News17-09
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Modifié le 14/9/2007 22:37
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File de NEWS orientée USA / Monde
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16/9/2007 00:25
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WARNING : http://fr.advfn.com/p.php?pid=fbb_thread&cb=1189894669&bb=fbb&id=615602&bb_id=5&ptm=1189894669
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![4osxu9f.jpg](http://i5.tinypic.com/4osxu9f.jpg)
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warning, NEWS_W-E_15-16/09
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16/9/2007 10:13
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De laloss (laloss) Boursomarquer laloss Ignorer laloss Recommander ce message 6
La prise de risque était totalement din 03:00 03/08/07
La prise de risque était totalement dingue.
Nous assistons à l'explosion de cette bulle de la titrisation qui a alimenté la croissance de ces dernières années.
ce n'est pas la fin de la titrisation mais surement une mutation de ce marché qui est en cours.
Cela impactera la croissance à mon avis d'ici quelques mois.
Voilà ce que sterling nous expliquait en fin d'année 2006:
"Les efforts que nous consacrons à mieux comprendre la conjoncture en constante évolution
qui affecte le domaine des placements nous ont amenés à nous pencher attentivement sur les
tendances relatives à l’endettement des sociétés. En effet, la prise de décisions éclairées en
matière de placement repose non seulement sur les estimations de bénéfices auxquelles Wall
Street accorde beaucoup d’importance, mais également sur la compréhension de la structure
d’endettement et des bilans généraux des sociétés.
Or, l’examen des bilans, particulièrement ceux des sociétés de
produits et de services financiers, devient de plus en plus difficile
en raison de la croissance explosive des produits dérivés de crédit.
Les dérivés de crédit sont des instruments financiers sophistiqués
conçus pour permettre aux institutions financières de prendre en
charge des niveaux de crédit plus ou moins élevés et d’en transférer
les risques à l’aide de méthodes presque inimaginables il y
a dix ans seulement.
Comme l’indique le graphique 1, l’accroissement de la popularité
des dérivés de crédit a été tout à fait phénoménal. En effet, la
valeur théorique actuelle des contrats d’échange sur défaillance
de crédit est passée de moins d’un billion de dollars américains
à la mi-2001 à plus de 26 billions actuellement. Le recours à
de tels contrats ayant augmenté à un taux annuel moyen de
plus de 100 % pendant chacune des cinq dernières années, il
semble raisonnable de croire qu’une importante révolution
dans le domaine de la finance est en cours.
Cette révolution s’est produite si rapidement qu’il est probable
que peu de gens, y compris la plupart des investisseurs et des
responsables des politiques en matière de réglementation du
système financier, en comprennent véritablement les conséquences,
prévues ou non.
Notre intérêt à l’égard de ce sujet a été suscité par une rencontre
récente avec d’anciens collègues experts en crédit aux entreprises
qui se sont plaint que « les analystes en crédit actuels sont tous
des dinosaures non conscients du fait que ce sont maintenant les
dérivés de crédit qui font la pluie et le beau temps dans le secteur
du crédit ».
À les en croire, alors que nous vivons dans un monde caractérisé
par un taux de croissance phénoménal du crédit (particulièrement
du crédit immobilier), les analystes en crédit seraient de plus
en plus dépassés par les modalités de cet endettement massif?
N’est-ce pourtant pas le travail des analystes en crédit d’évaluer
la capacité de rembourser des emprunteurs?
Dans une conjoncture de croissance rapide de l’endettement,
on pourrait croire que les analystes en crédit sont les maîtres de
l’univers. En fait, il n’en est rien.
Nous suggérons à nos lecteurs qui aimeraient en savoir davantage
au sujet du monde mystérieux des dérivés de crédit de lire
un article publié récemment par Frank Partnoy et David Skeel,
deux professeurs de droit. L’article, intitulé The Promise and
Peril of Credit Derivatives (les avantages présomptifs et les
risques liés aux dérivés de crédit), tente de dresser le pour et le
contre de ces nouveaux instruments selon une perspective
d’élaboration de politiques juridiques et gouvernementales.
En sa qualité d’ancien expert en produits dérivés de Wall Street,
Frank Partnoy est bien placé pour comprendre les usages
légitimes et abusifs des dérivés de crédit.
Partnoy et Skeel reprochent principalement aux dérivés de
crédit de réduire la motivation des banques à surveiller et à
contrôler adéquatement les risques liés au crédit puisqu’ils
permettent aux banques d’effectuer des prêts importants et
d’en faire immédiatement assumer le risque par des tiers. La
règle d’or voulant qu’un banquier apprenne d’abord à connaître
son client ne s’applique donc plus. Les banquiers sont maintenant
incités à maximiser les revenus liés au crédit et à laisser
à d’autres le soin de veiller à ce que les prêts consentis soient
remboursés.
