Vinci - Pullback Sur Ancienne Résistance (DG)
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Modifié le 10/12/2014 11:37
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zebulon1
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L'action Vinci vient d'effectuer un pullback en 15 min sur ses anciens plus hauts et le cours devrait reprendre son mouvement de hausse en direction de 44.20 (dernier plus haut) puis 44.33..
Zébulon, fan du site CentralCharts
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17/2/2015 20:18
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waldron
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Sur les 5 derniers jours, le titre a peu évolué, gagnant 2.24%. Depuis le début de l'année, il est en hausse de 15.34%.
Du point de vue de l'analyse technique : le RSI est supérieur à 70. Cela peut indiquer un titre en forte tendance haussière ou plutôt dans un état suracheté et que donc une correction s'impose (surveiller les divergences). Le MACD est supérieur à sa ligne de signal et positif. La configuration est haussière à court terme. Enfin, le titre est supérieur à sa moyenne mobile 50 jours.
A noter que les volumes sont en baisse depuis quelques jours.
Graphiquement : les niveaux de résistances se situent sur : 56.1 puis 57.7. Tandis que les prochains supports sont sur : 50.5 puis 49.5.
Notre préférence : Le titre Vinci (Paris: FR0000125486 - actualité) (DG) est haussier tant que 49.5 est support.
Le point d'invalidation de notre scénario est situé sur : 49.5.
Cours de référence : 52.5.
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17/2/2015 22:40
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waldron
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Confirmation d'annulation de permis de construire pour deux bâtiments de Paris VII déjà construits
AFP le 17/02/2015 à 17:46
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La cour administrative d'appel de Paris a confirmé l'annulation des permis de construire de deux bâtiments de l'Université Paris-VII (Diderot) déjà construits par une société du groupe Vinci dans le cadre d'un contrat de partenariat public-privé (PPP), a-t-on appris mardi.
La cour a ainsi suivi les préconisations du rapporteur public lors de l'audience, a indiqué à l'AFP Michel Parigot, de l'association Diderot Transparence, une des organisations qui contestait les permis.
Sollicitée par l'AFP, l'université n'avait pas réagi dans l'immédiat.
La décision du tribunal administratif, qui avait jugé en juillet 2013 que ces permis ne respectaient pas les normes de sécurité relatives aux établissements recevant du public, est ainsi validée.
Les deux édifices en cause sont les bâtiments "Sophie-Germain" et "Olympe-de-Gouges", situés sur la ZAC Rive gauche, dans le XIIIe arrondissement de Paris. Le premier abrite les UFR de mathématiques et informatique. Le second ceux de lettres et de sciences humaines.
Ils ont été construits par Udicité, une société du groupe Vinci.
Ce PPP, l'un des deux premiers dans le domaine de l'enseignement supérieur, avait été signé en juillet 2009 en présence de l'ex-ministre Valérie Pécresse. Signé pour 28 ans, il prévoyait que Vinci prenne en charge la conception, la construction mais aussi l'entretien des bâtiments. En contrepartie, l'État s'est engagé à verser pendant toute la durée du contrat un "loyer annuel", intégrant le remboursement de l'investissement réalisé par l'entreprise lors de la construction et le coût de l'entretien des bâtiments.
Plusieurs associations avaient déposé en juin 2010 un recours contre ces permis, considérant notamment que l'usage des bâtiments réel n'était pas celui qui était théoriquement prévu.
M. Parigot s'est félicité que la cour d'appel ait ainsi condamné ce qui revient selon lui "en fait à une fraude". Les associations attendent désormais une décision sur les autorisations d'ouverture des deux bâtiments signées par la préfecture, qu'elles contestent également devant la justice administrative, qui avait mis sa décision en suspens en l'attente de celle sur les permis de construire, a-t-il précisé.
so/thm/eb
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18/2/2015 20:08
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waldron
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VINCI : Autoroutes-Fin des négociations dans quelques semaines-Macron
18/02/15 à 09:26 - Reuters 0 Commentaire(s)
PARIS, 18 février (Reuters) - Les négociations avec les sociétés d'autoroutes s'achèveront dans les prochaines semaines, a déclaré mercredi le ministre de l'Economie, Emmanuel Macron, en ajoutant que le gouvernement souhaitait que les tarifs des péages n'augmentent pas cette année.
