu pour objectif de montrer, que de rente il n'y avait pas et que l'idée de la résiliation était irréaliste, pour ne pas dire irresponsable", regrette encore le député, également président de la commission du Développement durable de l'Assemblée nationale.


La ministre de l'Écologie, Ségolène Royal, qui était montée au créneau en décembre pour demander que les péages n'augmentent pas en 2015, a jugé que les sociétés d'autoroute devaient faire "des propositions correctes, c'est-à-dire qu'elles rendent à l'intérêt national les surprofits qu'elles ont faits".


Et alors qu'un sondage fin janvier montrait que plus de trois quarts des Français étaient favorables à la nationalisation des autoroutes, des usagers ont également entamé une action mi-février pour demander le remboursement partiel de leurs tickets. Une initiative soutenue par le ministre des Finances, Michel Sapin.


Outre la hausse des péages, plusieurs points restent en suspens, dont un plan de relance qui prévoit 3,2 milliards d'euros de travaux sur l'ensemble du réseau autoroutier français.


Filiales pour la plupart des géants français du BTP Eiffage et Vinci, ainsi que de l'Espagnol Abertis, les SCA exploitent 9.048 kilomètres d'autoroutes françaises, sur les 11.882 existants.
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