Les auteurs utilisent le cas d’Enron comme exemple : « Bien
que J.P. Morgan, Chase, Citigroup et plusieurs autres banques
aient prêté des milliards de dollars à Enron, elles n’ont semblé
avoir assuré qu’un très faible suivi de ces prêts, que ce soit
avant ou après le début de la débâcle du géant de l’énergie. De
nombreuses raisons, certes, expliquent ce manque de surveillance,
mais il ne fait aucun doute que l’existence des dérivés
de crédit a joué un rôle de premier plan dans ce désastre
financier. Les banques qui ont financé Enron ont eu recours
à des quantités énormes de dérivés de crédit pour limiter leur
risque advenant une défaillance d’Enron. Certaines estimations
font état de plus de 800 contrats d’échange portant sur huit
milliards de dollars de crédit consenti à Enron. »
Cet exemple illustre bien le caractère fondamental d’un échange
sur défaillance de crédit : un contrat qui constitue, à toutes
fins pratiques, un pari à l’égard des probabilités de faillite, de
défaillance ou de restructuration d’un emprunteur. Ces contrats
permettent aux banques qui prêtent des milliards de dollars à
certains clients de se protéger en concluant des ententes
d’échange sur défaillance avec des tiers. Si l’emprunteur ne
rembourse pas le prêt, la banque perdra les capitaux prêtés
mais réalisera tout de même un bénéfice grâce au contrat
d’échange. Si, au contraire, l’emprunteur rembourse son prêt
tel que prévu, la banque versera une somme d’argent au tiers
bénéficiaire du contrat, réduisant ainsi sa marge bénéficiaire
sur le prêt.
La grande disponibilité de ce genre d’instrument de couverture
a transformé les marchés du crédit. Tel que Partnoy et Skeel
le font remarquer :
« Il y a dix ans, le transfert et la tarification du crédit étaient
simples. Une transaction de crédit n’impliquait généralement
que le client et l’agent de crédit de la banque, et l’instrument
de crédit était généralement un prêt.
« C’est encore le cas pour de nombreux particuliers et de nombreuses
petites entreprises. Pour la plupart des sociétés cotées
en bourse, toutefois, les marchés de crédit sont devenus plus
complexes et la transaction de crédit type nécessite maintenant
la participation de gestionnaires de risque de haut voltige. Bien
que les entreprises continuent à obtenir des fonds au moyen
d’émissions de valeurs mobilières et d’emprunts, elles se tournent
de plus en plus fréquemment vers différents instruments
hybrides et produits dérivés pour obtenir le financement voulu. »
Panacée ou problème potentiel?
Le rôle traditionnel des intermédiaires financiers, surtout les
banques, en matière de surveillance du crédit et de prise en
charge des risques a donc évolué. Cette révolution par rapport
à la façon de faire d’il y a dix ans à peine comporte, certes, des
aspects positifs mais également de nouveaux risques et de nouvelles
incertitudes.
En ce qui a trait aux aspects positifs, l’ancien président de la
Réserve fédérale américaine, Alan Greenspan, a fait l’éloge des
dérivés de crédit en affirmant qu’ils ont contribué à rendre le
système financier plus robuste. Il a fait remarquer, par exemple,
que les dérivés de crédit « semblent avoir réussi à transférer
efficacement de sociétés de financement à court terme à des
compagnies d’assurance, des caisses de retraite et d’autres tiers
les pertes liées aux récentes défaillances d’Enron, de Global
Crossing, de Railtrack, de WorldCom et de Swissair. »
Dans une lettre envoyée en 2003 aux actionnaires de Berkshire
Hathaway, toutefois, Warren Buffet s’est vivement opposé aux
dérivés, qu’il a appelés des bombes à retardement et des armes
financières de destruction massive. Il pourrait, certes, s’agir d’une
simple affaire d’intérêts contrecarrés puisque les compagnies
d’assurance dans lesquelles Warren Buffet détenait des participations
ont assumé des risques liés au crédit plutôt élevés. En
outre, si M. Buffet était déjà préoccupé par la situation des
dérivés de crédit en 2003 alors que la valeur des contrats
d’échange sur défaillance de crédit s’élevait à « seulement »
3,8 billions de dollars, qu’en est-il maintenant que cette valeur
globale dépasse les 26 billions de dollars en 2006?
Selon nous, il est difficile de déterminer si ces nouveaux
instruments représentent une solution permettant de renforcer
le système financier en démocratisant le risque lié au crédit,
ou une bombe à retardement. La réponse est probablement
affirmative dans les deux cas. En ce qui a trait à la comparaison
avec une bombe à retardement, tout dépend de l’utilisation
qui est faite des dérivés de crédit. Est-elle légitime ou abusive?