Le gouvernement a suspendu la hausse des tarifs prévue en février, qui devait atteindre 0,57% en moyenne, une décision contestée devant le Conseil d'Etat par les sociétés d'autoroutes.
Les négociations se poursuivent parallèlement entre l'Etat et les concessionnaires pour mettre fin à un bras de fer qui les oppose depuis plusieurs mois sur le régime des autoroutes. Le groupe Vinci, l'un des concessionnaires, s'est dit début février confiant dans la conclusion prochaine d'un accord.
"Les négociations se finiront dans les prochaines semaines", a dit Emmanuel Macron sur BFMTV et RMC.
"Notre souhait, c'est que ça n'augmente pas cette année (..) mais nous discutons", a-t-il ajouté.
"Ce qui est important, c'est qu'il y ait des travaux qui soient faits, que les prix soient régulés et que, pour ces sociétés d'autoroutes, nous pilotions la profitabilité", ce que la loi sur la croissance et l'activité permet, a-t-il poursuivi.
Voir aussi :
Vers une action collective contre les tarifs des péages (Jean-Baptiste Vey, édité par Yann Le Guernigou)
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19/2/2015 10:11
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mumu1
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Le conseil du jour : acheter tant qu'il est encore temps.
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Modifié le 19/2/2015 11:12
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waldron
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merci mumu
j'espere vous avez raison mais pourque
bon journee et bon chance
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19/2/2015 20:26
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waldron
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Plan de relance autoroutier : 8.200 emplois dans la balance (patronat)
AFP le 19/02/2015 à 16:12
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Le syndicat patronal du secteur des travaux publics FNTP a affirmé jeudi qu'il y avait "urgence" à débloquer le plan de relance autoroutier, qui pourrait selon lui créer jusqu'à 8.200 emplois dans un secteur en crise.
Le plan de relance autoroutier, validé par Bruxelles en octobre, prévoit un allongement de la durée des concessions des sociétés d'autoroutes, en échange de travaux à hauteur de 3,2 milliards d'euros.
Sa signature définitive fait partie des discussions en cours entre l'État et les concessionnaires.
Or, les sociétés autoroutières ont déposé un recours devant le Conseil d'État, dénonçant un "excès de pouvoir" après la décision gouvernementale de suspendre la hausse des tarifs des péages de 0,57% qui devait entrer en vigueur le 1er février, le temps d'attendre les conclusions du groupe de travail sur l'avenir de ces concessions.
Bruno Cavagné, président de la FNTP, la Fédération nationale des travaux publics, a rencontré jeudi Jean-Paul Chanteguet, président de la commission du Développement durable de l'Assemblée nationale, "pour lui indiquer qu'il y avait urgence à débloquer le plan de relance autoroutier", a précisé la FNTP dans un communiqué.
"Alors que le secteur des travaux publics s'enfonce dans la crise avec une prévision de baisse du chiffre d'affaires du secteur de 8%, ce plan représente 21 projets susceptibles de démarrer entre la fin 2015 et 2016 si le dossier est débloqué ces prochaines semaines", selon la même source.
Ces 21 projets (...) génèreront en année pleine 8.200 emplois pendant la durée des travaux (en moyenne 3 ans)", a plaidé la FNTP.
M. Chanteguet, député socialiste, avait préconisé en décembre dans un rapport une "résiliation des contrats en cours" avec les sociétés concessionnaires d'autoroutes (SCA).
