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- Monday, September 3, 2007, 3:55AM ET - U.S. Markets Closed for Labor Day.
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Source: http://commerzbank.zonebourse.com/wm/WarrantMatin181.pdf
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Wall Street a terminé vendredi en hausse, profitant des discours du Président Bush et de Ben Bernanke sur
l'actuelle crise du subprime. Le Dow Jones a clôturé en hausse de 0,9% à 13 357 points tandis que le Nasdaq
s'est adjugé 1,21% à 2 596 points. Dans le même temps l'indice S&P 500 a progressé de 1,12% à 1 473 points.
Ben Bernanke, qui s'est exprimé devant des banquiers centraux et des économistes réunis dans le cadre d'une
réunion organisée à Jackson Hole, dans le Wyoming, a indiqué que la Fed pourrait prendre des mesures
supplémentaires pour apporter à nouveau des liquidités sur les marchés monétaires et s'assurer du bon
fonctionnement des marchés. Une majorité d'analystes estime que les taux d'intérêts en vigueur aux Etats-Unis
seront abaissés le 18 septembre prochain, date de la prochaine réunion du comité de politique monétaire de
l'établissement. George Bush, dont l'intervention était très attendue, a proposé le soutien de la maison blanche à
une partie des détenteurs de prêts hypothécaires à risques. Le Président a fait plusieurs propositions et
notamment une révision fiscale en vue d'aider les ménages qui ont besoin de se refinancer. Les statistiques
économiques publiées vendredi ont par ailleurs montré que l'économie américaine affichait toujours de solides
fondamentaux et que les pressions inflationnistes étaient limitées.
Les dépenses de consommation des ménages ont de fait progressé de 0,4% en juillet, après une hausse de 0,2%
en juin. Les économistes tablaient sur une hausse de 0,3%. Les revenus des ménages ont pour leur part
progressé de 0,5% en juillet, contre une hausse de 0,4% attendue.
L'autre bonne nouvelle réside dans la faible hausse de l'indice des prix PCE, en progression de seulement 0,1%
en juillet et de 1,9% sur un an.
Toujours sur le terrain des statistiques économiques, l'indice du NAPM de l'activité manufacturière a progressé au
mois d'août dans la région de Chicago. L'indice PMI (Purchasing Managers Index) du NAPM s'établit à 53,8%,
contre 53,4% en juillet.
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03/9/2007 14:31
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source: http://www.usinenouvelle.com/article/turbulence-boursiere-la-fed-injecte-5-milliards-de-dollars-112879
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Turbulence boursière : la Fed injecte 5 milliards de dollars
16/08/2007
La réserve fédérale américaine tente de limiter la casse alors que l'ensemble des places boursières plongent. Nicolas Sarkozy a écrit à Angela Merkel pour demander plus de transparence de la part des marchés.
La Réserve fédérale américaine a injecté cet après-midi cinq milliards de dollars dans le système bancaire, par le biais d'opérations de prises en pension à 14 jours. La Fed précise que les garanties acceptées sont constituées de 250 millions de Treasuries et de 4,75 milliards de dollars de titres adossés à des créances hypothécaires. Les soumissions bancaires ont totalisé 77,05 milliards de dollars.
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Cette décision intervient alors que la crainte d'un tarissement du crédit (credit crunch) fait plonger l'ensemble des marchés boursiers, entraînés vers le bas par les valeurs bancaires.
Dans le sillage des places asiatiques, qui ont, hors Japon, enregistré leur plus forte baisse en pourcentage depuis le 12 septembre 2001, lendemain des attentats de New York et de Washington, les Bourses européennes affichent des reculs conséquents.
A Paris, le CAC 40 perdait plus de 3% à la mi-journée, comme le Footsie à Londres, tandis que le Dax de Francfort abandonnait 2,7%. Mercredi soir, Wall Street avait déjà clôturé en nette baisse (-1,3% pour le Dow Jones), plombé par la rumeur d'un risque de dépôt de bilan de Countrywide Financial, la première société américaine de crédit immobilier.
Plus tôt dans la journée, Nicolas Sarkozy a écrit à Angela Merkel, qui préside actuellement le G7, pour proposer des « axes de progrès » destinés à améliorer la transparence des marchés, affectés depuis un mois par la crise des prêts hypothécaires à risque aux Etats-Unis.
Dans son courrier, daté de mercredi et rendu public jeudi par l'Elysée, le président français se dit « convaincu que ces mouvements de marché ne sauraient affecter durablement la croissance de nos économies, qui est robuste ».