Difficile à savoir avec certitude (mais compte tenu de ce que
l’on sait de la nature humaine, facile à deviner).
Pour ce qui est du potentiel d’abus que présentent les dérivés
de crédit, nous avons été intrigués par un récent article, intitulé
Systemic Risk and Hedge Funds (Le risque systémique et les
fonds de couverture), publié par un groupe d’auteurs parmi
lequel on retrouve l’économiste financier bien connu de MIT
et gestionnaire de fonds de couverture Andrew Lo. L’article
fournit une illustration convaincante de la facilité avec laquelle
des gestionnaires financiers sans scrupules pourraient se servir
des dérivés de crédit de façon ingénieuse pour tromper les
investisseurs.
Le tableau 1 de l’article, notamment, contient l’historique
de rendement sur huit ans, soit de 1992 à 1999, du fonds de
couverture hypothétique « Capital Decimation Partners LP ».
Comme le tableau le démontre, la stratégie adoptée par le fonds
lui a permis d’obtenir un rendement incroyable de 2 721 %
au cours de cette période de huit ans, alors que le S&P 500
obtenait un rendement de 367 % pour la même période; un
ratio Sharpe (rendement/risque) de 1,94 (par rapport au ratio de
0,98 du S&P 500); et seulement six mois de rendements négatifs
sur 96 mois (par rapport à 36 mois sur 96 pour le S&P 500).
Il s’agit là de résultats hors du commun, peu importe les
critères utilisés. Quel était donc le secret de Capital Decimation
Partners? Les dérivés de crédit.
Pour obtenir ces résultats, en effet, il suffisait au gestionnaire
hypothétique d’émettre périodiquement des options de vente
hors du cours sur l’indice S&P 500. En quelque sorte, le gestionnaire
pariait que le marché ne perdrait pas plus de 7 % de
sa valeur à court terme : un pari habituellement peu risqué.
Cette stratégie apparemment ingénieuse risquait toutefois de
se retourner contre le gestionnaire advenant un repli du marché
plus marqué que prévu pendant la période en question, auquel
cas celui-ci subirait un revers catastrophique. À toutes fins pratiques,
les dérivés permettaient à des gestionnaires sans scrupules
d’agir comme des compagnies d’assurance en encaissant d’importantes primes lorsque le marché leur était favorable. Ils
n’avaient toutefois pas les réserves requises pour faire face à
leurs obligations si jamais le vent tournait.
L’exemple susmentionné portait sur des options d’achat
d’actions, mais le principe s’applique tout aussi bien aux
portefeuilles de titres à revenu fixe. En émettant des options de
vente (ou des instruments de protection en cas de défaillance),
les gestionnaires de portefeuilles de titres à revenu fixe peuvent
offrir à leurs investisseurs gourmands des rendements plus élevés
année après année, jusqu’à ce que le marché fasse sauter leur
stratégie. La dégringolade, lorsqu’elle se produit, peut être rude.
Personne ne sait précisément dans quelle mesure les dérivés
de crédit ont été utilisés de façon abusive par les fonds de
couverture et les portefeuilles de titres à revenu fixe acheteur
seulement. Il est toutefois clair que les dérivés offrent aux
gestionnaires financiers un moyen facile de déjouer le système
en offrant des rendements élevés, des rations Sharpe impressionnants
et des pertes peu fréquentes pendant plusieurs
années jusqu’à ce que l’édifice s'écroule.
Des centaines de milliards de dollars d’actifs étant investis sur
la foi d’historiques de rendement relativement courts (trois à
cinq ans), il ne serait pas surprenant qu’un certain nombre de
gestionnaires de fonds à revenu fixe et de fonds de couverture
aient succombé à la tentation de s’adonner au trafic de dérivés
de crédit, compte tenu de la récente conjoncture caractérisée
par une volatilité en baisse particulièrement favorable à ce genre
de stratégie.
La question à 26 billions de dollars consiste à savoir si la lumière
sera faite sur ces abus à la suite d’une augmentation de la
volatilité des marchés, donnant ainsi raison à Warren Buffet et
à sa comparaison avec une « bombe à retardement ». Nous ne
disposons pas de la formule magique permettant de prévoir
l’évolution de la volatilité du marché (évolution probablement
aussi difficile à prévoir que celle du marché lui-même). Nous
faisons tout de même remarquer que, comme l’illustre le
graphique 2, une courbe des rendements prononcée laisse
habituellement présager une faible volatilité des marchés
pendant plusieurs années. Cette relation semble bien établie
puisque les marchés financiers et l’économie ont tendance à
bien se porter après une période d’assouplissement de politique
monétaire. Lorsque la Fed resserre sa politique, toutefois,
et que la courbe des rendements se renverse, comme c’est
actuellement le cas, le marché devient plus volatil.