Ce dossier s'était emballé après la publication à la mi-septembre par l'Autorité de la concurrence d'un rapport dénonçant la "rente" de ces entreprises depuis la privatisation de 2006, sur fond de péages augmentant plus vite que l'inflation.
Les concessionnaires font valoir de leur côté que leur rentabilité est bien inférieure aux 20% ou plus évoqués par l'Autorité de la concurrence, car elle doit se calculer sur l'ensemble de la durée des concessions, soit une trentaine d'années.
Filiales pour la plupart des géants français du BTP Eiffage et Vinci, ainsi que de l'Espagnol Abertis, les SCA exploitent 9.048 kilomètres d'autoroutes françaises, sur les 11.882 existants.
tq/boc/LyS
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20/2/2015 10:09
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mumu1
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Achetez !!! perso moi c'est fait.
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21/2/2015 13:02
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Grupo GuitarLumber
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optimiste notre mumu
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23/2/2015 08:05
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waldron
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TEC
VINCI : Les résistances sont proches
SYNTHESE
Le MACD est positif et supérieur à sa ligne de signal. Cette configuration confirme la bonne orientation du titre. Néanmoins, le RSI se trouve dans la zone de surachat, on peut s'attendre à une correction technique à court terme. De plus, les stochastiques sont très élevés, ce qui confirme les risques en cas de retournement brutal. Les volumes échangés sont inférieurs à la moyenne des volumes sur les 10 derniers jours.
MOUVEMENTS ET NIVEAUX
Le titre est orienté à la hausse. Il est au-dessus de sa moyenne mobile 50 jours. La moyenne mobile à 20 jours est supérieure à la moyenne mobile à 50 jours. Le support est à 47.93 EUR, puis à 45.84 EUR et la résistance est à 56.31 EUR, puis à 58.41 EUR.
Dernier cours : 52.72
Support : 47.93 / 45.84
Resistance : 56.31 / 58.41
Opinion court terme : neutre
Opinion moyen terme : positive
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23/2/2015 09:42
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waldron
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AUTOROUTES - Selon la presse française, le groupe de travail parlementaire sur les autoroutes doit auditionner les présidents des sociétés d'autoroutes le 3 mars, suivie le 5 mars de l'audition des deux négociateurs de l'Etat, cette dernière réunion pouvant se révéler décisive.
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24/2/2015 18:34
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waldron
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Les sociétés concessionnaires d'autoroutes (SCA) et l'Autorité de la concurrence, qui avait dénoncé une "rente" de ces dernières dans un rapport, ont rendez-vous le 3 mars à l'Assemblée nationale pour un "débat contradictoire", a-t-on appris mardi auprès de l'Autorité.
Il y aura "une audition à l'Assemblée nationale, un débat contradictoire est organisé et l'Autorité y est conviée", a précisé à l'AFP une porte-parole.
De source proche du dossier, cette audition à laquelle se rendront les représentants des SCA est organisée par le groupe de travail sur l'avenir des concessions autoroutières, dont la création avait été annoncée fin décembre par le Premier ministre Manuel Valls.
Le chef du gouvernement avait ensuite annoncé une suspension de la hausse des tarifs des péages prévue au 1er février, et dont le pourcentage calculé et validé par l'Etat en décembre était de 0,57%.
Le groupe de travail, composé de 15 parlementaires et de représentants de l'administration, doit étudier les conséquences d'une renégociation ou d'une résiliation à partir de 2017 des contrats de concession des autoroutes, le gouvernement ayant écarté une résiliation dès 2016.
Entre-temps, les sociétés autoroutières ont déposé un recours devant le Conseil d'État, dénonçant un "excès de pouvoir". Ce contentieux gèle de facto l'application du plan de relance autoroutier, validé par Bruxelles en octobre, et qui prévoit un allongement de la durée des concessions des sociétés d'autoroutes, en échange de travaux à hauteur de 3,2 milliards d'euros.