« Pour autant (...) il me paraît de notre responsabilité de chefs d'Etat et de gouvernement de tirer dès à présent les conséquences (...) Il me semble en effet essentiel que nous veillions à la transparence du fonctionnement des marchés et à la capacité pour ces derniers de financer de façon efficace et stable l'économie mondiale », écrit Nicolas Sarkozy.
« Les porteurs finaux » des risques bancaires sont « très mal identifiés » et « cette méconnaissance est, en elle-même, un facteur d'instabilité », estime-t-il.
Le président français souhaite « veiller à l'efficacité de nos systèmes d'alerte et à la diffusion efficace de la liquidité à l'ensemble des acteurs économiques ».
« Il faut se mettre en mesure d'éviter une contagion injustifiée de tensions locales à l'économie réelle », souligne-t-il, proposant que les ministres des Finances du G7 soumettent un « rapport d'analyse et de propositions » lors de leur réunion en octobre à Washington.
Usinenouvelle.com avec Reuters
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Modifié le 03/9/2007 14:45
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http://www.trends.be/fr/economie/banque-et-finance/12-1636-43528/les-bourses-d-asie-rechutent-dans-le-sillage-de-wall-street.html
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Les Bourses d'Asie rechutent dans le sillage de Wall Street
29/08/2007 10:29
Les Bourses d'Asie ont flanché mercredi, à la suite de Wall Street et des marchés européens, alors que les marchés financiers sont de nouveau préoccupés par la crise du crédit immobilier à risque aux Etats-Unis.
Ce nouvel accès de déprime a été causé par les mauvaises nouvelles venues de la première économie mondiale mardi: une chute de la confiance des consommateurs américains selon l'institut de conjoncture privé Conference Board, et une une baisse record de 3,2% sur un an au deuxième trimestre des prix de l'immobilier américain.
A Tokyo, deuxième place financière mondiale, l'indice Nikkei des principales valeurs a perdu 1,69% pour terminer à 16.012,83 points. Il est repassé en cours de séance sous la barre des 16.000 points pour la première fois depuis une semaine.
La remontée du yen face au billet vert, à moins de 114 yens pour un dollar, a également incité les investisseurs à se départir de titres de sociétés exportatrices, ont souligné des courtiers.
"Les marchés asiatiques font face à une pression à la vente, la plupart des économies asiatiques étant fortement dépendantes de l'économie américaine", a expliqué Hirokazu Fujiki, stratège chez Osakan Securities à Tokyo.
"Nous avons encore besoin d'un peu de temps pour voir jusqu'à quel point la crise des crédits immobiliers va affecter la confiance des consommateurs et les résultats des entreprises aux Etats-Unis", a-t-il poursuivi.
La place hongkongaise avait déjà terminé dans le rouge mardi soir (-0,90%) mettant fin à une semaine de rebond. Le Hang Seng avait établi un record de clôture le 20 août.
"Nous sommes dans une phase de prises de bénéfices. L'euphorie des derniers jours est retombée", a indiqué Francis Lun, de la maison de courtage Fulbright Securities.
Les Bourses européennes chutent aussi
La Bourse de Bruxelles a ouvert dans le rouge ce mercredi matin, s'inscrivant dans la tendance négative qui prévaut actuellement sur les marchés financiers mondiaux. Peu après 10h, l'indice vedette des valeurs belges cédait 0,61% à 4160,46 points. Seules trois valeurs, au sein de l'indice, sont en vert. Dont le poids lourd Suez.
Mardi soir, les indices phares des places de Londres, Paris et Amsterdam ont perdu autour de 2%. A Paris, le CAC 40 a perdu 2,08% à 5.474,17 points après avoir regagné 6% au cours des sept séances précédentes. A Londres, le Footsie a reculé de 1,90% à 6.102,20 points.
La baisse a été encore plus forte à Stockholm, où l'OMX 30 a cédé 2,49%. La Bourse suisse et celle Madrid ont vu leurs indices reculer respectivement de 1,49% et 1,26%. Seule exception, Francfort a résisté à la tendance générale en ne cédant que 0,74%.
Un problème plus grave que prévu
Les places financières mondiales ont essuyé de fortes pertes ces dernières semaines, les investisseurs redoutant une contagion de la crise du marché des crédits immobiliers à risque ("subprime") aux Etats-Unis. Ils craignent que les défauts de paiements ne déstabilisent l'ensemble du marché mondial du crédit et que l'économie elle-même finisse par subir un net ralentissement. "Il semble que les problèmes deviennent plus graves qu'on ne s'y attendait", a estimé Najeeb Jarhom, chez Fraser Securities.
La Bourse de New-York a nettement reculé mardi, son indice phare, le Dow Jones, cédant 2,10% à 13.041,85 points, et le Nasdaq perdant 2,37% à 2.500,64 points.
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