Bref, il se pourrait bien que la politique de resserrement monétaire
de la Fed mette les dérivés de crédit à l’épreuve au cours
des trimestres à venir. En effet, le ralentissement économique
provoqué par cette politique pourrait commencer à susciter
des défaillances, particulièrement dans le secteur des prêts
hypothécaires. Nous avons donc demandé à nos analystes et à
nos gestionnaires de portefeuille de porter une attention toute
particulière à l’impact négatif sur les sociétés des secteurs des
services financiers, de l’immobilier et de la consommation d’un
resserrement du crédit suscité par un effondrement éventuel
de la structure des dérivés de crédit.
Dans le passé, comme le tableau 2 permet de le constater,
chaque cycle de resserrement de la Fed a été suivi d’un accident
ou d’une crise financière forçant la Fed à assouplir sa politique
monétaire de façon soudaine et marquée. Certes, il n’existe
aucune certitude que ce sera le cas cette fois encore. Mais si
nous devions parier sur la nature de l’accident financier à venir,
nous pencherions pour un incident impliquant les dérivés
de crédit.
Une dernière remarque : Si vous n’avez pas occasionnellement
l’impression d’être un dinosaure en matière de dérivés, c’est
probablement que vous n’y avez pas prêté attention.
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16/9/2007 10:31
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resume :
Comme l’indique le graphique 1, l’accroissement de la popularité
des dérivés de crédit a été tout à fait phénoménal. En effet, la
valeur théorique actuelle des contrats d’échange sur défaillance
de crédit est passée de moins d’un billion de dollars américains
à la mi-2001 à plus de 26 billions actuellement. Le recours à
de tels contrats ayant augmenté à un taux annuel moyen de
plus de 100 % pendant chacune des cinq dernières années, il
semble raisonnable de croire qu’une importante révolution
dans le domaine de la finance est en cours.
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Modifié le 16/9/2007 18:09
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ECONOMIC CALENDAR
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16/09/2007 23:00 USD Alan Greenspan Speaks
17/09/2007 04:00 USD Alan Greenspan Speaks
17/09/2007 06:50 USD Treasury Secretary Paulson Speaks
17/09/2007 09:00 EUR Trade Balance 4.0B 5.2B
17/09/2007 12:30 CAD Foreign Securities Purchases -1.50B -4.52B
17/09/2007 12:30 USD Empire State Business Conditions Index 18.0 25.1
17/09/2007 15:00 CHF SNB Chairman Roth Speaks
17/09/2007 16:45 USD Treasury Secretary Paulson Speaks
17/09/2007 23:50 JPY Tertiary Industry Activity Index m/m -0.4% 0.1%
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16/9/2007 16:57
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TCW is a subsidiary of Société Générale Asset Management (SGAM). SGAM Group has $66 billion under management in CDOs, including TCW, and approximately $500 billion in total assets under management.
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Modifié le 16/9/2007 20:56
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previous post by OCC
France, Europe, USA, Monde
WARNING : http://www.dailymotion.com/video/x2r5p7_commentaire-sur-le-crash-de-la-bour_busi
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Modifié le 16/9/2007 22:04
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Source : http://biz.yahoo.com/ap/070916/wall_street_week_ahead.html?.v=3
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AP
Wall Street Awaits Fed Rate-Cut Decision
Sunday September 16, 2:22 pm ET
By Madlen Read, AP Business Writer
Quarter-Point Rate Cut, Half-Point Cut, or None at All? This Week, Wall Street Finds Out
NEW YORK (AP) -- Wall Street's wait is up: the Federal Reserve meets this week to decide what to do about interest rates.
Investors can call it what they like -- their Super Bowl, their Election Day, their Day of Reckoning -- but they might want to keep in mind that Tuesday's decision may end up raising as many questions as it answers.
The stock market plunged from record highs this summer on fears about souring home loans and excessive leveraged debt strangling corporate and economic growth. Since then, the big question on Wall Street has been: Will the Fed finally lower interest rates? Tuesday afternoon, investors will find out.
No matter what the outcome, the stock market could be in for a wild ride.
Like many investment strategists, Bob Doll of BlackRock Inc. believes Fed policy makers will lower rates by a quarter of a percentage point Tuesday and alter their assessment of the economy -- particularly given a decline of 4,000 jobs in August and weakening retail sales. But, he added, even if market gets its rate cut, the next day the market will probably ask: Now what?