Ce dossier s'était emballé après la publication à la mi-septembre par l'Autorité de la concurrence d'un rapport dénonçant la "rente" de ces entreprises depuis la privatisation de 2006, sur fond de péages augmentant plus vite que l'inflation.
Les concessionnaires font valoir de leur côté que leur rentabilité est bien inférieure aux 20% ou plus évoqués par l'Autorité de la concurrence, car elle doit se calculer sur l'ensemble de la durée des concessions, soit une trentaine d'années.
Mise en cause par les SCA pour des "contresens manifestes" dans son rapport, l'Autorité de la concurrence avait affirmé le 28 janvier qu'elle maintenait "intégralement les chiffres" et son "diagnostic".
Le 7 février, le président François Hollande avait souhaité un "règlement global et définitif", dans les "prochains jours", du contentieux entre l'Etat et les SCA.
Filiales pour la plupart des géants français du BTP Eiffage et Vinci, ainsi que de l'espagnol Abertis, les SCA exploitent 9.048 kilomètres d'autoroutes françaises, sur les 11.882 existants.
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24/2/2015 19:45
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waldron
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Sur les 5 derniers jours, le titre a peu évolué, gagnant 1.28%. Depuis le début de l'année, il est en hausse de 16.81%.
Du point de vue de l'analyse technique : le RSI est supérieur à 70. Cela peut indiquer un titre en forte tendance haussière ou plutôt dans un état suracheté et que donc une correction s'impose (surveiller les divergences). Le MACD est supérieur à sa ligne de signal et positif. La configuration est haussière à court terme. Enfin, le titre est supérieur à sa moyenne mobile 50 jours.
A noter que les volumes sont en baisse depuis quelques jours.
Graphiquement : les niveaux de résistances se situent sur : 56.6 puis 58.2. Tandis que les prochains supports sont sur : 51.3 puis 50.3.
Notre préférence : Le titre Vinci (Paris: FR0000125486 - actualité) (DG) est haussier tant que 50.3 est support.
Le point d'invalidation de notre scénario est situé sur : 50.3.
Cours de référence : 53.2.
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26/2/2015 17:49
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waldron
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Actualisé: Eiffage confiant pour la "stabilité" des concessions et la compensation du gel des péages
Abertis Infraestructuras, S.A. (ESE:ABE)
Intraday Stock Chart
Today : Jeudi 26 Février 2015
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Les dirigeants du groupe français de BTP Eiffage ont affirmé jeudi qu'ils ablaient sur "un accord avec l'Etat" d'ici fin mars garantissant "la stabilité des contrats" de concessions autoroutières et la "compensation" du gel des tarifs des péages décidé fin janvier par le gouvernement.
"Mon esprit rationnel me pousse à croire qu'on devrait converger assez rapidement vers un plan de relance et une stabilité des contrats (...) peut-être mi-mars, peut-être un peu après", a déclaré Pierre Berger, PDG d'Eiffage, lors d'une conférence de presse.
Le patron du groupe, qui gère 2.415 kilomètres de concessions autoroutières en France, a dit attendre "la fin du travail" du groupe associant 15 parlementaires et des représentants de l'administration, cette échéance étant "prévue début mars". Un rapport d'étape doit effectivement être présenté, a-t-on appris de source parlementaire.
Selon M. Berger, les membres de ce groupe de travail "sont aujourd'hui convaincus que le bon instrument de mesure de la rentabilité des autoroutes est le taux de rendement de l'investissement, qui se mesure sur la durée de la concession" et représente "entre 7% et 8%" du chiffre d'affaires annuel de l'activité, qui a dépassé 2,2 milliards d'euros en 2014.
Cet indicateur comptable tient compte du remboursement de l'acquisition de la société APRR en 2006, sous la forme de "dividendes qui vont dans la poche des banques qui ont prêté à Eiffage 10 milliards d'euros", a-t-il expliqué.