"I'm not even sure good news from the Fed means we're out of the woods in terms of volatility," Doll said.
With all of the recent weak economic data, many investors have been crossing their fingers for a half-point rate cut, a move Swiss Re chief U.S. economist Kurt Karl said policy makers are probably loathe to make. "I don't think they want to give the market everything it wants. It's a very difficult situation."
Moreover, some experts argue the Fed may not go through with a rate cut at all, because the central bank, which hasn't reduced the benchmark fed funds rate since 2003, wants to avoid being viewed as bailing out investors. Plus, the dollar has fallen to an all-time low versus the 13-nation euro, the price of crude oil is in record terrain, and the Dow Jones industrial average is only 4 percent below the all-time high of 14,000.41 it reached in July.
Last week the major stock indexes fared well; a good deal of the gains came from high expectations of a rate cut, but some were also due to positive corporate news and an apparent return to normalcy in the market for commercial paper -- bonds that companies sell for quick cash. The Dow ended up 2.51 percent, the Standard & Poor's 500 index rose 2.11 percent, and the Nasdaq composite index rose 1.42 percent.
Ultimately, the Fed's two main concerns are core inflation -- which strips out food and energy prices, and has been easing recently -- and the economy, which is at a greater risk of dipping into recession if the Fed doesn't make a rate cut, Karl said.
"Is it a bailout, or a protection of the economy? You can interpret it both ways," he said.
Karl said it's not the Fed's job to worry about the dollar, except for how it may affect the economy.
A weak dollar makes imported goods more costly for Americans and discourages foreign investors from buying dollar-denominated assets like U.S. Treasury bonds. But it boosts exports and benefits companies who pull in a chunk of their revenue from overseas.
Another reason the Fed's rate decision Tuesday might not totally placate investors is that there's a flood of important data pouring in this week with the potential to stir up more jitters about the economy and future Fed policy: notably, August prices for producers and consumers, August housing starts, and weekly jobless claims. Most economists anticipate very little change in core prices, ongoing sluggishness in housing and an uptick in jobless claims.
Also, the major investment banks -- Bear Stearns, Lehman Brothers, Morgan Stanley and Goldman Sachs -- release their third-quarter earnings this week. Wall Street will be poring over the reports to see if the banks' balance sheets held up during August's credit squeeze and stock market plunge.
And furthermore, even if the Fed does exactly what the majority of investors want, predicting its next move will continue to be Wall Street's favorite game. According to BlackRock's Doll, "A preoccupation with what the Fed is up to is here to stay for some time."
Retour CAC1709 (EUROP:PX1)
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Modifié le 17/9/2007 00:32
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artes
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14/09/2007 La volatilité, http://www.elitetrader.com/vb/attachment.php?s=&postid=1607332
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Modifié le 16/9/2007 23:44
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artes
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Membre depuis: 15/12/2006
Greenspan: http://www.usatoday.com/money/economy/fed/2007-09-14-greenspan-book_N.htm
Higher inflation to warrant double-digit rates in future
Updated 1d 15h ago |
Source & suite : http://www.usatoday.com/money/economy/fed/2007-09-14-greenspan-book_N.htm
Elite Trader Forum:
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source : http://www.elitetrader.com/vb/showthread.php?threadid=104036
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17/9/2007 00:23
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batcha
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De M9213325 (psychadelique) 00:15 17/09/07
Crédit : semaine critique, à 100 milliards d’Euros
10 septembre 2007
Le marché monétaire des billets de trésorie, aussi dénommés « papier commercial, » s’apprête a vivre une semaine très tendue. Près de 100 milliards d’Euros de ces emprunts à court terme vont parvenir à échéance de remboursement entre le 11 et le 19 septembre. Mais le marché monétaire est rongé par le doute, et les investisseurs peu enclins à renouveler leurs prêts à des institutions financières dont la santé pourrait être compromise par les défaillances des subprimes. Les grandes banques commencent elles aussi à souffrir de cette suspicion généralisée.
Mise à jour 13:30
Les marchés interbancaires, sur lequel les grandes banques se prêtent mutuellement des fonds de trésorerie, sont extrêmement tendus depuis quelques semaines, malgré les interventions répétées des Banques Centrales.
Les banques accumulent des réserves, et montrent beaucoup de mauvaise volonté à les prêter à leurs homologues, ou réclament pour ce faire des taux d’intérêts nettement supérieurs à ceux du marché.
Même les plus grands établissements ne sont pas épargnés. Fin septembre, la Barclays, troisième banque britannique, a ainsi du faire appel en urgence à la Banque d’Angleterre pour obtenir 1,6 milliards de livres.
La raison de cette méfiance porte un nom : Papier commercial.
Près de cent milliards d’euros de ces emprunts à court terme arrivent à échéance de remboursement cette semaine, et les banques craignent de devoir sortir de leurs coffres ces sommes considérables.
« Les banques amassent du cash, » déclare David Brickman directeur de la stratégie pour le crédit chez Lehman Brothers. « Nous pensons qu’elle le font à cause du papier commercial. Ces marchés ne fonctionnent pas normalement, certaines dettes sont déjà apparues sur les bilans des banques et plus encore vont suivre. Nous estimons qu’entre le 11 et le 19 septembre 68,5 milliards de livres seront à renouveler, y compris les échéances à un mois et à quatre mois. C’est pourquoi les banques accumulent du liquide. »
Le marché du papier commercial fournit aux entreprises et aux investisseurs la possibilité de placer à court terme des liquidités, en bénéficiant d’une rémunération supérieure à celle offerte par les banques. Les institutions financières qui émettent ces obligations investissent l’argent déposé à long terme, avec un rendement supérieur à celui qu’elles versent à leurs clients, et se financent grâce à la différence des taux d’intérêts appliqués.
En temps normal, lorsque ces billets à court terme arrivent à échéance, ils sont soit renouvelés, soit remboursés en émettant de nouveaux emprunts, en un roulement perpétuel de trésorerie.
Mais depuis le mois d’août et le début de la crise des subprime, les investisseurs n’ont plus confiance dans les obligations émises par ce type d’établissements. A la différence des banques, les fonds d’investissements intervenant sur ce marché ne sont contraints à aucun dépôt de réserve et ne bénéficient pas de l’entière garantie de la place en cas de défaillance. De plus, ils ont dans leurs portefeuilles d’investissement à long terme des titres de CDO adossés à des emprunts hypothécaires, désormais objet de toutes les suspicions.
En quoi cela concerne-t-il les banques ? Tout simplement parce que ce sont elles qui ont créé bon nombre de fonds d’investissements de ce type, nommés « conduits » ou « Structured Investment Vehicle », qu’elles en sont souvent propriétaires, et se sont engagées à couvrir une partie de leurs besoins en trésorerie.
Si les SIV ne trouvent pas preneurs pour leur papier commercial, ils se retourneront alors vers les banques qui pourraient avoir à débourser des sommes considérables.
Le 17 septembre, ce sont pas moins de 33 milliards d’euros qui devront être trouvés. Et les 100 milliards à renouveler en une semaine représentent une somme équivalente à l’ensemble des transactions de ce marché durant tout le mois d’août.
Selon Bloomberg, sur ce total, plus 40 milliards d’euros ont été émis par les « conduits », adossés aux banques, et le reste par des établissement dépourvus de cette garantie.
La confiance accordée aux grandes banques remise en cause
Les grandes banques américaines sont elles aussi victimes de cette méfiance généralisée qui s’est installée sur les marchés financiers et leurs obligations ne trouvent preneur qu’à un condition d’offir une rémunération du risque bien supérieure à ce que leur réputation pourrait laisser supposer.
Ainsi, Lehman Brothers a du offrir pour pouvoir emprunter un taux d’intérêt sur des obligations à 10 ans plus élevé que celui des bons du trésor de la Colombie, ravagée par la guerre civile.
Les prêteurs considèrent que les grands établissements financiers sont aussi peu sûrs que les emprunts subprime, note l’agence Bloomberg, qui juge qu’il s’agit d’un « scénario de cauchemar pour les dirigeants du secteur financier qui comptaient sur des emprunts à bon marché » pour financer leurs opérations.
Les cinq plus grands établissements américains , Morgan Stanley, Merrill Lynch & Co., Lehman and Bear Stearns, vont devoir honorer à hauteur de 75 milliards de dollars leurs engagements dans des opérations de LBO qui ne trouvent plus preneurs.
Lorsque Bear Sterns a levé 2,25 milliards de dollars en août, en émettant des obligations à 5 ans, elle a du offrir 2,45% de rémunération supplémentaire par rapport aux bons du Trésor de même durée, c’est à dire quatre fois plus que lorsque la dernière opération du même type en janvier.
Le 30 août, Goldman a payé 1,67% de surprime sur un emprunt à 10 ans de 2,5 milliards.
-> "Ainsi, Lehman Brothers a du offrir pour pouvoir emprunter un taux d’intérêt sur des obligations à 10 ans plus élevé que celui des bons du trésor de la Colombie, ravagée par la guerre civile.
Les prêteurs considèrent que les grands établissements financiers sont aussi peu sûrs que les emprunts subprime, note l’agence Bloomberg, qui juge qu’il s’agit d’un « scénario de cauchemar pour les dirigeants du secteur financier qui comptaient sur des emprunts à bon marché » pour financer leurs opérations.