Les sociétés concessionnaires sont par ailleurs "toujours disposées à lancer le plan de relance" qui prévoit 3,2 milliards d'euros de travaux sur l'ensemble du réseau autoroutier français, a-t-il indiqué, soulignant que ce projet avait été approuvé par le gouvernement et par la Commission européenne.
"C'est l'investissement le plus important en volume prévu en France pour les trois prochaines années dans la route (...) mais rien ne peut se conclure avant que les parlementaires aient fini d'éplucher ce dossier", a-t-il ajouté.
Eiffage et ses homologues - Vinci et l'espagnol Abertis - ont en outre "la ferme conviction" d'être "intégralement compensés" pour la suspension de la hausse des tarifs des péages autoroutiers, qui devaient augmenter de 0,57% au 1er février.
Après le dépôt de plusieurs recours début février devant le Conseil d'Etat, "on n'attend pas un jugement avant le deuxième semestre bien tassé", mais "le plus vraisemblable, c'est que d'ici là, on aura trouvé un accord avec l'Etat" et "qu'on n'ira pas jusqu'au bout de la procédure", a pronostiqué Max Roche, directeur général adjoint d'Eiffage, chargé des concessions.
"Le gouvernement pense aussi qu'on sera compensé", a complété M. Berger.
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27/2/2015 21:27
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waldron
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Membre depuis: 17/9/2002
(CercleFinance.com) - Vinci, parti de 40E mi-octobre cale vers 53,5E: cela représente tout de même +33% de hausse mais les chartistes restent sur leur faim: la reprise en 'W' sur les 40E aurait dû se prolonger vers 57E.
Cet objectif reste t'il toujours accessible ou faut il redouter une correction vers le palier des 50E ou le 'gap' des 47,44E du 2 février ?
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28/2/2015 19:23
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waldron
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Membre depuis: 17/9/2002
Explosion des coûts, conflits avec la SNCF et les collectivités locales… Les obstacles s’accumulent sur le chemin de la future LGV de Lisea.
"Bordeaux et Paris n’ont jamais été aussi près d’être aussi proches", martèle depuis le 1er février la publicité de Lisea, le concessionnaire de la future ligne à grande vitesse qui reliera les deux villes en 2h05 dans deux ans. Difficile d’en dire autant des partenaires impliqués dans ce projet aussi pharaonique que mal ficelé ! A l’heure des plans d’austérité, son coût de 7,8 milliards d’euros affole les esprits, même si c’est un consortium privé qui porte 50% du financement. Lisea, piloté par Vinci, le géant du BTP, aux côtés de CDC et d’Axa, est d’ailleurs la plus grosse concession privée d’Europe continentale.
Déjà épinglée par la Cour des comptes en octobre dernier, la LGV fait aussi l’objet d’un bras de fer avec les collectivités locales, qui ne veulent plus payer la facture des travaux, et avec la SNCF, qui menace de ne pas faire rouler autant de trains que prévu. Résultat : l’Etat vient de nommer Jean Auroux comme médiateur. L’ex-ministre du Travail doit calmer les esprits et remettre tout le monde autour de la table des négociations. Pas simple !
Désaccord sur le démarrage
Premier dossier sensible : la SNCF. " Si les relations se tendent avec l’opérateur ferroviaire, c’est qu’on entre dans la phase de commercialisation de la ligne, et donc des cadences des trains, des gares desservies, et des coûts des péages à payer à l’entreprise Lisea", décrypte un connaisseur du dossier. Lisea assure que tout sera prêt en juillet 2017 pour faire rouler les TGV : les travaux de terrassement, la construction
... Lire la suite sur Challenges
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02/3/2015 10:11
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waldron
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TEC
VINCI : Le mouvement reste haussier
SYNTHESE
Le MACD est positif et supérieur à sa ligne de signal. Cette configuration confirme la bonne orientation du titre. On constate que le potentiel de hausse du RSI n'est pas épuisé. Les stochastiques, pour leur part, se trouvent dans la zone de surachat, une correction est probable à court terme. Les volumes échangés sont inférieurs à la moyenne des volumes sur les 10 derniers jours.
MOUVEMENTS ET NIVEAUX
Le titre est orienté à la hausse. Il est au-dessus de sa moyenne mobile 50 jours. La moyenne mobile à 20 jours est supérieure à la moyenne mobile à 50 jours. Le support est à 49.55 EUR, puis à 47.73 EUR et la résistance est à 56.84 EUR, puis à 58.66 EUR.
Dernier cours : 53.02
Support : 49.55 / 47.73
Resistance : 56.84 / 58.66
Opinion court terme : positive
Opinion moyen terme : positive
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03/3/2015 14:34
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waldron
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Face à face entre sociétés d'autoroutes et Autorité de la concurrence, après six mois de désaccord
AFPPar Julie CHABANAS | AFP – il y a 53 minutes
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Bruno Lasserre, président de l'Autorité de la concurrence, le 22 octobre 2014 avant d'être entendu par une commission du Sénat au sujet de la gestion des autoroutes
Le groupe de travail sur les autoroutes missionné par le Premier ministre va confronter mardi sociétés d'autoroutes et Autorité de la concurrence, pour tenter de démêler le désaccord qui persiste depuis que les sages ont évoqué la "rente" des concessionnaires.
Ce groupe sur l'avenir des concessions autoroutières composé de parlementaires et de représentants de l'administration, qui doit rendre dans la semaine un rapport d'étape avant son rapport définitif attendu en mai, doit réunir en fin d'après-midi, à huis clos, l'Autorité et les sociétés concessionnaires d'autoroutes (SCA) dans les locaux du ministère de l'Ecologie, selon une source proche du dossier.
On ignore si Bruno Lasserre, le président de l'Autorité de la concurrence, fera lui-même le déplacement pour la rencontre. Le président de l'Association des sociétés françaises d'autoroutes (Asfa) et président de Vinci Autoroute, Pierre Coppey, devrait être présent, ainsi que le président de la Sanef Alain Minc et le PDG d'APRR Philippe Nourry, selon une autre source proche.
"Nous attendons la concrétisation du discours de Brive du 7 février, par lequel le Président de la République en appelait à un règlement "global et définitif", dans les prochains jours, du différend concernant les concessions d'autoroutes. Cette confrontation est l'occasion d'un débat contradictoire qui n'avait pas encore eu lieu depuis la publication de l'avis de l'Autorité de la concurrence", a indiqué à l'AFP un porte-parole de Vinci.
Sur fond de péages augmentant plus vite que l'inflation, l'Autorité avait dénoncé en septembre "la rentabilité exceptionnelle" des concessionnaires depuis la privatisation de 2006, déclenchant la création par l'Etat de ce groupe de travail.
En attendant ses conclusions, le gouvernement a décidé de suspendre la hausse de 0,57% des tarifs des péages prévue au 1er février, une décision contesté devant le Conseil d'Etat par les sociétés d'autoroutes qui y voient un "excès de pouvoir".
Alors qu'un sondage fin janvier montrait que plus de trois quarts des Français étaient favorables à la nationalisation des autoroutes, des usagers sont aussi montés au créneau mi-février en entamant une action visant à demander le remboursement partiel de leurs tickets. Une initiative soutenue par le ministre des Finances Michel Sapin.
- Comment calculer la rentabilité -
Mardi, les discussions devraient notamment porter sur l'indicateur le plus pertinent pour mesurer la rentabilité des autoroutes.
L'Autorité avait en effet fondé son avis sur la rentabilité nette, indicateur le plus juste selon elle pour répondre à l'Assemblée nationale, qui l'avait chargée notamment de s'interroger "sur les problèmes de concurrence pouvant résulter de la privatisation des autoroutes" en 2005 et "d'analyser les hausses tarifaires revendiquées par les SCA".