Les cinq plus grands établissements américains , Morgan Stanley, Merrill Lynch & Co., Lehman and Bear Stearns, vont devoir honorer à hauteur de 75 milliards de dollars leurs engagements dans des opérations de LBO qui ne trouvent plus preneurs."
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Modifié le 17/9/2007 08:54
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LARRY LEVIN:
(date 16 Sep 2007 21:41 )
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Dear Trader,
Well our good friend Ben Bernanke is getting ready for what could very well be the biggest FOMC meeting since he began leading the Fed.
Most traders I know say the .25 point move is what is most likely to happen this time around. Although some people are looking for a .50 point move, don't bet on it.
The Fed needs to hold onto something if things get worse come year end. That's why the most likely scenario is moving a 1/4 point now and see what happens in the next meeting. (Remember there are only two meetings left this year after Tuesday's.)
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17/9/2007 08:57
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gold en grande forme !!!attention !!!!
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Modifié le 17/9/2007 09:09
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artes
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Source: http://commerzbank.zonebourse.com/wm/WarrantMatin192.pdf
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LA CLOTURE A WALL STREET
Dans l'attente du verdict de la Reserve Federale américaine ce 18 septembre, Wall Street a terminé la semaine
sur une note de prudence. Le Dow Jones s'est adjugé 0,13% à 13 442 points tandis que le Nasdaq est resté
pratiquement stable, en hausse de 0,04% à 2 602. Le bilan des cinq dernières séances est toutefois nettement
positif, avec un gain hebdomadaire de 2,51% pour le Dow Jones et de 41,42% pour le Nasdaq. Mais la Fed
devrait décider ce 18 septembre de l'évolution avenir des marchés actions américains.
Les opérateurs attendent ce mardi une baisse des taux aux Etats-Unis. L'interrogation réside sur l'ampleur du
geste des autorités monétaires américaines. Iront-elles jusqu'à baisser les taux de 50 points de base ou se
limiteront-elles à 25 points de base ?
La Fed pourrait être tiraillée entre la nécessité de mettre un terme à la crise du subprime en volant au secours des
établissements bancaires en manque de liquidité et ses inquiétudes persistantes concernant l'inflation, le pétrole
ayant notamment atteint un nouveau plus haut historique, à plus de 80 dollars le baril. Toujours ferme, le brut est
depuis revenu aux alentours des 78,60 dollars.
L'économie américaine montre en tout cas des signes de faiblesse.
Les ventes de détail ont augmenté de seulement 0,3% aux Etats-Unis en août, s'inscrivant au dessous des
attentes des analystes. Hors automobiles, les ventes accusent même une baisse de 0,4% au mois d'août.
De même, la production industrielle a progressé de 0,2% en août contre une hausse de 0,3% pronostiquée. Les
chiffres du mois de juillet ont toutefois été révisées en hausse à +0,5% contre +0,3% initialement.
Les prix des produits importés aux Etats-Unis ont pour leur part baissé de 0,3% en août par rapport à juillet, selon
le dernier rapport mensuel du département du Travail, et augmenté de 1,9% sur un an. Ils s'étaient appréciés de
1,3% en juillet et non de 1,5% comme indiqué en première lecture le mois dernier.
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17/9/2007 10:08
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Le cours de la huitième banque britannique Northern Rock, mise en difficulté par la crise des marchés financiers, a poursuivi son effondrement lundi à la Bourse de Londres.
Vers 07H15 GMT, le titre du groupe chutait de 31,05% à 302 pence, après avoir déjà perdu 31,46% lors de la séance de vendredi, dans un marché en baisse de 1,01%.
Avec cette nouvelle baisse, le cours de la banque a perdu au total 73% depuis le début de l'année, et la valeur boursière du groupe se trouvait ramenée à 1,27 milliards de livres (1,83 milliards d'euros).
La banque, à laquelle ses pairs ne voulaient plus prêter d'argent, a dû faire appel la semaine dernière à la mission de la Banque d'Angleterre de "prêteur en dernier ressort", une de ses attributions que l'institution n'exerce qu'avec l'autorisation de l'Autorité des services financiers (FSA), du régulateur des marchés, et du ministre des Finances.
Mais malgré les multiples appels au calme des autorités et du groupe, des milliers de clients de la banque se sont pressés vendredi et samedi à ses guichets à travers le pays, pour retirer leurs économies. Selon la BBC, deux milliards de livres (3 milliards d'euros) auraient ainsi déjà été retirés de ses caisses.