En revanche les concessionnaires, comme ils l'ont rappelé à Bruno Lasserre dans le courrier qu'ils lui ont adressé le 2 février, estiment que cette rentabilité doit se calculer sur l'ensemble de la durée des concessions, soit une trentaine d'années, cette activité "capitalistique" devant "être jugée en fonction de son taux de rentabilité interne (TRI)".
Ainsi, affirment-ils, leur rentabilité est bien inférieure aux 20% ou plus évoqués par l'Autorité, dont ils ont mis en cause les "contresens manifestes". Mais celle-ci avait affirmé maintenir "intégralement les chiffres" et son "diagnostic".
Mais selon les économistes du cabinet Microeconomix, même "le TRI de près de 9% revendiqué par les actionnaires des sociétés d'autoroute est considérablement plus élevé" que celui présenté lors de la privatisation.
"Les taux de rentabilité évalués à l'époque étaient de l'ordre de 6,5%. Or, un écart de plus de deux points de taux de rentabilité correspond à un surprofit d'une vingtaine de milliards d'euros au profit des sociétés d'autoroutes", continue le cabinet.
Le président de la société d'ingénierie financière Prescott Finance, Michel Cotte, met lui en avant la différence entre autoroutes déjà construites, pour lesquelles le risque financier est faible, et concessions nouvelles, pour lesquelles il est plus élevé.
"Quand on privatise en 2005, les autoroutes ont largement atteint la maturité financière" et ne connaissent pas le "risque porté par les concessions nouvelles", selon M. Cotte pour qui "acheter des autoroutes matures, c'est acheter une rente".
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03/3/2015 19:16
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waldron
Messages postés: 9905 -
Membre depuis: 17/9/2002
Sur les 5 derniers jours, le titre a peu évolué, perdant 2.11%. Depuis le début de l'année, il est en hausse de 14.35%.
Du point de vue de l'analyse technique : le RSI est supérieur à sa zone de neutralité des 50. Le MACD est inférieur à sa ligne de signal et positif. Le titre pourrait corriger à court terme. Enfin, le titre est supérieur à sa moyenne mobile 50 jours.
A noter que les volumes sont en baisse depuis quelques jours.
Graphiquement : les niveaux de résistances se situent sur : 56.2 puis 57.7. Tandis que les prochains supports sont sur : 50.8 puis 49.8.
Notre préférence : Achetez Vinci (DG) tant que 49.8 est support.
Le point d'invalidation de notre scénario est situé sur : 49.8.
Cours de référence : 52.
Copyright 1999 - 2013 TRADING CENTRAL
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03/3/2015 21:46
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waldron
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Membre depuis: 17/9/2002
Le groupe de travail sur les autoroutes missionné par le Premier ministre confrontait mardi sociétés d'autoroutes et Autorité de la concurrence, pour tenter de démêler le désaccord qui persiste depuis que les sages ont évoqué la "rente" des concessionnaires.
Ce groupe sur l'avenir des concessions autoroutières composé de parlementaires et de représentants de l'administration - qui doit rendre dans la semaine un rapport d'étape avant son rapport définitif attendu en mai - réunit à huis-clos l'Autorité et les sociétés concessionnaires d'autoroutes (SCA).
Cette réunion était toujours en cours peu après 19H, a indiqué à l'AFP une source proche du dossier.
Bruno Lasserre, le président de l'Autorité de la concurrence, s'est déplacé pour la rencontre. Le président de l'Association des sociétés françaises d'autoroutes (Asfa) et président de Vinci Autoroute, Pierre Coppey, devrait être présent, ainsi que le président de la Sanef Alain Minc et le PDG d'APRR Philippe Nourry, selon une autre source proche.
"Nous attendons la concrétisation du discours de Brive du 7 février, par lequel le Président de la République en appelait à un règlement +global et définitif+, dans les prochains jours, du différend concernant les concessions d'autoroutes. Cette confrontation est l'occasion d'un débat contradictoire qui n'avait pas encore eu lieu depuis la publication de l'avis de l'Autorité de la concurrence", a indiqué à l'AFP un porte-parole de Vinci.
Sur fond de péages augmentant plus vite que l'inflation, l'Autorité avait dénoncé en septembre "la rentabilité exceptionnelle" des concessionnaires depuis la privatisation de 2006, déclenchant la création par l'État de ce groupe de travail.
En attendant ses conclusions, le gouvernement a décidé de suspendre la hausse de 0,57% des tarifs des péages prévue au 1er février, une décision contesté devant le Conseil d'État par les sociétés d'autoroutes qui y voient un "excès de pouvoir".
Alors qu'un sondage fin janvier montrait que plus de trois quarts des Français étaient favorables à la nationalisation des autoroutes, des usagers sont aussi montés au créneau mi-février en entamant une action visant à demander le remboursement partiel de leurs tickets. Une initiative soutenue par le ministre des Finances Michel Sapin.
- Comment calculer la rentabilité -
Mardi, les discussions devraient notamment porter sur l'indicateur le plus pertinent pour mesurer la rentabilité des autoroutes.
L'Autorité avait en effet fondé son avis sur la rentabilité nette, indicateur le plus juste selon elle pour répondre à l'Assemblée nationale, qui l'avait chargée notamment de s'interroger "sur les problèmes de concurrence pouvant résulter de la privatisation des autoroutes" en 2005 et "d'analyser les hausses tarifaires revendiquées par les SCA".
En revanche les concessionnaires, comme ils l'ont rappelé à Bruno Lasserre dans le courrier qu'ils lui ont adressé le 2 février, estiment que cette rentabilité doit se calculer sur l'ensemble de la durée des concessions, soit une trentaine d'années, cette activité "capitalistique" devant "être jugée en fonction de son taux de rentabilité interne (TRI)".
Ainsi, affirment-ils, leur rentabilité est bien inférieure aux 20% ou plus évoqués par l'Autorité, dont ils ont mis en cause les "contresens manifestes". Mais celle-ci avait affirmé maintenir "intégralement les chiffres" et son "diagnostic".
Mais selon les économistes du cabinet Microeconomix, même "le TRI de près de 9% revendiqué par les actionnaires des sociétés d'autoroute est considérablement plus élevé" que celui présenté lors de la privatisation.
"Les taux de rentabilité évalués à l'époque étaient de l'ordre de 6,5%. Or, un écart de plus de deux points de taux de rentabilité correspond à un surprofit d'une vingtaine de milliards d'euros au profit des sociétés d'autoroutes", continue le cabinet.
Le président de la société d'ingénierie financière Prescott Finance, Michel Cotte, met lui en avant la différence entre autoroutes déjà construites, pour lesquelles le risque financier est faible, et concessions nouvelles, pour lesquelles il est plus élevé.
"Quand on privatise en 2005, les autoroutes ont largement atteint la maturité financière" et ne connaissent pas le "risque porté par les concessions nouvelles", selon M. Cotte pour qui "acheter des autoroutes matures, c'est acheter une rente".
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Dernier Message: 17/Janv/2017 08h59
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Du point de vue de l'analyse technique : le RSI est supérieur à 70. Cela peut indiquer un titre en forte tendance haussière ou plutôt dans un état suracheté et que donc une correction s'impose (surveiller les divergences). Le MACD est supérieur à sa ligne de signal et positif. La configuration est haussière à court terme. Enfin, le titre est supérieur à sa moyenne mobile 50 jours.
A noter que les volumes sont en baisse depuis quelques jours.
Graphiquement : les niveaux de résistances se situent sur : 56.1 puis 57.7. Tandis que les prochains supports sont sur : 50.5 puis 49.5.
Notre préférence : Le titre Vinci (Paris: FR0000125486 - actualité) (DG) est haussier tant que 49.5 est support.
Le point d'invalidation de notre scénario est situé sur : 49.5.
Cours de référence : 52.5.
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