Lundi, de nouvelles files d'attentes s'étaient formées dès avant la réouverture des agences, qui a été exceptionnellement avancée à 07H00 GMT (08H00 locales). Et la connexion à certaines parties de son site internet, notamment la consultation des comptes, était à nouveau bloquée en raison d'un trafic trop important, a constaté l'AFP, bien que la banque ait affirmé avoir augmenté sa capacité de traitement.
Le ministre britannique des Finances, Alistair Darling, a lancé lundi un nouvel appel au calme aux épargnants de la banque Northern Rock, tandis que ses clients faisaient la queue dès lundi matin devant les succursales pour la troisième journée.
"Mon souci est de faire en sorte que le système bancaire soit stable, que les gens puissent avoir confiance en lui... C'est pourquoi j'ai dit que la Banque d'Angleterre pouvait rendre l'argent disponible pour la Northern Rock, précisément pour faire en sorte que les gens qui veulent retirer leur argent puissent le faire", a déclaré M. Darling à la chaîne de télévision GMTV.
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17/9/2007 16:16
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psluse
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DJ UPDATE:Greenspan:US House Prices Likely To Fall A Lot-Reports
(Adds Greenspan comments from Fortune magazine and 60 minutes interviews)
DOW JONES NEWSWIRES
U.S. house prices are likely to fall significantly from their present levels, former Federal Reserve Chairman Alan Greenspan said, according to the Financial Times Monday.
Greenspan said the decline in house prices "is going to be larger than most people expect," the FT reported.
But Greenspan said that his successors at the Fed will have to be careful not to ease rates too aggressively because the risk of an "inflationary resurgence" was greater now than when he was Fed chief.
The FT reported that Greenspan said he would expect "as a minimum, large single-digit" percentage declines in U.S. house prices from peak to trough and added that he would not be surprised if the fall was "in double digits."
Greenspan said house prices were probably already down about 2% to 3% from their peak nationally, the report said. Greenspan added it was very difficult to predict how large the ultimate decline would be.
In a separate interview with Fortune magazine, Greenspan said there is "no question" that there is an overabundance of inventories in the housing sector, especially in newly-constructed, unoccupied single-family homes. He put the figure at 200,000, and saw the drawdown of these inventories running at a small number per month.
Greenspan said that the flexibility of the U.S. economy would help it cope with the spillover from the financial crisis, but he said the prospect of a negative wealth effect from housing meant this crisis was "trickier" to manage than crises that didn´t effect consumers, the FT reported.
Greenspan said the current turmoil in financial markets was "an accident waiting to happen," the report said.
He said the price of risk had fallen to unsustainably low levels beforehand, with investors addicted to asset-backed securities that offered some additional yield over Treasury bonds as if they were "cocaine," The FT reported.
Greenspan said this demand led to the big increase in the origination of subprime mortgage brokers.
He also said the off-balance sheet investment vehicles that issued much of the asset-backed commercial paper represented a "savings and loans disaster waiting to happen" because of the mismatch between their assets and liabilities, the FT said.
Greenspan said the issuance of asset-backed commercial paper "is probably not going to get back to where it was," according to the report. They had "five-year maturity assets financed with 30-day commercial paper," he said.
He said collateralized debt obligations - securities that slice up and repackage loans to meet the risk-appetite of different investors - "will never get back to the levels and structures that they were, because now everybody knows you cannot price them," the newspaper added.
When asked by Fortune if there could be potentially be turmoil in the derivatives markets, the former Fed Chairman said that credit derivatives are an "extraordinary valuable thing" that have had a "very positive effect on international financial systems, had a very positive effect on American banking," the magazine reported.
However, he warned to be "careful" with CDOs that he said have "gotten too sophisticated, are priced by extraordinary mathematical models, and are very difficult to value. I think people are going to be frightened to deal with those things for a long time." He added that "a lot of them are going to disappear, because they´ve been tried; they don´t work." But, he added, derivatives markets are important instruments for risk dispersion globally, Fortune reported.
In an interview that aired Sunday night, Greenspan told CBS´s "60 Minutes" he was confident that the tightening of credit conditions that afflicted financial markets earlier this summer is something "we´re going to get through....We always do. This is a human behavior phenomenon, and it will pass. The fever will break and euphoria will start to come back again," Greenspan said.
But he added that he does see clouds on the horizon.
"Over the long run, this is not going to be what our problem is. Our problem over the long run is the re-emergence of inflation," he said. When the 60 Minutes interviewer said, "This is interesting because in your book, your outlook on the broad future is pretty gloomy. Interest rates going up, you say. Inflation going up."
Greenspan said, "Yes. Indeed I have a line in the book, ´It looks pretty gloomy´."
(END) Dow Jones Newswires
September 17, 2007 10:02 ET (14:02 GMT)
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